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Archives du 12 septembre 2011

Élisée Reclus : « Voter, c’est abdiquer… »

A l’approche des élections, révisons nos classiques (suite). Après La Grève des électeurs d’Octave Mirbeau, lisons une lettre d’Élisée Reclus (1830-1905) datée du 26 septembre 1885 et publiée dans Le Révolté du 11 octobre 1885. Ça ne manque pas de sel ! « Votez, c’est renoncer à sa propre souveraineté… », nous explique le géographe anarchiste.

 Compagnons,

 Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n’est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l’exercice du droit de suffrage.

 Le délai que vous m’accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.

 Voter, c’est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renoncer à sa propre souveraineté. Qu’il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d’une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu’ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.

 Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d’une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l’échenillage des arbres à l’extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l’immensité de la tâche. L’histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.

 Voter c’est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l’honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages – et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’hui, le candidat s’incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L’ouvrier, devenu contremaître, peut-il rester ce qu’il était avant d’avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n’apprend-il pas à courber l’échine quand le banquier daigne l’inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’honneur de l’entretenir dans les antichambres ? L’atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s’ils en sortent corrompus.

 N’abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d’autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d’action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c’est manquer de vaillance.

 Je vous salue de tout cœur, compagnons.

Élisée Reclus

 Il est possible d’écouter cette lettre sur le site d’AnarSonore.

 Lire aussi sur Le Post :

 Élisée Reclus, géographe anarchiste.

 La Grève des électeurs d’Octave Mirbeau.

 

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P A C O

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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Débandade des bourses!

La Bourse de Paris termine sur une chute de 4,03% sous 2.900 points

PARIS – La Bourse de Paris a poursuivi sa dégringolade lundi, terminant sur une chute de 4,03%, affolée par l’hypothèse d’une faillite de la Grèce et plombée par la dégringolade du secteur bancaire sous la menace d’une dégradation par l’agence de notation Moody’s.

Le CAC 40 a lâché 119,78 points à 2.854,81 points, finissant à son plus bas niveau depuis avril 2009, dans un volume d’échanges fourni de 4,619 milliards d’euros. Vendredi, il avait cédé 3,60%.

Francfort: le Dax finit en baisse de 2,27% à 5072,33 points

Francfort (awp/afp) – L’indice vedette Dax de la Bourse de Francfort a fini lundi en baisse de 2,27% à 5072,33 points sur fond d’inquiétudes grandissantes pour la Grèce et de plongeons des valeurs bancaires.

Le Dax a toutefois limité les dégâts après être passé en séance sous le seuil des 5000 points, pour la première fois depuis 2 ans.

Londres: le Footsie-100 termine en baisse de 1,63% à 5129,62 points

Londres (awp/afp) – La Bourse de Londres a terminé en baisse lundi, l’indice Footsie-100 des principales valeurs perdant 85,03 points, soit 1,63% par rapport à la clôture de vendredi, à 5129,62 points.

La Bourse de Madrid termine sur une chute de 3,41%

MADRID – L’indice Ibex-35 de la Bourse de Madrid a terminé lundi sur une chute de 3,41% à 7.640,7 points, sur fond d’inquiétudes grandissantes pour la Grèce et de plongeon des valeurs bancaires.

L’indice vedette de la place madrilène termine ainsi au plus bas depuis le 16 mars 2009 (7.636,9 points en clôture).

Zurich: le SMI clôture en baisse de 2,35% à 5303,14 points

Zurich (awp) – La Bourse suisse a clôturé en forte baisse lundi, après une séance entièrement en zone négative. A la clôture, l’indice principal Swiss Market Index (SMI) figurait à 5303,14 points (2,35%), l’indice élargi Swiss Performance Index (SPI) à 4832,64 points (-2,32%) et le Swiss Leaders Index (SLI) à 792,62 points (-2,44%).

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Washinghton prévoyait d’attaquer la Libye et la Syrie dés 2001!

Wesley Clark dévoile les plans secrets post 11/9 : attaquer 7 pays en 5 ans…


Ce qu’on peut déduire de cette vidéo est effrayant, des hauts gradés incapables d’expliquer pourquoi il fallait attaquer l’Irak, un plan militaire incroyable d’attaquer 7 pays (irak, libye, iran, syrie, soudan, somalie, iran) en 5 ans conçu en amont et exprimé en 2001 qui a été  rendu possible par la formidable opportunité du « nouveau Pearl Harbor ». On a du mal à penser que ces gens réalisent que tant de vies seront impactées par leurs décisions aussi légères que fondées sur rien.

Une vidéo qui tombe pile poil au milieu d‘une intense propagande médiatique et notamment télévisuelle pour promouvoir la version officielle du 11 septembre dans les merdias français.

à voir absolument !

