Les citations suivantes sont toutes extraites de l’Argent Dette et de Bankster.
Lenin
Le moyen le plus sûr de renverser un ordre social existant consiste à corrompre la monnaie
Maurice Allais, Prix Nobel de Sciences Économiques 1988
Par essence, la création monétaire ex nihilo que pratiquent les banques est semblable, je n’hésite pas à le dire pour que les gens comprennent bien ce qui est en jeu ici, à la fabrication de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement réprimée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents
Henry Makow
Les banquiers gouvernent le monde grâce à la dette qui correspond à l’argent créé à partir du néant. Ils ont besoin de gouverner le monde pour s’assurer qu’aucun pays ne faiblisse ou ne tente de les renverser. Aussi longtemps que les banques privées, au lieu des gouvernements, contrôleront la création de l’argent, la race humaine sera condamnée. Ces banquiers et leurs alliés ont tout acheté et tout le monde.
Mécanique de l’argent moderne, Banque de Réserves Fédérale de Chicago.
Le processus proprement dit de la création monétaire se passe principalement dans les banques… les banquiers ont découvert qu’ils pourraient faire des prêts simplement en donnant leur promesse de payer, ou des billets de banque, à des emprunteurs. De cette façon les banques ont commencé à créer l’argent. Les dépôts de transaction sont les contreparties modernes des billets de banque. C’était une petite étape d’imprimer des billets en les créditant dans les livres comptables des dépôts des emprunteurs, que les emprunteurs alternativement pourraient « dépenser » en faisant des chèques, « imprimant de ce fait » leur propre argent.
Woodrow Wilson, ancien président des Etats-Unis
Certains des plus grands hommes des Etats-Unis, dans le domaine du commerce et de la production, ont peur de quelque chose. Ils savent qu’il existe quelque part une puissance si organisée, si subtile, si vigilante, si cohérente, si complète, si persuasive… Qu’ils font bien, lorsqu’ils en parlent, de parler doucement.
John Kenneth Galbraith, économiste
Le procédé par lequel les banques créent de l’argent est tellement simple que l’esprit en est dégoûté.
Graham F. Towers gouverneur de la Banque du Canada 1934-54
Chaque fois qu’une banque fait un prêt, un nouveau crédit bancaire est créé. De l’argent tout neuf.
Napoléon Bonaparte, Empereur Français (1769-1821)
Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain.
David Rockefeller, Commission Trilatérale 1991
Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au magazine Time, et aux autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque quarante ans. Il aurait été pour nous impossible de développer notre projet pour le monde si nous avions été exposés aux lumières de la publicité durant ces années. Mais le monde est aujourd’hui plus sophistiqué et préparé à l’entrée dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l’autodétermination nationale des siècles passés.
Rothschild Brothers of London
Les quelques personnes qui comprennent le système (argent et crédits) seront soit tellement intéressés par les profits qu’il engendre, soit tellement dépendantes des faveurs qu’il conçoit, qu’il n’y aura aucune opposition au sein de cette classe. D’un autre côté, les personnes incapables d’appréhender l’immense avantage retiré du système par le capital porteront leur fardeau sans se plaindre et peut-être sans même remarquer que le système ne sert aucunement leurs intérêts
William Lyon Mackenzie King, ex-premier ministre du Canada
Jusqu’à ce que le contrôle de l’émission de devises et de crédit soit restauré au gouvernement et reconnue comme sa responsabilité la plus flagrante et la plus sacrée, tout discours sur la souveraineté du Parlement et la démocratie est vain et futile… Une fois qu’une nation abandonne le contrôle de ses crédits, il n’importe plus qui fait ses lois… L’usure, une fois aux commandes, coule n’importe quelle nation.
Abraham Lincoln, président des Etats-Unis, assassiné
Le gouvernement devrait créer, émettre, et faire circuler toutes les devises et tous les crédits nécessaires pour satisfaire les dépenses du gouvernement et le pouvoir d’achat des consommateurs. En adoptant ces principes, les contribuables économiseraient d’immenses sommes d’argent en intérêts. Le privilège de créer et d’émettre de la monnaie n’est pas seulement la prérogative suprême du gouvernement, mais c’est aussi sa plus grande opportunité
James A. Garfield, président des Etats-Unis, assassiné
Celui qui contrôle le volume de la monnaie dans notre pays est maître absolu de toute l’industrie et tout le commerce… et quand vous réalisez que le système entier est très facilement contrôlé, d’une manière ou d’une autre, par une très petite élite de puissants, vous n’aurez pas besoin qu’on vous explique comment les périodes d’inflation et de déflation apparaissent.