C’est quand  même plus discret une révolution colorée, ou « printemps arabe », mais malgré le changement dans les moyens employés, les fins restent les mêmes…

merci à fxo

http://infoguerilla.fr/

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Japon, un bilan de 6 mois

Fukushima : un vaste chantier nucléaire
 

Structure autour du N°1   

  Six mois après la catastrophe, la centrale nucléaire dévastée de Fukushima Dai-ichi s’est muée en un vaste chantier sur lequel plus de 10.000 travailleurs sont déjà intervenus.(Photo, la structure métallique installée autour du réacteur N°1 sur laquelle sera posée une couverture métallique pour empêcher la diffusion de radioactivité dans l’environnement).

Mission d’urgence : stabiliser et refroidir les réacteurs fondus et les piscines où se trouvent les combustibles usés et très radioactifs, éliminer les sources d’émissions de matières radioactives. A plus long terme, démanteler les installations et surtout évacuer les combustibles des piscines afin d’éviter un nouveau drame en cas de séisme de grande ampleur. Où en sont les Japonais dans ce long et douloureux cauchemar ?

Les réacteurs. Les trois cœurs fondus lors de l’accident (les réacteurs 1, 2 et 3 de la centrale, le 4 était vide et les 5 et 6 à l’arrêt) sont refroidis par l’injection d’eau directement dans les cuves, avec un débit de 4 à 9 m3/h. Leur température diminue petit à petit, et approche des 100°C , parfois passe en dessous à certains endroits du réacteur N°3, mais il faudra encore plusieurs mois pour un arrêt complet «à froid», à moins de 100°C au niveau du coeur lui même. Un tel arrêt est nécessaire pour stopper toute émission de vapeur avec laquelle des particules radioactives peuvent encore sortir des bâtiments. Il est toujours impossible de savoir si les corium (les matières nucléaires et metalliques fondues) sont restés au fond des cuves où si une partie s’en est échappée pour se répandre sur le béton des radiers. De l’azote est injecté dans les enceintes de confinement afin d’éviter toute nouvelle explosion à l’hydrogène.

Décontamination de l'eau

Le traitement de l’eau contaminée. Fin juin, il y avait près de 150.000 m3 d’eau  fortement contaminée dans les parties basses et souterraines de la centrale. Cette eau avait été déversée sur les réacteurs pour les refroidir, d’abord de l’eau de mer puis de l’eau douce. Une première unité de traitement a été mise en service en juin (photo de droite). En août, une deuxième installation de décontamination et de dessalinisation a été mise en service. Plus de 78.000 m3 ont été décontaminés à ce jour, et 31.000 m3 désalinisé. Une partie de cette eau est ensuite réutilisée pour les opérations de refroidissement. A ce rythme, il faudra encore un ou deux mois pour retraiter complètement l’eau contaminée.

Les piscines à combustibles. Celles des réacteurs 1, 2 et 3 sont désormais refroidies par des circuits fermés et des moyens redondants. Celle du réacteur 4 a toujours besoin d’un apport d’eau en sus. Elles affichent des températures entre 30°C et 40°C alors qu’elles dépassaient les 80°C auparavant. La piscine du réacteur 4, endommagée par l’explosion d’hydrogène début mars, a été renforcée par des piliers de métal et du béton. Des dispositifs anti-tsunami ont été installés, des moyens de production électrique implantés en haut de la falaise qui surplombe le site… ce qu’il aurait fallu faire avant le séisme et le tsunami du 11 mars penseront les critiques avisés.

Les émissions radioactives. Si la centrale n’a plus connu d’émissions massives comparables à celles survenues entre le 15 et le 20 mars, une émission diffuse se poursuit.

 Projection de résine

 La balise de la porte principale du site mesurait le 8 septembre 30 microsieverts/h alors qu’elle enregistrait des pics à 12.000 microsieverts/h le 15 mars lors des émissions massives. De la résine a été pulvérisée sur les sols et les bâtiments afin de fixer les poussières radioactives. Une couverture intégrale – une structure métallique recouverte de plastique voir photo en tête de note – est en cours d’installation sur le bâtiment du réacteur n°1. Une opération similaire est prévue sur les bâtiments 3 et 4. Les fuites massives de radioactivité vers l’océan ont été stoppées comme le montrent les mesures effectuée devant la centrale, mais un flux significatif persiste par les infiltrations dans le sol et les conduites d’effluents.

L’évacuation des combustibles usés. L’industriel qui exploitait le site, la TEPCo, a annoncé qu’elle ne pourrait entamer l’évacuation des combustibles usés des piscines de stockage que dans trois ans. Un délai qui s’explique par l’infernal mikado de poutrelles métalliques et de débris de béton qui parsème l’étage supérieur des bâtiments réacteurs où elles se trouvent. Mais également par la destruction des moyens de manutention en place lors des explosions et par le niveau de contamination radioactive des lieux qui complique toute intervention humaine.
Il faudra donc concevoir et fabriquer des outils spéciaux pour manipuler ces combustibles très radioactifs qui ne doivent pas être exposés à l’air libre dans l’opération. Or, tant qu’elle ne sera pas complètement réalisée, le risque d’un nouveau séisme survenant sur des structures fragilisées menacera d’un nouvel accident. Quant à l’évacuation des cœurs fondus et le démantèlement des réacteurs détruits, il suppose de concevoir des outils spéciaux et personne n’imagine une quelconque opération avant dix ans au plus tôt. Les experts réalistes en ajoutent dix de plus en soulignant que pour noyer complètement les cœurs détruits… il faudrait déjà rétablir l’étanchéité des cuves.

Travailleurs posant du béton  

L’exposition des travailleurs. La contamination du site, très élevée et sans commune   mesure avec celle que subissent les populations, rend les interventions très difficiles malgré les équipements de radioprotection (photo ci-contre, intallation de renforts de béton). Des zones demeurent interdites à toute présence humaine, en particulier dans les bâtiments des réacteurs. Des débris très radioactifs n’ont pas encore été tous stockés à l’écart malgré le nettoyage progressif du site à l’aide de bulldozers dotés de protection biologique pour les conducteurs ou d’engins télécommandés.
Les équipes doivent donc surveiller en permanence les doses reçues et travaillent toujours avec la limite de 250 millisieverts dite de situation d’urgence, signe clair de l’impossibilité de respecter la limite habituelle de 20 mS/an en situation normale d’exploitation d’une centrale nucléaire.

Au 9 septembre, le bilan officiel publié par la TEPCo montre que 10.700 personnes sont intervenues sur le site depuis l’accident. Leur bilan radiologique complet (au 10 août) – mesures dosimétriques lors des interventions puis anthropogammamétrie intégrale (une mesure réalisée régulièrement pour les travailleurs intervenant en zone contrôlée dans l’industrie nucléaire française) – montre que 103 travailleurs ont reçu une dose supérieure à cent millisieverts dont 81 entre 100 et 150, quatorze entre 150 et 200, deux entre 200 et 250 et six au-delà de 250, le maximum allant à 678 millisieverts. Deux personnes sont décédées – une crise cardiaque et une leucémie aiguë – parmi ces 10.700 travailleurs, décès dont les causes ne sont pas évidentes même si la radioactivité peut déclencher une leucémie (pour la leucémie aiguë on compte trois décès pour 100 000 personnes par an, en trouver un pour 10.000 sur six mois n’est pas extraordinaire). Ce que signifie ce bilan en termes qualitatif, c’est que les intervenants, malgré les dispositifs de radioprotection, sont parfois en situation d’augmenter de quelques pourcents le risque statistique de développer un cancer dans la suite de leur vie (3% pour les doses les plus fortes enregistrées).

Je publierai bientôt (demain dans l’idéal), une note sur la contamination radioactive au Japon. L’avancée du chantier sur la centrale nucléaire ne change en effet pratiquement rien à la menace radioactive qui pèse sur les populations japonaises. Elle découle essentiellement des émissions massives de césium entre le 15 et le 20 mars (pour l’iode, le problème n’est plus d’actualité car plus de 99,99% des atomes émis se sont transformés en atomes stables) dont la période de 30 ans fait que l’intensité des rayonnements va rester longtemps presque inchangée. Il est donc toujours nécessaire de maintenir l’évacuation des zones trop contaminées – 80.000 personnes environ ont quitté logement, école et travail ce qui donne les dimensions de la catastrophe. De poursuivre la cartographie plus fine des contaminations afin de détecter des « points chauds » en dehors des zones évacuées afin de les traiter ou de des évacuer. De décontaminer les sols des lieux publics et en priorité les écoles. Et surtout de surveiller la chaîne alimentaire, d’éliminer les productions trop contaminées…

SOURCE

http://bistrobarblog.blogspot.com/

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

La faillite des banques précédera-telle de peu celle des Etats ?

Hier soir, la chaîne M6 diffusait un reportage (Capital) sur la situation des banques, mettant tout particulièrement en évidence les investissements très risqués réalisés ces dernières années avec une partie conséquente de l’argent déposé par leurs clients. Le plus étonnant est le « message » véhiculé par les créateurs de ce reportage. Nous avons interrogé plusieurs personnes de différents âges et qui ne se doutent absolument pas de ce que traite LIESI et ce blog. Toutes ont dit la même chose : on a compris qu’il faut retirer ses économies de la banque et les placer dans un investissement plus sécurisé comme l’or. Ces gens vont-ils maintenant passer à l’acte ? C’est une autre affaire. Cela dit, ce que font les journalistes de grands médias est intéressant. Car n’oublions pas la déclaration que fit John Swinton (rédacteur en chef du New York Times), lors d’un banquet donné en son honneur à New York à l’occasion de sa retraite :

« Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais. Il n’y en pas un parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille. D’autres parmi vous, sont payés le même montant pour un travail similaire. La fonction d’un journaliste est de travestir la vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper aux pieds de Mammon, et de se vendre soi-même, de vendre son pays et sa race pour son pain quotidien. Vous savez cela et je le sais ; quelle folie donc que de porter un toast à la presse indépendante. Nous sommes des outils et les vassaux d’hommes riches qui commandent derrière la scène. Nous sommes les marionnettes, ils tirent sur les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels ». (Vers le Nouvel Ordre du Monde, de D. Manifold, Téqui, 1995, pp. 15 et 16.)