John Adams, père fondateur de la Constitution américaine
Toute la perplexité, la confusion, et la détresse en Amérique ne provient pas des défauts de la Constitution ou de la Confédération ni du désir d’honneur ou de vertu mais de notre ignorance profonde de la nature des devises, du crédit, et de la circulation.
Woodrow Wilson, président des Etats-Unis 1913-1921
Je suis un homme des plus malheureux. J’ai inconsciemment ruiné mon pays. Une grande nation industrielle est contrôlée par son système de crédit. Notre système de crédit est concentré dans le privé. La croissance de notre nation, en conséquence, ainsi que toutes nos activités, sont entre les mains de quelques hommes. Nous en sommes venus à être un des gouvernements les plus mal dirigés du monde civilisé un des plus contrôlés et dominés non pas par la conviction et le vote de la majorité mais par l’opinion et la force d’un petit groupe d’hommes dominants.
Benjamin Franklin
L’incapacité pour les colons d’obtenir le pouvoir d’émettre leur propre argent à l’écart des mains de Georges III et des banquiers internationaux fut la raison PRINCIPALE de la guerre d’indépendance.
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)
Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits.
Léon Tolstoï
L’argent est une nouvelle forme d’esclavage, il se distingue de l’ancienne simplement par le fait qu’il est impersonnel, il n’y a pas de relation humaine entre le maître et l’esclave
Encyclopædia Britannica, 14ème Edition
Les banques créent du crédit. C’est une erreur de croire que le crédit des banques est créé dans toute mesure par le versement d’argent aux banques. Un prêt créé par la banque constitue un ajout significatif au volume d’argent de la communauté.
Lord Acton, Lord Chief Justice of England, 1875
Le problème récurrent au cours des siècles derniers et qui devra être réglé tôt ou tard est celui du conflit qui oppose le Peuple aux banques.
Sir Josiah Stamp, Governor of Bank of England, 1920.
Les banquiers détiennent la Terre. Si vous souhaitez rester leurs esclaves et payer le coût de votre propre esclavagisme, alors laissez les continuer à créer de l’argent.
George H.W. Bush, 1992
Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncheraient.
M. Phillip A. Benson, Président de l’association American Bankers’ Association, 8 juin 1939
Il n’existe pas de moyen plus efficace pour prendre le contrôle d’une nation que de diriger son système de crédit (monétaire).
Andrew Gause, historien de la monnaie
Une chose à comprendre à propos de notre système de réserve fractionnaire est que tel lors d’un jeu de chaises musicales, aussi longtemps que la musique tourne, il n’y a pas de perdants.
Irving Fisher, économiste et auteur
Ainsi notre moyen national d’échange est maintenant à la merci des transactions de prêts des banques, qui prêtent, non pas de l’argent, mais des promesses de fournir de l’argent qu’elles n’ont pas.
Marriner S. Eccles, gouverneur et président du CA de la Fed
S’il n’y avait pas de dette dans le système, il n’y aurait aucun argent.
Abraham Lincoln, Président des Etats-Unis
Le gouvernement devrait créer, émettre et favoriser la circulation des monnaies et des crédits nécessaires à la satisfaction du besoin de dépense du gouvernement et du besoin d’achat des consommateurs. L’adoption de ces principes doit permettre aux contribuables d’économiser le paiement d’un gros volume d’intérêts. L’argent cessera de gouverner et se mettra au service de l’humanité.
Rothschild
Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois.
Charles A. Lindbergh
Le système financier est devenu la Banque centrale américaine (Federal Reserve Board). Cette banque centrale gère un système financier au moyen d’un groupe de purs profiteurs. Ce système est privé et son seul objectif consiste à réaliser les profits les plus énormes possibles en utilisant l’argent des autres. Cette loi (de la Réserve fédérale) démontre la plus grande preuve de confiance au monde. Lorsque le président signe cet acte, il légalise le gouvernement invisible par le pouvoir monétaire. Les personnes ne s’en rendent peut-être pas compte pour le moment mais le jour du jugement n’est plus qu’à quelques années, le jour du jugement de cet Acte qui représente le pire crime de tous les temps commis au nom de la loi par l’intermédiaire d’un projet de loi
Henry Ford
Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin.
American’s Bulletin
Nous avons été communisés : la production doit être régulée de manière impitoyable par rapport à la consommation ou …. la fraude du crédit bancaire au détriment du public sera révélée
Henry Ford
La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l’histoire
Louis McFadden
Nous possédons dans ce pays l’une des institutions les plus corrompues que le monde ait jamais connu. Je veux parler de la Banque centrale américaine. Cette institution a appauvri les citoyens des Etats-Unis et a presque mené notre gouvernement à la faillite. Tout ceci est dû aux pratiques frauduleuses des vautours qui contrôlent cette situation. Un super état dirigé par les banquiers et les industrialistes internationaux qui s’associent avec plaisir pour asservir le monde
Robert H. Hemphill, gestionnaire de crédits, Fed, Atlanta, Géorgie
Si les banques créent assez d’argent synthétique, nous prospérons ; sinon, nous sombrons dans la misère. Nous sommes, définitivement, sans système monétaire permanent. Quand on a une vision complète de l’ensemble, l’absurdité tragique de notre position désespérée est presque incroyable, mais il en est ainsi.
1924 US Banker’s Association Magazine
Le capital doit assurer sa propre protection par tous les moyens possibles, grâce à la coalition et à la législation. Les dettes doivent être collectées et les hypothèques interdites le plus rapidement possible. Lorsque les personnes ordinaires perdent leurs maisons à travers le processus de la loi, elles deviennent plus dociles et peuvent plus facilement être dirigées grâce au bras fort du gouvernement représenté par les principaux acteurs financiers et par une puissance centrale due aux richesses. Ces vérités sont bien connues de nos principaux intervenants qui s’appliquent désormais à créer un impérialisme permettant de gouverner le monde. En divisant les votants grâce au système de parti politique, nous les manipulons afin qu’ils dépensent toute leur énergie pour des problèmes n’ayant aucune importance. C’est donc grâce à une action discrète que nous garantirons la pérennité de ce que nous avons si bien planifié et accompli.
Wright Patman, membre démocrate du Congrès 1928-1976 président du comité de la Banque et de la Monnaie 1963-1975
Je n’ai jamais vu personne ayant pu, avec logique et rationalité, justifier que le gouvernement fédéral emprunte pour utiliser son propre argent… Je pense que le temps viendra où les gens demanderont que cela soit changé. Je pense que le temps viendra dans ce pays où ils viendront nous accuser, vous, moi, et toute personne liée au Congrès, d’être resté assis sans rien faire et d’avoir permis à un système aussi stupide d’être perpétué.
tatielily
3 février 2013 at 11 h 58 min
il est toujours intéressant de lire ce que certaines personnes disent a propos de l’argent !
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realinfos
3 février 2013 at 12 h 45 min
Le jour où tout le monde aura compris comment fonctionne tout ce cirque il y aura une petite lueur d’espoir,ce n’est malheureusement pas demain la veille!
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silvia torri
5 septembre 2013 at 15 h 39 min
C’est probablement pour cette raison ( entres autres évidemment) que l’éducation NATIONALE ( attention, « éducation » est fort différent d’enseignement ok ?) est OBLIGATOIRE sous peine de lynchage par les troupes au sol au service de l’iniquité, j’ai nommé le social et ses S.S !
PS : S.S = les Sé(r)vices Sociaux ^^
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Anonyme
30 juin 2014 at 13 h 13 min
Exactement.
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guillaume b
4 février 2013 at 15 h 32 min
je n’arrive pas à traduire: la pyramide du système capitaliste.
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realinfos
4 février 2013 at 17 h 22 min
De haut en bas:
Capitalism: Capitalisme.
We rule you: Nous vous dirigeons.
We fool you: Nous vous trompons.
We shoot at you: Nous vous tirons dessus.
We work for all: Nous travaillons pour tout le monde.
We feed all: Nous nourissons tout le monde.
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silvia torri
5 septembre 2013 at 16 h 55 min
La dette Odieuse :
La dette odieuse des pays du Nord
Aujourd’hui, de nombreuses voix s’élèvent en Europe, notamment parmi les organisations et mouvements sociaux tels que ATTAC, le CADTM, pour dénoncer le caractère odieux des plans d’austérité imposés par le FMI, la Banque centrale européenne et l’Union Européenne aux pays du Nord et des dettes qui en découlent. Ces plans sont assortis de conditions qui violent la Charte des Nations-unies (licenciements massifs dans la fonction publique, démantèlement de la protection sociale et des service publics, diminution des budgets sociaux, augmentation des impôts indirects comme la TVA, baisse du salaire minimum, etc).
Parmi les obligations contenues dans cette Charte, on trouve notamment aux articles 55 et 56 : « le relèvement des niveaux de vie, le plein emploi et des conditions de progrès et de développement dans l’ordre économique et social (…), le respect universel et effectif des droits de l’homme et des libertés fondamentales pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion ».
Par ailleurs, d’autres critiques font valoir que les créanciers abusent de leurs droits en prélevant des taux d’intérêts prohibitifs. La France ou l’Allemagne empruntent à 2 % sur les marchés financiers et prêtent à plus de 5 % à la Grèce et à l’Irlande ; les banques privées empruntent à 1,25 % auprès de la Banque centrale européenne et prêtent à la Grèce, à l’Irlande et au Portugal à plus de 4 % à 3 mois et entre 14 et 17 % sur le long terme10 .