Une citation que nous rapprochons de ce que déclarait D. Rockfeller, lors de la réunion du Bilderberg Group à Baden-Baden, en juin 1991 :

« Nous remercions le Washington Post, le New York Times, Times Magazine et les autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion pendant au moins 40 ans… Il aurait été impossible pour nous de développer notre place mondiale s’il avait été l’objet d’une publicité quelconque pendant ces années-là. Mais le monde est vraiment plus sophistiqué et préparé à marcher vers un Gouvernement Mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement préférable aux décisions nationales qui se pratiquent depuis des siècles ».

Le meilleur moyen de clore le chapitre de ces décisions NATIONALES n’est-il pas de ruiner les Etats, via leurs banques ? Cela ressemble étrangement à ce que l’on voit…

Pourtant, le fait que les grands médias disent maintenant que les banques sont à fuir, est un message confirmant les analyses de Trader Noé, dont le cursus explique l’extrême qualité des analyses. Il est tout à fait normal que l’accélération de la bonne crise majeure appelée par David Rockefeller en 1994 se réalise dans un contexte d’impuissance de dirigeants, finalement très satisfaits des étapes (sociales) imposées pour intégrer ce fameux Nouvel Ordre Mondial, si cher au président français.

Il n’y a plus de MUNITIONS pour empêcher l’attaque des pièces d’artillerie du cartel bancaire

Dans ce contexte d’accélération, le commentaire de Denis Kessler, PDG du réassureur Scor, arrive comme un cheveu sur la soupe… Denis Kessler estime qu’une explosion de la zone euro ne peut désormais être exclue et que les dirigeants mondiaux ont perdu un temps précieux pour lutter contre la crise, qui peut encore s’aggraver (elle va bien sûr s’aggraver), alors qu’ils sont démunis pour la combattre. « Au rythme actuel, les opinions publiques des pays les plus forts de la zone euro vont devenir hostiles à la monnaie unique« , craint-il. « En France, le sauvetage de la Grèce représente 40 milliards d’engagements supplémentaires pour notre pays », relève-t-il. « Résultat: alors que la crise pourrait à nouveau s’aggraver, nous n’avons plus de munitions et avons perdu un temps précieux ». Ces propos sont très lourds de signification. Depuis des années, ces politiciens dont la reptation ventrale devant Mammon est le sport préféré, n’ont cessé de faire comme si. Si tel n’est pas le cas, alors leur incompétence leur interdit de faire le métier qu’ils font.

Attendons que le cartel bancaire, c’est-à-dire les créanciers des Etats, impose ses volontés… Une source du Groupe Bilderberg nous confiait, il y a quelques mois, qu’il y avait une volonté d’harmonisation sociale entre le salaire de l’occidental et celui du Chinois. Relevons qu’en Chine, on conseille au peuple d’acheter de l’or et de l’argent métal, tandis qu’en France, on passe en boucle des messages : « Vendez votre or, nous le rachetons et on vous donnera du beau papier monnaie ». Cela n’interpelle pas les « responsables »… qui annoncent une bonne nouvelle : grâce aux contrôles routiers, il y a moins d’accidents… et plus d’argent qui rentre…

LIESI

http://panier-de-crabes.over-blog.com/

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Grèce: un gouvernement aux abois contraint à un nouveau tour de vis

Athènes (awp/afp) – Le gouvernement grec apparaissait lundi aux abois, contraint, une fois de plus, d’annoncer en catastrophe de nouvelles mesures d’économies à l’efficacité douteuse pour éviter le lâchage du pays par des créanciers lassés de ses atermoiements.

« Aveu d’échec »: ce constat était partagé par la presse grecque au lendemain de l’annonce d’une nouvelle taxe exceptionnelle, sur la propriété immobilière, censée rapporter aux caisses publiques les quelque 2 milliards d’euros manquant à l’appel cette année.

Trois heures de conseil des ministres impromptu pour emporter la décision, trois heures de conférence de presse pour la « vendre » à l’opinion publique: la gestion gouvernementale relève d’une « logique de ravaudage », déplore Angélos Tsakanikas, chef de recherches du think-tank du patronat, IOBE.

Selon lui, l’équipe socialiste s’est retrouvée acculée pour avoir « consacré plus de temps et d’énergie à chercher comment ne pas appliquer le plan de redressement qu’à faire le travail » conditionnant l’aide internationale.

« La majorité n’a pas voulu opérer la rupture qui s’imposait », juge-t-il. Il nuance toutefois le tableau en relevant que, malgré tout, la Grèce « a réussi le tour de force de réduire en deux ans son déficit de 36 à 17 milliards d’euros ».

La dernière révision des objectifs intervient trois mois à peine après une précédente révision, censée tenir jusqu’en 2015, des engagements pris en mai 2010 en échange d’une bouée financière lancée par la zone euro et le Fonds monétaire international.

« Beaucoup à l’étranger ont l’impression qu’on leur ressert toujours la même histoire de nouvelles mesures », note Jens Bastian, analyste à la Fondation d’études européennes Eliamep.

Le gouvernement avait certes tenté de convaincre ses créanciers de fermer les yeux sur le nouveau déraillement budgétaire, découlant d’une récession pire que prévu mais aussi de l’échec persistant de l’appareil d’Etat à assurer les rentrées fiscales.

Las, les créanciers du pays n’ont pas fléchi. La Commission Européenne a attendu l’annonce de dimanche pour indiquer que la troïka retournerait à Athènes « dans les prochains jours » en vue d’avaliser le maintien du pays sous perfusion.

« Le message est que la plaisanterie est terminée, mais la vraie question est de savoir si le gouvernement est capable de mener la tâche requise, et si les Grecs peuvent encore encaisser », relève le politologue Thomas Gerakis.

Alors qu’il note « l’absence d’alternative politique », il s’inquiète d’un « enchaînement de grèves et protestations qui pourrait donner une image de chaos ».

Si tous, du Parti communiste aux associations de propriétaires, dénonçaient lundi une mesure accélérant la paupérisation de pans entiers de la société, nul ne se hasardait lundi à parier sur les bénéfices à en attendre.

Le gouvernement a certes fait preuve d’ingéniosité, en prenant acte de l’incurie de ses services fiscaux: la nouvelle taxe immobilière doit être perçue via les notes d’électricité au risque pour les mauvais payeurs de se retrouver dans le noir.

Mais déjà, le puissant syndicat d’Electricité de Grèce (DEI), issu de la base socialiste, a signifié son refus de participer au « racket gouvernemental », tandis qu’il reviendra aux locataires, destinataires des factures, de convaincre leurs propriétaires de payer la taxe.

Pour Yannis Varouthakis, professeur d’économie à l’université d’Athènes, « la mesure va créer plus de problèmes qu’elle n’en résout, en aggravant encore la récession », dans un pays affichant un taux record de propriétaires, près de 80%, toutes classes confondues.

Pire, selon lui, « le gouvernement en a parfaitement conscience, mais est pris au piège dans cette folle logique européenne de conjuration à tout prix de la cessation de paiement ». Une option qu’il juge imposée par l’Allemagne.

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Explosion sur un site nucléaire français : un mort ,4 blessés ! mise à jour.

France/Site nucléaire de Marcoule: l’accident est terminé, selon l’ASN

PARIS – L’accident qui a fait un mort et quatre blessés lundi matin dans l’installation nucléaire Centraco, située près du site de Marcoule (Gard), est terminé, a annoncé l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN).

Cet accident ne comporte pas d’enjeu radiologique ni d’action de protection des populations, ajoute l’ASN, précisant qu’elle suspend son organisation de crise.

L’explosion d’un four servant à fondre des déchets métalliques faiblement radioactifs a causé un incendie qui a été maîtrisé vers 13h00 et le bâtiment qui l’abritait n’a pas été endommagé, précise l’Autorité.

Les quatre blessés, dont un grièvement brûlé, ne sont pas contaminés et les mesures réalisées à l’extérieur du bâtiment par l’exploitant et les services publics de pompiers spécialisés n’ont révélé aucune contamination, souligne le communiqué de l’ASN.

L’ASN indique qu’elle réalisera des inspections, en lien avec l’Inspection du travail, pour analyser les causes de l’accident.

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Marcoule: pas d’évacuation ni de confinement des salariés

PARIS – Aucune mesure de confinement ou d’évacuation des salariés n’a été nécessaire sur le site nucléaire de Marcoule (Gard), filiale d’EDF, où s’est produit une explosion à la mi-journée lundi, a déclaré le ministère de l’Intérieur.

Les blessés n’ont pas été contaminés et la personne décédée est morte dans l’explosion, a-t-on ajouté, précisant que les opérations étaient menées par les services de sécurité du Centre de traitement et de conditionnement des déchets de faible activité (Centraco), épaulés par les pompiers locaux.

Il n’y a pas de rejet (radioactif, ndlr) en interne ni en externe, a ajouté Pierre-Henry Brandet, porte-parole du ministère de l’Intérieur, dont dépendent les services de sécurité civile.

Le plan urgence interne (PUI) a été déclenché par Centraco mais le plan particulier d’intervention (PPI), qui prévoit des mesures comme le confinement ou l’évacuation des populations menacées n’a pas été déclenché.

Il n’y a eu aucune mesure de sécurité externe déclenchée, a insisté Pierre-Henry Brandet. Les balises n’ont relevé aucune activité radiologique, a insisté M Brandet.