Pour avancer dans la perspective de l’identification de la dette odieuse, ces organisations (ATTAC, CADTM, etc.) préconisent le recours à des audits consistant à analyser les prêts sous l’angle économique, politique, juridique, pour ensuite être fondés légalement à répudier toutes les dettes odieuses. Certains pays sont dotés de dispositions constitutionnelles qui prévoient explicitement le recours à l’audit (Brésil, Constitution de 1988).
Les pouvoirs publics disposent de la compétence souveraine pour mettre en place ces audits, qui peuvent être réalisés par le pouvoir exécutif, comme cela a été le cas en 1931 dans le Brésil de Getulio Vargas ou plus récemment en Équateur en 2007-2008. En effet, le président Rafael Correa élu fin 2006 a pris en juillet 2007 un décret présidentiel organisant une Commission d’audit intégral sur le Crédit (CAIC) portant sur la période 1976-2006. Sur base du rapport de la CAIC démontrant clairement l’illégitimité de certaines dettes11, Rafael Correa a imposé une importante réduction de la dette commerciale, permettant ainsi au pays d’économiser la somme de 7 milliards de dollars, qui a pu être réaffectée à des projets sociaux et environnementaux ainsi qu’à la création d’emplois et au développement d’infrastructures. En outre, dans son rapport d’audit, la CAIC dénonce le transfert à l’État des dettes privées réalisé en 1983 et 1984 sous la pression du FMI et de la Banque mondiale tandis que le pays traversait une grave crise financière.
La nouvelle Constitution de l’Équateur adoptée en septembre 2008 interdit expressément l’étatisation des dettes privées12. Le transfert des dettes privées à l’État s’est également produit dans les pays du Nord, notamment lors de la crise qui a débuté en 2007-2008, suite à l’intervention des gouvernements pour sauver les banques en faillite.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dette_odieuse
Définition de la dette odieuse :
« Si un pouvoir despotique contracte une dette non pas selon les besoins et les intérêts de l’Etat, mais pour fortifier son régime despotique, pour réprimer la population qui le combat, cette dette est odieuse pour la population de l’Etat entier.
Cette dette n’est pas obligatoire pour la nation : c’est une dette de régime, dette personnelle du pouvoir qui l’a contractée ; par conséquent, elle tombe avec la chute de ce pouvoir. »
“ Les dettes odieuses sont celles qui ont été contractées contre les intérêts de la population d’un Etat, sans son consentement et en toute connaissance de cause par les créanciers 3 . Le CISDL définit trois critères qui fondent le caractère « odieux » d’une dette4:
>l’absence de consentement : la dette a été contractée contre la volonté du peuple.
>l’absence de bénéfice : les fonds ont été dépensés de façon contraire aux intérêts de la population.
>la connaissance des intentions de l’emprunteur par les créanciers.
Ainsi soit -il …. !
Et puisqu’il en est ainsi, devoir passer, « une fois de plus », par les lois et décrets de ceux qui nous ont spoliés, c’est a dire nos gouvernements respectifs que ce soit en France, en Europe et dans le monde entier, serait forcément une perte totale d’énergie et d’espoir et ce dans le vide total puisque le pouvoir exécutif peut quand il le veux faire opposition a cette dette odieuse, ce qu’il n’ont aucunement l’intention de faire, c’est évident ….
Il ne reste donc qu’une seule solution pour sauver nos enfants (c.à.d les générations future) de cet enfer, de cette prédation contre leur droit a la vie,
Cette solution qui est la seule qui pourra éviter encore un bain de sang ou un bain de sang de plus, c’est de tous nous prendre enfin en main « nous même ».
Cette solution est que chaque citoyens/citoyennes enfant compris ( seul ou en groupe) aillent porter plainte dans les commissariats ect …. contre cette dette odieuse afin de la faire annulé par les tribunaux comme étant nul et non avenue puis qu’ illégitime !
Les dettes odieuses sont celle qui ont étaient contractés contre l’intérêt de la population d’un état sans son consentement mais en toute connaissance de cause par les créanciers, soit dénoncé pour ce qu’elle est, un actes hostile à l’égard du peuple ….
Donc, maintenant :
Stop a la bourse ou la vie,
Stop a la finance contre le peuple,
Stop a la pauvreté organisé, la plus grande violence qui soit,
Stop a la dictature contre les droits humains,
Stop a l’orgueil de la partie du tout qui se prend pour le tout,
Stop a la dette odieuse !
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Henri Masson
15 février 2017 at 9 h 01 min
Ce serait mieux s’il n’y avait pas de faute dans le titre : « tout ceux »…
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