Une personne est décédée dans l’explosion d’un four servant à recycler des déchets faiblement radioactifs, et quatre ont été blessées, dont une gravement.

EDF

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Atome | L’explosion d’un four sur le site nucléaire de Marcoule, dans le sud de la France, a entraîné un risque de fuite radioactive. L’explosion a fait un mort et 3 blessés.

14:03 : Un four a explosé lundi sur le site nucléaire de Marcoule (Gard), dans un centre de traitement de déchets d’une filiale d’EDF, entraînant un risque de fuite radioactive, a-t-on appris auprès des pompiers et de la préfecture.

L’incident s’est déroulé dans le centre Centraco de la société Socodei, filiale d’EDF, à Codolet, a précisé un porte-parole du Commissariat à l’énergie atomique (CEA). « Pour l’instant, il n’y a pas de rejets à l’extérieur », a-t-il ajouté.

Un périmètre de sécurité a été installé en raison des risques de fuite, ont précisé les pompiers qui n’étaient pas en mesure pour l’instant de fournir un bilan de cet accident. La préfecture a indiqué ne pas être en mesure pour l’instant de communiquer.

Selon les médias français, l’explosion aurait fait un mort et 3 blessés…

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article120280

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

DETTE/L’Allemagne perd patience avec la Grèce et n’exclut plus sa faillite

Berlin (awp/afp) – L’Allemagne perd patience avec la Grèce, dans l’incapacité de redresser ses finances et se passer de l’aide de ses partenaires, et n’exclut plus sa faillite voire sa sortie de la zone euro, faisant tanguer une nouvelle fois les marchés.

Pour le ministre allemand de l’Economie Philipp Rösler, il ne faut plus exclure cette éventualité.

« Pour stabiliser l’euro, il ne doit plus y avoir à court terme d’interdiction de penser à certaines options. Parmi elles, il y a en cas d’urgence l’insolvabilité ordonnée de la Grèce », a-t-il déclaré au quotidien Die Welt paru lundi.

De son côté, le ministère allemand des Finances se préparerait aussi à ce scénario, selon l’hedomadaire Der Spiegel, qui affirme qu’il a élaboré deux scénarios : dans un premier cas, la Grèce garde l’euro, dans le second elle réintroduit la drachme.

Lundi, un porte-parole de ce ministère a reconnu que ses services, comme les autres instances du gouvernement allemand, « se préoccupaient de développements potentiels » en Grèce.

Un porte-parole de M. Rösler a lui affirmé que Berlin « veut que la Grèce reste membre de la zone euro » mais jugé que ce pays avait « manifestement rempli ses engagements avec peu de fermeté ».

Au sein de la coalition conservatrice au pouvoir, les voix sont de plus en plus nombreuses à réclamer pour réclamer la fin de l’indulgence vis-à-vis d’Athènes.

« Les pays qui ne respectent pas la règne commune de discipline budgétaire et plongent l’union monétaire dans des difficultés doivent s’attendre à la quitter », selon une motion que la CSU, aile bavaroise de la CDU de la chancelière Angela Merkel, se prépare à adopter lors de sa prochaine convention.

Face à ces déclarations les Bourses européennes ont une nouvelle fois plongé lundi. Après des propos dans le même sens la semaine dernière du ministre néerlandais des Finances, puis la démission surprise vendredi du chef économiste de la Banque centrale européenne (BCE) Jürgen Stark, la position allemande « accentue l’incertitude sur les marchés », juge Holger Schmieding, économiste chez Berenberg Bank.

Mais face à des électeurs de plus en plus réticents à ouvrir leur porte-monnaie pour des partenaires jugés dispendieux, et devant le départ inopiné de Grèce de la « troïka » (UE, Fonds monétaire international, BCE) chargée de surveiller les comptes du pays, Berlin se devait de réagir.

« Si la Troïka avait jugé que la Grèce était sur le bon chemin, le gouvernement aurait pu essayer de convaincre sa population qu’il fallait continuer à l’aider. Mais ce n’est pas le cas », a déclaré M. Schmieding à l’AFP, jugeant « très élevé » le risque de voir Berlin dire non à la poursuite de l’aide à la Grèce.

Mme Merkel, qui se plaît à manier la carotte et le bâton, a bien appelé ses concitoyens à faire preuve de patience vis-à-vis d’Athènes dans entretien au journal dominical Tagesspiegel am Sonntag, soulignant qu’on ne pouvait pas rattraper « en une nuit (…) ce que l’on n’a pas fait pendant des années ».

Mais dans le même temps elle a souligné que la Grèce ne recevrait pas un sou de plus si elle ne remplissait pas ses obligations, à savoir davantage de rigueur budgétaire et des réformes structurelles qui passent notamment par des privatisations.

Un message que le gouvernement grec a reçu. Il a annoncé dimanche de nouvelles mesures pour limiter son déficit public et rassurer ses bailleurs de fonds, pour un montant de 2 milliards d’euros.

Mais face au montant vertigineux de sa dette et à une dépression grave, les économistes doutent que ces mesures puissent l’aider à redresser ses finances.

Une réunion d’urgence du FMI doit avoir lieu mercredi, jour où la Troïka devrait en principe faire son retour à la suite des nouvelles promesses d’Athènes.

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

France: Chirac et Villepin auraient touché 20 millions de dollars

L’avocat Robert Bourgi a évalué lundi à « vingt millions de dollars » les sommes provenant de dirigeants africains qu’il dit avoir remises à l’ex-président Jacques Chirac et l’ex-Premier ministre Dominique de Villepin. Il a détaillé les cadeaux en nature offerts, précisant n’avoir « aucune preuve ».

Interrogé par la radio française Europe 1 sur le montant total de ce qui a circulé entre la France et l’Afrique, Robert Bourgi s’est dit « incapable » de l’évaluer sous les présidents Pompidou, Giscard d’Estaing et Mitterrand. Mais, a-t-il ajouté, « j’évalue à 20 millions de dollars ce que j’ai remis à M. Chirac et Dominique de Villepin ».

L’avocat a aussi assuré que Dominique de Villepin avait reçu de dirigeants africains des cadeaux de prix, souvenirs napoléoniens ou masques africains.

« Comme le président Bongo (Omar Bongo, défunt président gabonais) et les dirigeants africains savaient qu’il aimait l’art africain et qu’il était un admirateur de l’empereur », M. de Villepin « recevait des bustes de l’empereur, des pièces rares qui concernent Napoléon et des masques africains », a accusé M. Bourgi sur Europe 1.

« Je souhaite qu’on les retrouve et d’ailleurs, il y a deux ans, il me semble que Dominique de Villepin a fait procéder à une vente », a-t-il dit.

Montre avec 200 diamants

Dans le Journal du Dimanche la veille, l’avocat avait déjà évoqué ces « cadeaux »: « je me souviens d’un bâton de maréchal d’Empire qui avait été offert par Mobutu », défunt président zaïrois. Il s’est souvenu aussi d’une montre « offerte par Bongo » à Chirac « qui devait réunir environ 200 diamants. Un objet splendide, mais difficilement portable en France », avait noté M. Bourgi.

Jacques Chirac et Dominique de Villepin ont annoncé chacun qu’ils déposeraient plainte contre l’avocat.

« Aucune preuve »

Robert Bourgi a assuré lundi n’avoir « aucune preuve » des accusations qu’il a lancées. « Je n’ai aucune preuve, dans ce domaine-là, il n’y a aucune preuve, aucune trace », a fait valoir l’avocat sur la radio française Europe 1.

(ats / 12.09.2011 11h33)

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

France: records sur les CDS de la France et de ses principales banques

Paris (awp/afp) – Les prix des CDS (Credit Default Swap), contrats de couverture contre le défaut de paiement, battaient des records lundi sur la France et ses principales banques, reflétant les inquiétudes des investisseurs quant à leur exposition à la crise de la dette en zone euro.

Vers 11H00, les « credit default swaps » (CDS) sur la France étaient à 191 points de base, ce qui signifie qu’il faut débourser 191’000 dollars par an pour assurer 10 millions de dollars de dette d’Etat française à 5 ans.

Les CDS sur les principales banques françaises franchissaient également de nouveaux plus hauts historiques. Ils s’établissaient à 275 points de base sur BNP Paribas, 294 sur Crédit Agricole et 390 sur Société Générale.

Ces trois établissements sont sous la menace d’une dégradation par l’agence de notation Moody’s Investors Service qui doit achever mi-septembre un examen de leurs notes.

« Les craintes d’une dégradation des banques françaises par Moody’s semblent se renforcer. Une décision pourrait venir dans les prochains jours », observent les stratégistes du Crédit Mutuel-CIC dans une note.

Les marchés se montraient également très soucieux quant au sauvetage de la Grèce, craignant que le pays ne soit pas en mesure de respecter ses engagements budgétaires, ce qui le menacerait de faillite et aggraverait la crise en zone euro. Les CDS sur la Grèce franchissaient eux aussi un nouveau record à 3508 points de base.

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Est-ce que Moody’s lit les analyses de Trader Noé ?

Comme nous l’avions mentionné la semaine dernière, la rupture du support important des 1.395 sur l’EURUSD a déclenché une première correction en touchant le premier support des 1.36. Désormais, la parité évolue légèrement en dessous et les prochains supports sont à 1.318 et 1.235 environ.

Comme nous l’avions évoqué dans nos précédents articles, les agences de notation interviennent toujours au bon moment, si on peut dire… quand les niveaux techniques sont importants. De même, et nous le précisons clairement, certains financiers et politiques parlent de plus en plus d’une gouvernance Européenne, point de vue que nous ne partageons bien évidemment pas. Mais selon le plan mondialiste, il faut bien sûr arriver à une gouvernance Européenne pour accéder à la gouvernance mondiale. La mise en place d’un nouvel ordre mondial et monétaire et comme disait Nicolas Sarkozy, personne je dis bien personne ne pourra s’y opposer.

La main anonyme qui avançait à pas de loups, donne une danse au marché et en profite pour saluer les gérants au passage !
C’est bien ce que nous avions mentionné, il fallait que les gérants cupides fassent le plein pour la contre partie de la main !

Cette semaine, nous parlerons probablement de la Belgique,alors il faudra surveiller de très près Dexia.
Le titre évolue toujours dans une tendance de fond baissière avec un premier support à 1.38. Une clôture sous ce niveau amplifierait probablement la correction avec un support très important à 0.8 euro.

Concernant les bancaires, nous vous invitons à lire l’article de samedi.

Si l’agence de notation Moody’s qui lit peut être le blog, abaisse la notation des banques Françaises, alors il faudra être extrêmement prudent car c’est toucher l’économie globale du pays. Nous pensons qu’elle pourrait commencer par les banques et malheureusement ensuite il y a la notation du pays, espérons que cela ne soit pas cela dans les mois à venir.

En juillet 2011, nous avions mentionné que la devise Suisse pourrait fondre comme leur chocolat. Depuis l’intervention de la BNS, c’est bien ce qui pourrait se passer.
Certains qui ont déplacé leurs capitaux pour les mettre à l’abri pourraient s’en lécher les doigts (pour ne pas dire mordre) !

Concernant la tendance globale des indices, nous l’avions annoncé clairement depuis mai, nous restons dans la tendance de fond ! L’exploration sous les 3000 points peut commencer ! A la découverte des coraux et des produits toxiques…

http://liesidotorg.wordpress.com/

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

11 septembre: La télévision ALRAI confirme l’utilisation du Gaz Moutarde contre la population de la ville de Bin Walid

Selon la chaine de télévision Alrai, l’OTAN a utilisé cet après midi vers 17H00 le gaz moutarde, une arme chimique contre la population de la ville libyenne de Ben Walid.
Les journalistes de cette télévision informe que Sachant que tôt ce matin, l’OTAN a demandé aux insurgés de s’éloigner de Bin Walid.

Mort du chef d’ Al-Qaida à Bin Walid
Les nouvelles qui parviennent de Bin Walid font état de la mort du leader d’al-Qaida Mouftah Abdulrahman Abo shnaf . De source digne de foi certifie que ce terroriste a été tué dans une bataille de Wadi Dinar (la vallée de Dinar) hier soir.Aussi, les insurgés battus dans les combats contre l’armée nationale de la Libye, ont reculé vers la ville de Tarhona. Plus tard cet après-midi, les avions de l’Otan ont bombardé et fait usage des missiles à l’uranium appauvri contre des populations dans des quartiers de la ville de Bin Walid. La correspondance téléphonique (par mobile satellite Thuraya) certifie que ces bombardements de l’OTAN ont causé beaucoup de victimes mortes et des blessés et aussi que la ville est envahie par des fumées immenses suite à ces bombardements des avions de l’OTAN.

Encore de nouveaux bombardements de l’OTAN sur Syrte après une nuit de bombes sonores.
Après une grande bataille dans la vallée Rouge située à 90 km à l’Est de la ville de Syrte, les forces armées libyennes ont fait reculé les insurgés jusqu’à Ben Jawad qui se trouve à150 km de Syrte. Lors de ces combats terrestres même temps l’OTAN a continué en même temps à bombarder. Après avoir intensifié le largage des bombes « sonores », c’est-à-dire qui rendent des gens sourds, l’OTAN est encore passé à l’offensive.Les bombes de ces avions occidentaux ont atteint des maisons de la population civile en causant la mort de 7 personnes dont 6 sont membres de la même famille. Les civils qui sont dans ces zones où des combats ont eu lieu, confirment sur page-FaceBook que 36 insurgés sont morts. 3 soldats anglais des forces spéciales britanniques SAS qui combattaient aux côtés des insurgés, ont été tués .

Tourgha, une ville vidée de ses habitants par des rebelles-insurgés.
La ville de Taourgha qui se trouve à 50 kilomètres à l’Est de la ville de Misrata, a été complètement vidée de ses habitants par les insurgés de Misrata. Il est capital de savoir que les habitants de Taourgha ont la peau noire. Les rebelles ont égorgé beaucoup de ces Noirs adultes pour en faire un exemple et terroriser tout le reste de cette population libyenne noire qui a été déporté.
Bien à vous
Khamis

Source: hiteksaucer

Info.libye

Voilà comment l’Otan et les élites veulent imposer leur  » Démocratie  » ,en gazant et irradiant les populations qui osent encore leur résister,c’est tout simplement à vomir…!!!

 
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Publié par le 12 septembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR