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Pyongyang prépare un double essai missile/bombe nucléaire

 

La Corée du Nord semble se préparer à effectuer dans les tous prochains jours un tir d’essai de missile balistique, a indiqué Séoul lundi. Pyongyang prévoit par ailleurs un quatrième test nucléaire, deux mois après celui qui lui a valu une nouvelle série de sanctions internationales.

Le ministre sud-coréen de la Réunification Ryoo Kihl-Jae a fait état de « signes » d’une activité inhabituelle autour du principal site d’essai nucléaire nord-coréen, refusant d’en dire plus. Selon le quotidien « JoongAng Ilbo », ces mouvements sur le site de Punggye-ri sont de même nature que ceux observés avant le troisième essai atomique du 12 février dernier, sanctionné par le Conseil de sécurité des Nations unies et source des tensions actuelles.

La Corée du Nord, qui a récemment installé deux missiles de moyenne portée sur sa côte est, pourrait également effectuer un tir d’essai cette semaine dans une surenchère destinée à obtenir des concessions de Washington, par exemple sur une reprise sans condition des négociations sur le nucléaire civil.

Furieuse du nouveau train de sanctions adopté par l’ONU après son nouvel essai nucléaire début février et des manoeuvres militaires conjointes en cours entre les Etats-Unis et la Corée du Sud, la Corée du Nord a multiplié ces dernières semaines les déclarations belliqueuses.

Le Japon en alerte

Par mesure d’apaisement et afin de laisser à Pyongyang la seule responsabilité de l’escalade, Washington avait annoncé samedi le report d’un essai de Minuteman 3.Pékin, seul allié de poids du régime nord-coréen, a implicitement adressé une sévère mise en garde à son voisin dont l’économie exsangue vit sous perfusion chinoise.

Pyongyang a par ailleurs transporté en train, en début de semaine dernière, deux missiles Musudan et les a installés sur des véhicules équipés d’un dispositif de tir, selon Séoul. Le Musudan, montré publiquement pour la première fois à l’occasion d’un défilé militaire en octobre 2010, aurait une portée théorique de 3000 kilomètres, soit la capacité d’atteindre la Corée du Sud ou le Japon.

Alerté, le Japon a ordonné dimanche à ses forces armées d’abattre tout missile nord-coréen qui viserait son territoire, a annoncé lundi un porte-parole du ministère de la Défense. L’ordre va se traduire notamment par le déploiement en mer du Japon de destroyers équipés du système d’interception Aegis.

Afp

 

 

Kaesong: la Corée du Nord va retirer ses 53.000 employés
SEOUL – La Corée du Nord a annoncé lundi qu’elle allait retirer les 53.000 employés nord-coréens qui travaillent sur le complexe industriel intercoréen de Kaesong, sur son territoire, et le fermer temporairement.

Nous allons retirer tous nos employés du complexe industriel de Kaesong, a déclaré Kim Yang Gon, un haut responsable du parti, dans un communiqué transmis par l’agence officielle nord-coréenne KCNA.

Afp

 

 

 
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Publié par le 8 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Liste des méga-licenciements pour cette semaine….

 

Les banques se sont distinguées cette semaine, avec une nouvelle série de massacres, ainsi que l’apparition de deux icônes, les gâteaux Papy Brossard et les Polos Lacoste qui licencient en Espagne. (JE RAPPELLE AUX LECTEURS QUI PRENNENT CETTE PAGE EN COURS DE ROUTE QUE LES MEGA-LICENCIEMENTS SONT SANS INTERRUPTION DEPUIS MAI 2012.)

– Société Générale va virer entre 600 et 700 salariés… « Cultivons l’esprit d’equipe » nous rappelle Mr Lacoste lire ici Capital.

– La Bank of America a viré 469 personnes dans son siège de Newark et 1.320 dans l’Etat de New York lire ici New Jersey.com et ici Fox news

– RBC va supprimer 210 postes au Luxembourg lire ici le Quotidien.lu , merci à Mr Lepage

– La Roma Bank vire 57 salariés lire ici New Jersey.com

– Barclays Bank va virer 243 personnes en France lire ici , merci à Mr Lepage

– La distrubution automobile craint 15.000 supressions d’emplois lire ici Reuters , merci à Mr Romano

– Les gâteaux Papy Brossard caassent leur pipe, et 90 salariés risquent de se retrouver à Pôle Emploi lire ici , merci à Damien

– Les polos Lacoste licencient en Espagne lire ici le Monde , merci à mr Lepage

– US Cellular vire 600 personnes lire ici Chicago Business

– Caterpillar va virer 460 salariés de plus lire ici Chicago Business

– Bls Cargo (transit ferroviaire entre Italie et Allemagne via la Suisse) licencie du personnel « car une dizaine d’aller-retours par trains ont été supprimés par jour, signe d’un gros ralentissement du commerce intra européen » nous dit notre lecteur François, lire ici Le Nouvelliste

– Thomas Cook France va virer 150 salariés et supprimer la marque Thomas Cook pour ne garder que Jet Tours, lire ici le Journal du Net , merci à Mr Lepage

– Aprochim (groupe Chimirec) va supprimer 21 emploislire ici Le Maine Libre , merci à Mr Lepage

– Saintronic pourrait licencier 47 salariés lire ici Sud Ouest , merci à Mr Rousseau

– La société d’éoliennes Novéol tombe, avec 9 personnes, lire ici , merci à Angie

– Walt Disney ferme sa société Lucas Art avec 150 licenciements lire ici Kotaku , merci à Mr Jannin

– Rien ne vaut mieux que d’être dans une banque: les salariés du Crédit Immobilier de France payés depuis juin 2012 à ne rien faire. lire ici Midi Libre pour le croire, merci à Patrick

– Licenciement de 40 personnes dans l’industrie du jeu vidéo chez High Moon lire ici Jeux Video , merci à Mr Teuscher

– Moncigale supprime 74 postes lire ici les Echos , merci à Mr Lepage

– Darty va fermer ses 43 magasins en Espagne, 650 emplois vont disparaître lire ici le Monde , merci aux lecteurs

– Sega ferme ses studios en Asutralie lire ici jeux Videos , merci à Mr Du Chatelle

– Il était une fois en Picardie: alors que le Conseil régional de Picardie, comme chaque année, célèbre le printemps de l’industrie, à grand coût de communication, c’est plutôt en hiver que se situe l’industrie. Le mois de mars 2013 a enregistré de multiples plans sociaux. – Le 1er mars, les 60 derniers salariés de l’ex-entreprise STILL à Montataire ont été licenciés. – Le 13 mars, les 117 salariés de Juy SA à Crépy-en-Valois ont été licenciés. – Le 15 mars, le 242 salariés de Merck à Eragny-sur-Epte ont reçu leur lettre de licenciement. – Le 27 mars, 320 employés de l’usine Goss de Montataire sont menacés par une fermeture envisagée par le propriétaire du groupe Shangai Electric. Ce désastre économique s’accompagne bien sûr d’un véritable désastre social et humain dans un département où le chômage ne cesse de grimper plus vite que la moyenne régionale et nationale. lire ici , merci à Thierry

– Finmeccanica ferme 25 usines et supprime plus de 2.500 emplois lire ici Reuters , merci à mr Bertin

– Gascogne Woods supprime 23 emplois lire ici , merci à Lepage

– Walt Disney va licencier dans sa division de produits dérivés et de ses studios d’animation lire ici Morandini , merci à Mr Selika qui nous dit « Si meme Disneyland licencie, les carottes sont vraiment cuites…« 

– La chaîne de restaurants américains Texas De Brazil va virer 85 personnes pour compenser le manque de clients lire ici Chicago Business

– Aar Mobility Systems vire 130 personnes et Ansell HwakEye (defense) lire ici Ipr Radio et ici Wcbi.

– Briljent Communication licencie 100 salariés sur 200 lire ici Ibj.com

– Kmart licencie 76 personnes avec le début de fermeture de magasins lire ici Chicago Business

– Ciba Vision Corp va virer 260 personnes lire ici Chicago Business

– Laval. 56 emplois sont menacés à l’association familiale d’aide à domicile lire ici Ouest France , merci à Mr Pont

– Mr Schneider, conseiller de salariés, nous dit: « Augmentation de questions sur les procédures collectives. Je viens d’être contacté 7 fois en l’espace de 3 semaines. Du jamais vu, autant de licenciements!« .

– Le New York Observer vire 11 journalistes lire ici WWD

– Fisker Automotive va virer 75% de ses salariés, soit 150 salariés lire ici CNN Money

– United Space Alliance licencie 68 autres ingénieurs lire ici Floriday

– La fermeture de presque 30% des écoles aux US entraîne en ce moment des milliers de suppressions d’emplois de chauffeurs de bus (ramassages scolaires) et des centaines de petites pme qui ferment.

– Vlaemynck, mobilier de jardin, terrasses et piscines, a été placé en redressement judiciaire. lire ici La Voix du Nord , merci à Syldeg

– Tecumseh Europe vire 62 personnes lire ici le Dauphine , merci à Mr Pont

– Rhône-Alpes: le bâtiment craint une perte de 4.000 emplois en 2013 lire ici Lyon Pole Immo merci à Mr Pont

 Revue de Presse par Pierre Jovanovic 

www.jovanovic.com

 

 

 
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Publié par le 8 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Le 7 avril 2013, les hackers d’’Anonymus menacent « d’’effacer Israël d’’Internet »par l’’opération #opIsrael (mise à jour)

« Par solidarité avec les Palestiniens » plusieurs groupes de hackers menacent de supprimer toute trace d’Israël sur internet le 7 avril.

Plusieurs pirates informatiques ont annoncé lancer une vague des cyber-attaques contre des sites israéliens le 7 avril 2013.

« Il s’agira de la plus grande opération jamais lancée contre un pays, cela va être énorme ! », explique, le site The Hackers Post, selon le pirate informatique AnonGhost qui est à l’origine de cette méga-attaque et qui a déjà à son compte plusieurs centaines d’attaques informatiques contre des sites web, plus particulièrement israéliens.
 
L’État hébreu n’a pas ignoré cette menace qui semble être prise au serieux selon Ofir Ben Avi, étant le directeur des services et systèmes « online » dans le gouvernement israélien, selon « Haaretz » :
 
« Ce qui différencie ce plan des attaques précédentes c’est le fait qu’il soit préparé par plusieurs groupes affiliés au réseau Anonymous à travers le monde », explique-t-il au journal israélien. L’opération aura pour nom : #opIsrael.
 
Pour rappel en novembre 2012, le collectif de cyberactivistes Anonymous avait mené une vague d’attaques sans répercussion significative qui avait pour objectif de prendre le contrôle des comptes Twitter, Facebook, LinkedIn, Picasa et YouTube du vice-Premier ministre israélien Silvan Shalom, et son blog lors de l’opération Pilier de défense.
 
Le gouvernement israélien a quand même comptabilisé 44 millions de tentatives de piratages menées par des hackers pro-Palestiniens, et bloqué les sites de dizaines d’organisations israéliennes.
 
La semaine dernière des hackers turcs lié aux Anonymous, nommé les Red Hack, ont affirmé hacké le compte Twitter du site du Mossad, le service de renseignements israélien et volé les noms, les adresses et les numéros de téléphone de plus de 30 000 agents du service. Information, non confirmée par le gouvernement israélien .
 
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Publié par le 7 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Paris Match se fait l’avocat du diable des théories conspirationnistes….

Etrange que Paris Match ne nous parle pas du 11/09,normal me direz-vous,on a dèjà beaucoup trop de preuves qui accablent la version officielle,ils n’allaient pas s’y risquer,et pour ce qui est du Nouvel Ordre Mondial,c’est de notoriété publique,la plupart des dirigeants mondiaux ne s’en cachent même plus,souvenez-vous de Sarko….entre autres!

Les ZINZINS ne sont sûrement pas ceux qu’on croit,n’est-ce pas les journaleux….!

 

 

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Aux Etats-Unis, un sondage démontre la progression des théories conspirationniste dans l’opinion publique.

Obama l’Antéchrist et autres complots : un sondage fou, fou, fou

 

Un électeur Américain sur cinq croit que Barack Obama est l’Antéchrist, 37% sont convaincus que le réchauffement climatique est un « canular mondial », 28% pensent que la planète est dirigée par une élite secrète qui a pour but l’instauration du Nouvel Ordre Mondial. Voici quelques-uns des résultats d’un sondage très instructif sur les croyances conspirationnistes des électeurs républicains et démocrates aux Etats-Unis.

Cette grande enquête du Public Policy Polling s’intéresse à la répartition des théories du complot selon les opinions politiques. Sans surprise, les républicains sont deux fois plus nombreux que les démocrates -près de 50% contre 23%- à croire que le réchauffement climatique est un mythe savamment élaboré à des fins politiques et économiques.

Mais les doutes sur l’assassinat de JFK sont largement partagés. Toutes tendances confondues, ils sont 51% à remettre en question la version officielle. En revanche un « complot » parfaitement avéré, comme les mensonges de l’administration Bush sur les armes de destruction massives de Saddam Hussein, laisse toujours sceptiques les électeurs républicains : 73% continuent d’accorder foi aux déclarations de la Maison Blanche de l’époque.

Sur des sujets moins brûlants politiquement, on note la persistance de vieille lunes comme la mort de Paul Mac Cartney : 5% soutiennent mordicus que Sir Paul est décédé en 1966.

Quant au complot reptilien, ces lézards extra-terrestres qui auraient infiltré tous les cercles du pouvoir selon une théorie inventée par l’ancien journaliste sportif anglais, David Icke, il séduit 4% des électeurs.

«Je ne peux pas confirmer l’embauche d’un garde du corps extraterrestre»

Le principal enseignement de ce sondage est que la vision conspirationniste du monde n’est plus l’apanage d’une poignée de zinzins mais une composante indissociable des opinions politiques. Ce que Theodore Roosevelt appelait dans son autobiographie de 1913 la «lunatic fringe», la frange lunatique, a quitté les marges de la société américaine pour occuper le centre de l’échiquier politique.

C’est ainsi, qu’aujourd’hui, la Maison Blanche est obligée de démentir la présence d’un garde du corps extraterrestre parmi les membres du service de sécurité de Barack Obama. Le buzz est né de cette vidéo ci-dessous qui a fait le tour du web.

 

 

Filmée le 4 mars pendant une intervention du Président Obama devant le Comité Public des Affaires Israélo-américaines, elle montre le visage d’un agent du service de protection fortement pixélisé au point de le faire ressembler à un alien verdâtre.

Face à la rumeur persistante, la porte-parole du Conseil national de Sécurité, Caitlin Hayden, a dû se fendre d’un démenti au ton humoristique envoyé au magazine Wired : «Je ne peux pas confirmer l’embauche d’un garde du corps extraterrestre mais, en ces périodes de restriction budgétaire, tout programme de protection du président par des robots ou des aliens aurait été très certainement refusé.»

Mais, comme le remarquent les conspirationnistes, c’est à peine un démenti….

http://www.parismatch.com/Actu-Match/Monde/Actu/Obama-l-Antechrist-et-autres-complots-un-sondage-fou-fou-fou-475849/#.UWAcaSLeojg.facebook

 

 

 
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Publié par le 6 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Corées: des ambassades réfléchissent à une évacuation de Pyongyang

 

Les chefs de missions diplomatiques de l’Union européenne présents en Corée du Nord devaient discuter samedi d’une éventuelle évacuation en raison de l’aggravation des tensions dans la péninsule coréenne. Le site intercoréen de Kaesong restait fermé.

La Corée du Nord, qui a installé un deuxième missile de moyenne portée sur sa côte est, alimentant les craintes d’un tir imminent, a averti qu’elle ne pouvait plus garantir la sécurité des missions diplomatiques à Pyongyang à compter du 10 avril en cas de conflit.

Les chefs des missions diplomatiques de l’UE présents à Pyongyang devaient se réunir samedi « pour discuter d’une position commune et d’une action commune » concernant leur personnel diplomatique, a annoncé le ministère bulgare des Affaires étrangères.

Mais aucun pays ne semblait avoir de projet immédiat d’évacuation et certaines capitales estimaient qu’il ne s’agissait que d’une nouvelle manoeuvre nord-coréenne pour faire monter la pression.

 

 

Drone américain au Japon

L’armée américaine est de son côté sur le point de déployer un avion espion sans pilote sur une de ses bases au Japon, selon la presse nippone. Cette annonce intervient au moment où Pyongyang se montre de plus en plus menaçant à l’égard de ses pays voisins.

« Il a été confirmé que la Corée du Nord avait transporté en train, en début de semaine, deux missiles Musudan, de moyenne portée, vers la côte est, et les avait installés sur des véhicules équipés d’un dispositif de tir », a déclaré un haut responsable du gouvernement sud-coréen.

Le Musudan aurait une portée théorique de 3000 kilomètres, soit la capacité d’atteindre la Corée du Sud ou le Japon. L’engin pourrait toucher des cibles à 4000 km en cas de charge légère, et donc, en principe, frapper Guam, île du Pacifique située à 3380 km de la Corée du Nord et où se trouvent 6000 soldats américains.

L’accès au complexe industriel de Kaesong, devenu un pion stratégique dans cette guerre des nerfs, restait fermé samedi matin, la Corée du Nord refusant depuis mercredi l’entrée du site aux Sud-Coréens qui s’y rendent quotidiennement pour y travailler.

afp

 

 

 
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Publié par le 6 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Séisme de magnitude 7.1,Papouasie N.Guinée

10-degree map showing recent earthquakes

Ampleur 7,1           répliques : 4.1 / 4.7 / 5.2 /
Date-Heure
Emplacement 3,532 ° S, 138,455 ° E
Profondeur 75.1 km (46,7 miles)
Région Papua, Indonésie
Distances 238 km (147 miles) de E Enarotali, Indonésie
256 km (159 miles) WSW de Abepura, Indonésie
272 km (169 miles) WSW de Jayapura, Indonésie
329 km (204 miles) WSW de Vanimo, la Papouasie-Nouvelle-Guinée

 

 

station PMG (Port Moresby, Papua New guinea

 

Un séisme de magnitude 7,1 a frappé samedi la province indonésienne de Papouasie, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS), provoquant un mouvement de panique dans la population mais pas de victime dans l’immédiat. La secousse n’a entraîné aucun tsunami, a précisé le centre d’alerte de tsunami du Pacifique.

« Le séisme a eu lieu sur terre, il n’y a pas de menace de tsunami », a aussi déclaré un responsable de l’agence de météorologie, climatologie et géophysique du pays, précisant: « nous n’avons reçu aucune information sur des dégâts ».

Le tremblement de terre a secoué la province à 13h42 (06h42 en Suisse) à une profondeur de 75 kilomètres, à 272 kilomètres ouest-sud ouest de la capitale de la province Jayapura, a précisé l’USGS. Localement, le séisme a été évalué à une magnitude de 7,2.

Scènes de panique

Certains habitants de la capitale se sont précipités dans les rues. « Je me suis précipité dans les escaliers pour sortir aussi vite que j’ai pu, craignant l’effondrement de l’immeuble », a raconté une jeune femme qui participait à une réunion au premier étage d’un hôtel de Jayapura lorsqu’elle a ressenti « une forte secousse ».

« Les lampes, les tables et les chaises se sont mises à trembler. Dans la panique, les gens ont poussé des cris pour faire sortir les autres de l’hôtel », a-t-elle ajouté. Suharjono, de l’agence locale de météo a expliqué que le séisme avait été fortement ressenti dans la ville de Mulia, dans le district de Puncak Jaya.

Ats

 

 

 
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Publié par le 6 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Hanford, USA : au-delà des fuites radioactives, un risque d’explosion “à la Mayak” est possible

 

Le site nucléaire d'Hanford en 2011.

 

Il y a une quinzaine de jours, un minimum de 6 fuites avaient été constatées au niveau d’immenses citernes de stockage de déchets hautement radioactifs stockés depuis 1943 sur le site-poubelle nucléaire de Hanford, à l’extrême Nord-Ouest des Etats-Unis. D’après le Huffington Post d’hier, une commission de sécurité nucléaire a maintenant révélé que lesdites citernes pouvaient également exploser suite à des accumulations d’hydrogène, une menace continue pesant sur tout effluent radioactif.

La poubelle des atomistes du projet Manhattan est devenue celle du retraitement de combustible

Le site de Hanford avait été développé dès 1943 pour fabriquer le Plutonium nécessaire à la création de l’arsenal nucléaire des USA alors que l’Uranium était quant à lui isolé sur le site de Oak Ridge, à l’autre bout du pays. Le procédé d’isolation chimique et de raffinage du Plutonium étant extrêmement polluant et radiopolluant, les résidus hautement toxiques et radioactifs issus de cette fabrication furent – à défaut de meilleure réponse et vu le contexte “à marche forcée” de l’époque 1 – stockés de manière “provisoire” dans 177 immenses réservoirs localisées dans la zone “200” du site ; ces citernes renferment au total environ 50 millions de gallons (200.000 tonnes, édité le 4413) d’effluents toxiques et radioactifs.

Des réservoirs enterrés et qui s’enfonceraient peu à peu, histoire de compliquer un peu plus la dépollution / décontamination

Cette ferme de tanks est en outre enterrée plusieurs mètres sous terre et, de plus, les réservoirs se seraient a priori enfoncés plus profondément dans le sol au fil des années, deux phénomènes rendant très délicat une intervention satisfaisante. Bref, un beau merdier nucléaire.

2013-04-03_17h22_27

(1) La partie supérieure des réservoirs est située environ 5 m sous le sol (PNNL)

Environ 1/3 de ces réservoirs auraient déjà relâché plus de 40.000 tonnes d’effluents

Selon l’association Hanford Challenge, entre 4000 et 40.000 tonnes d’effluents radioactifs et toxiques (édité le 4413) se seraient déjà échappées de réservoirs qui n’avaient jamais été conçus à l’origine pour contenir ces déchets aussi longtemps. Des sources internes et anonymes à Hanford auraient notamment révélé que le réservoir BX-102 aurait à lui seul relâché 20 tonnes d’Uranium dans la nappe aquifère.

2013-04-03_17h38_36

(2) Au minimum 20 tonnes d’Uranium dans la nature, d’après des lanceurs d’alerte (Hanford Challenge)

………….

La suite ici:

http://gen4.fr/2013/04/hanford-usa-fuites-radioactives-explosion-possible.html

 

 

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Slovénie: Fitch abaisse la note de cinq banques, dont les deux plus grandes….

 

L’agence d’évaluation financière Fitch a abaissé vendredi la note de cinq banques slovènes, dont les deux plus importantes Nova Ljublanska Banka (NLB) et Nova Kreditna Banka Maribor (NKBM), assortissant la note d’une perspective négative.

Les notes de la NLB et de la NKBM ont été dégradées de trois crans, passant de BBB- à BB-, une catégorie qui présente des caractéristiques spéculatives.

La dégradation de la note de la NLB et de la NKBM reflète les retards continus dans la mise en place d’une solution claire et décisive pour les problèmes de l’ensemble du secteur bancaire de la Slovénie et en particulier pour la NLB et la NKBM, a justifié Fitch dans un communiqué.

Fitch estime que les trois principales banques slovènes auront besoin au total de 2 milliards d’euros d’injection de capital en 2013.

L’agence d’évaluation financière américaine Moody’s avait déjà abaissé en mars la note de la NLB et de la MKBM, de B2 à Caa2, note attribuée à des émetteurs de qualité médiocre présentant un vrai risque de non remboursement.

Nova Ljubljanska Banka (NLB) a creusé sa perte nette en 2012 à cause essentiellement de ses crédits douteux: de 239 millions en 2011, la perte a augmenté à 273,5 millions d’euros. Elle a prévenu qu’elle resterait dans le rouge cette année aussi.

L’Etat slovène détient une participation de 86% au sein de NLB depuis décembre, après avoir acquis les 22% du groupe de bancassurance belge KBC.

En 2012, la NKBM détenue par l’Etat, a subi une perte nette de 205,5 millions d’euros, contre 81,1 millions de perte en 2011.

En raison d’un secteur bancaire croulant sous les mauvaises créances (7 milliards d’euros selon un rapport du Fonds monétaire international), la Slovénie pourrait devenir le prochain pays de l’UE à demander une aide de l’Union européenne, après Chypre.

Afp

 

 

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Séisme de magnitude 6,2 à l’est de la Russie, à 600 km de Pyongyang

Ampleur 6,2
Date-Heure
Emplacement 42.713 ° N, 131.105 ° E
Profondeur 561.9 km (349,2 miles)
Région RUSSIE EST-NE région frontalière CHINE
Distances 9 km (5 miles) N de Zarubino, Russie
28 km (17 miles) au SO de Slavyanka, Russie
62 km (38 miles) ENE de Aoji-ri, Corée du Nord
63 km (39 miles) ESE de Hunchun, en Chine

station BJT (Baijiatuan, Beijing, China)

Un puissant séisme de magnitude 6,2 s’est produit vendredi à 13H00 GMT à l’est de la Russie et à proximité de la frontière avec la Chine et la Corée du Nord, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS).

L’épicentre du tremblement de terre, d’une profondeur de 561 kilomètres, est situé au sud-ouest de Vladivostok, à 9 kilomètres au nord de la ville de Zarubino en Russie, selon l’USGS.

Il se trouve également à 63 km de Hunchun en Chine et 608 km au nord-est de la capitale nord-coréenne Pyongyang, a précisé l’institut américain.

Aucun blessé ni dégât dû à ce séisme, qui a frappé dans la nuit de vendredi à samedi en heure locale, n’avait été rapporté dans l’immédiat.

Un séisme de magnitude 6,1 avait été enregistré le mois dernier à l’extrême est de la Russie. Un autre plus puissant de magnitude 6,9 s’était également produit en février dans le Pacifique à l’est de la Russie, et ressenti jusque dans la péninsule du Kamtchatka en Extrême-Orient russe, sans faire ni victimes ni dégâts.

L’archipel russe, qui sépare la mer d’Okhotsk et l’océan Pacifique, est l’une des régions les plus exposées aux séismes dans le monde, selon le centre américain.

Depuis 1900, sept séismes de grande ampleur –d’une magnitude supérieure ou égale à 8,3– sont survenus le long de cet archipel.

Afp

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Le parlement grec annule le droit à l’enseignement gratuit pour tous….

 

 

Jeudi 28 mars, le parlement grec a adopté une loi, nommée Plan Athéna, qui vise à démolir l’enseignement supérieur gratuit et fourni par l’Etat. La loi a été passée de force en violation flagrante de la constitution grecque qui ne permet pas l’abolition des universités.

La loi a été adoptée avec 148 voix pour et 125 contre. Les députés de la Gauche démocratique, le plus petit des trois partis formant la coalition dirigeante qui comprend aussi le parti conservateur Nouvelle Démocratie et le PASOK social-démocrate, ont voté contre ces mesures. Leur démarche était entièrement fondée sur le fait qu’un soutien à cette loi aurait risqué de mettre en cause leur possibilité à servir de caution de « gauche » à la stratégie d’austérité du gouvernement.

Athéna a pour conséquence la fermeture immédiate de quatre universités (soit dix pour cent des 40 restant). Il s’agit de l’université de Grèce-centrale, l’université de Grèce-occidentale, l’université internationale hellénique et l’université de Macédoine-Occidentale.

Environ 20 pour cent des instituts supérieurs d’enseignement technologique de Grèce seront également abolis et un certain nombre d’autres fusionneront pour devenir des facultés privatisés. Actuellement, il existe un nombre total de 534 départements comprenant 289 départements universitaires et 245 départements d’instituts supérieurs d’enseignement technologique. Un total de 129 universités (AEI) et d’instituts supérieurs d’enseignement technologique (TEI) seront fermés immédiatement et 26 autres départements disparaîtront progressivement.

Depuis que le Plan Athéna – qui porte cyniquement le nom de la déesse grecque de la sagesse – a été pour la première fois annoncé en janvier, des dizaines de milliers d’étudiants et de jeunes ont protesté pour empêcher son adoption.

Au moment de son passage, plus de 5.000 étudiants, dont certains venant des facultés de Patras et d’autres villes, protestaient devant le parlement d’Athènes. Après s’être rassemblée devant l’université d’Athènes, la manifestation s’est rendue sur la place principale Syntagma via la Place Oamonia et la rue Stadiou. En dépit d’une forte présence policière et du recours aux gaz lacrymogènes pour disperser les manifestants, de nombreux étudiants sont restés dans les parages. Les étudiants ont incendié un drapeau de l’Union européenne pour protester contre le programme d’austérité appliqué en son nom.

Un manifestants a dit à PressTV, en insistant sur le caractère dictatorial de la nouvelle loi, « Aujourd’hui, ils ont adopté une loi sans précédent qui permettra au ministre de l’Education d’imposer une loi sur les restrictions et les réductions des dépenses sans que le parlement ait à voter. Sa seule signature suffira pour cela. Mais, nous le l’accepterons pas. Ils gèrent notre avenir et ils verront que nous sommes contre eux. »

D’autres manifestations ont eu lieu le même jour dans la deuxième ville de Grèce, Thessalonique, et auxquelles des étudiants venant de la ville de Serres ont également participé. Une manifestation s’est aussi déroulée à Larissa, la plus grande ville et capitale de la région de Thessaly.

Les protestations des étudiants ont été provoquées par un chômage systémique des jeunes qui atteint maintenant presque 60 pour cent. De nombreux étudiants ont fait référence à la mort de deux étudiants de l’université de Larissa, suite à une intoxication au monoxyde de carbone début mars, comme symbole des terribles conditions auxquelles ils sont confrontés. Tous deux essayaient de chauffer leur logement à l’aide d’un poêle de fortune lorsqu’ils ont lentement perdu connaissance. Trois autres étudiants présents dans la maison ont été hospitalisés et deux d’entre eux sont dans le coma entre la vie et la mort.

Sur 63 villes à l’échelle nationale, Athéna en laissera 12 sans établissement d’enseignement supérieur, sans faculté ni école. L’on estime que plus de 20.000 étudiants seront contraints d’abandonner leurs études ou de déménager dans une autre ville. Le personnel enseignant et les employés des facultés seront licenciés.

Alors que les cours sont réduits à un minimum et que seuls ceux jugés rentables pourront survivre, les réductions auront un sérieux impact sur les diplômés du secondaire qui souhaitent faire des études supérieures. L’on évalue que pour cette seule année universitaire, le nombre des candidats admissibles à l’université a chuté de 77.000 l’année dernière à 55.000 cette année.

L’université de Macédoine occidentale en est un exemple et elle sera supprimée en tant qu’établissement autonome. Cinq de ses six départements (dont quatre se trouvent dans la ville de Florina et deux à Kozani) relèveront de l’université Aristote de Thessalonique et de l’université de Macédoine, et un département sera supprimée.

Les coupes faites à l’institut d’enseignement technologique de Macédoine occidentale sont bien plus profondes sous le plan Athéna qu’initialement prévues : seuls neuf des 20 vingt départements de l’établissement resteront, contre 13 prévus à l’origine.

En faisant passer de force Athéna, l’élite dirigeante grecque est en train de démanteler le système éducatif en créant les conditions pour une reprise par le privé de l’enseignement, en violation flagrante de la constitution grecque.

Le droit à l’enseignement gratuit a pour la première fois été ancré dans la constitution après la chute de la junte militaire en 1974. En 1975, l’article 16 devenait partie intégrante de la constitution en stipulant « Tous les Grecs ont droit à l’enseignement gratuit à tous les niveaux des établissements d’enseignement de l’Etat. » Il poursuit, « L’enseignement au niveau des universités sera exclusivement fourni par des établissements qui sont des personnes morales autonomes de droit public. »

Le point 16:8 de la constitution dit, « La mise en place d’établissements de niveau universitaire par des personnes privées est interdite. » Alors que la constitution permet la « fusion ou le fractionnement d’établissements de niveau universitaire, » elle ne permet par leur abolition comme le dicte le plan Athéna.

Dans le cadre d’Athéna, il sera plus facile à des entreprises privées d’investir dans les facultés et de nommer le personnel de leur choix, en introduisant ainsi le parrainage privé dans les services éducatifs. Les établissements seront obligés de rechercher un parrainage privé et de lier de plus en plus leurs programmes d’enseignement aux exigences du marché. Athena a pour objectif de promouvoir les facultés qui se spécialisent en économie et en affaires tandis que les autres départements seront laissés à l’abandon.

Le plan Athéna est le point culminant d’une attaque massive contre l’enseignement public, exigée par l’Union européenne, la Banque centrale européenne et le Fonds monétaire International conformément aux termes des prêts de 240 milliards d’euros accordés à la Grèce. En août dernier, le ministre de l’Education, Constantinos Arvanitopoulos, avait dit, « Il est impossible pour un pays de 11 millions d’habitants de s’offrir le luxe d’une quarantaine d’universités alors que d’autres pays, comme Israël, n’en ont que sept ou huit. »

Ces dernières années, les universitaires ont connu des réductions de salaire de plus de 50 pour et les budgets de nombreux établissement ont aussi été réduit plus que de moitié. Les professeurs ont aussi manifesté dernièrement par milliers aux côtés des universitaires et des élèves contre les réductions dans le primaire et le secondaire.

Le niveau des coupes est tel dans le budget de l’éducation qu’une grande partie de l’infrastructure scolaire a été détruite. Partout dans le pays durant les mois d’hiver, des centaines d’établissements scolaires ont été obligés de fonctionner sans fuel de chauffage, sans ordinateurs et avec des manuels scolaires en nombre insuffisant.

(Article original paru le 2 avril 2013)

http://wsws.org/fr/articles/2013/avr2013/ense-a03.shtml

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Vaccins: les parents qui dérangent sont diabolisés….

 

STIGMATISATION-fotolia

 

Nous avions déjà évoqué plusieurs fois la situation scandaleuse des enfants Guéret, d’Allevard-les-Bains, dont les parents Rémi et Stéphanie, sont ainsi obligés de leur faire la classe à la maison, parce qu’ils sont tout simplement privés d’école, bien que pourtant totalement en règle au regard de la loi.

 

En France, pays des « libertés » qui porte décidément bien mal son nom puisque les sanctions pour refus de vaccination ont été durcies et s’élèvent à 3750 euros d’amende et à 6 mois de prison avec sursis, il s’avère aussi que les autorités ne respectent même pas les conditions des obligations vaccinales qu’elles ont elles-mêmes imposées!!

 

En effet, la législation prévoit normalement la possibilité de dérogation médicale en cas de contre-indication, ce qui était pourtant le cas d’un des deux enfants. L’autre enfant a été considéré comme à jour de ses vaccinations obligatoires par les services de la PMI locale. (PMI= services de protection maternelle & infantile= équivalent français de l’ONE)

 

Mais surtout, il faut savoir qu’en France, il n’existe plus aucun vaccin trivalent sans aluminium et/ou ayant une autorisation de mise sur le marché pour les enfants en bas-âge (le vaccin DTP Revaxis n’ayant ainsi pas d’AMM pour les enfants de moins de 6 ans). Ce faisant, les autorités rendent volontairement inapplicables les obligations vaccinales imposées aux enfants, tout en espérant qu’une majorité de parents accepteront ainsi de bon coeur qu’on leur force de facto la main avec des valences non obligatoires et dont les effets secondaires ne seront ainsi nullement assumés.

 

On en est en réalité arrivé à un degré de pression tel que les enfants qui n’auraient reçu « que » le minimum légal, pourtant déjà très élevé, sont l’objet d’une véritable stigmatisation qui sert surtout à dissuader le moindre effet « tache d’huile » vis-à-vis d’autres parents qui seraient éventuellement tentés de suivre ce « dangereux » chemin de la réflexion personnelle.

 

Ceci est donc le tableau général. Mais revenons-en à présent au cas concret de la famille Guéret, qui a choisi, à fort juste titre, de dénoncer le non respect des autorités locales vis-à-vis de leur devoir d’instruction publique. Cette famille courageuse et admirable a réalisé un site internet qui relève bien sûr de la plus élémentaire liberté d’expression et qui expose au grand jour le cas ubuesque de leurs enfants, injustement privés d’école depuis maintenant plus de 577 jours soit 17 mois! Il s’agit donc d’une (rare) famille qui choisit de ne pas courber l’échine face à des autorités non complexées de bafouer jusqu’à leurs propres règles.

 

Le maire de leur commune leur a répondu que c’était la directrice d’Académie qui refuse de scolariser leurs enfants alors que cette dernière renvoie la balle au maire! Cette famille ne comprend pas, alors que toutes les justifications d’usage ont été apportées, pourquoi, leurs enfants ne pourraient pas réintégrer l’école locale où ils avaient tous leurs amis. Pourquoi ces enfants pourraient-ils aussi être légalement admis ailleurs, dans la commune voisine de Saint Maximin et pas à Allevard, comme le maire espèrerait ainsi « se débarasser » du problème Guéret sans avoir jamais voulu le résoudre?

 

Mais alors, que faire pour « se débarrasser » du problème Guéret??

 

Diaboliser les parents et tenter ainsi de justifier qu’on ne réponde plus à pareils parents « indignes »… le subterfuge est vraiment pitoyable, mais c’est pourtant ce qui est clairement appliqué, comme en témoigne le contenu d’un PV d’une réunion extraordinaire du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l’Académie de Grenoble daté du 19 novembre 2012.

………..

La suite ici:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-vaccins-les-parents-qui-derangent-sont-diabolises-116689950.html

 

 

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

L’Espagne vide son fonds de retraites pour payer sa dette

 

Le Fondo de Reserva de la Seguridad Social, le fonds de la Sécurité Sociale espagnole, a saisi l’opportunité des promesses de Mario Draghi, le président de la Banque Centrale Européenne, de faire « ce qu’il faudrait faire pour sauver l’euro », pour augmenter la part d’obligations souveraines espagnoles qu’il détient, rapporte Bloomberg Business Week.

 
 

 

 

Désormais, ce sont 97 % de ce fonds de 65 milliards d’euros qui ont été investis en obligations souveraines espagnoles de plus en plus risquées, contre 90 % en 2011, et 55 % en 2008.

Le fonds, qui a été créé pour garantir les paiements futurs des pensions, a acquis 20 milliards d’euros de dette espagnole l’année dernière, et il s’est débarrassé dans le même temps de 4,6 milliards d’euros d’obligations françaises, allemandes et hollandaises. 70 % des achats ont eu lieu après les déclarations de Mario Draghi qui ont fait remonter le cours des obligations espagnoles.

« On dirait qu’à défaut de disposer de sa propre banque centrale pour monétiser sa propre dette, le gouvernement espagnol a tout simplement pillé une autre entité quasi-gouvernementale pour s’assurer du rachat des obligations », écrit le blog financier américain Zero Hedge. En utilisant ces réserves pour acheter des obligations souveraines, l’Espagne viole une loi qui prévoit qu’elles ne devraient être investies que dans des titres d’une « haute qualité de crédit et d’un degré de liquidité significatif », ce qui n’est plus le cas des obligations espagnoles. En effet, l’année dernière, les agences de rating Moody et Standard & Poor’s les ont dégradées, et que leur rating n’est plus qu’un cran au dessus de la cote de titre de pacotille, rappelle le Wall Street Journal.

Le fonds est destiné à garantir les paiements futurs des pensions de retraites, et les analystes se demandent s’il en aura encore la capacité à terme, alors que l’État a de plus en plus de mal à financer ses dépenses dans un contexte de récession et de politique d’austérité qui ont réduit ses recettes. L’année dernière, le fonds a été bénéficiaire, compte tenu que les contributions ont excédé les paiements sociaux, ce qui a permis de financer 1 % du déficit de l’Espagne.

Mais les experts s’inquiètent du fait que le gouvernement espagnol a déjà commencé à opérer des retraits sur les réserves du fonds pour effectuer des paiements d’urgence. En novembre dernier, il a prélevé de l’argent pour la seconde fois de son histoire, retirant 4 milliards d’euros pour payer les pensions. Auparavant, il avait déjà prélevé 3 milliards d’euros en septembre pour couvrir des besoins de trésorerie non précisés. Ces deux retraits dépassaient la limite annuelle légale, ce qui a motivé le gouvernement a augmenter ce seuil.

http://www.egaliteetreconciliation.fr/L-Espagne-vide-son-fonds-de-retraites-pour-monetiser-sa-dette-17361.html

 

 

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Chine: le virus H7N9 tue encore, abattage de volailles et marchés fermés….

 

Le virus H7N9 de la grippe aviaire a fait un sixième mort près de Shanghai, où les autorités ont décidé de conjuguer abattage localisé et fermeture des marchés aux volailles pour circonscrire la souche infectieuse qui jusqu’à récemment ne s’était pas transmise à l’homme.

Le nouveau décès, celui d’un agriculteur de 64 ans de la province du Zhejiang, a été rapporté vendredi par l’agence de presse officielle Chine nouvelle. C’est la deuxième personne de cette province orientale chinoise à mourir des complications respiratoires provoquées par le virus grippal H7N9.

Quatre autres sont mortes à Shanghai, la capitale économique du pays, où les autorités ont annoncé dans l’après-midi leur décision de fermer temporairement les marchés aux volailles vivantes.

Cette mesure est prise dans un objectif de protection de la santé publique, a déclaré lors d’une conférence de presse Xu Wei, porte-parole de la municipalité aux 23 millions d’habitants.

Quelques heures plus tôt, des agents municipaux avaient procédé à l’abattage de plus de 20.000 volailles sur un marché nommé Huhai. Les opérations, qui ont débuté de nuit, ont été conduites par des employés portant une combinaison de protection et un masque filtrant sur le visage, selon des images publiées sur l’internet par un reporter local.

Vendredi matin, la zone du marché était inaccessible et les rues alentour étaient vaporisées de désinfectant, a constaté un journaliste de l’AFP. Bien sûr, je suis inquiet, a confié un commerçant du marché.

De fait, quelques jours seulement après un vaste scandale causé par les déversement de milliers de cadavres de porcs dans le principal fleuve de la ville, les services sanitaires de Shanghai doivent répondre à de nouvelles inquiétudes liées au secteur de l’élevage.

Au jour d’aujourd’hui, nous pouvons clairement affirmer qu’il n’y a pas de transmission d’homme à homme de la souche H7N9 de l’influenza aviaire, a déclaré vendredi Mme Wu Fan, qui dirige le centre de lutte contre les maladies infectieuses de Shanghai, dans cette même conférence de presse.

Il n’y a aucune possibilité que cette infection gagne l’étranger, a-t-elle ajouté.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a également écarté mercredi le risque d’une pandémie en l’absence de transmission d’homme à homme de cette souche H7N9, qui n’a pour l’instant officiellement infecté que 14 personnes dans l’est de la Chine.

Toutefois, les experts ont souligné l’importance d’établir non seulement la source de l’infection et mais aussi son mode de transmission à l’homme, pour réduire l’exposition des êtres humains à ce virus.

Les autorités sanitaires américaines ont de leur côté indiqué jeudi suivre de près la situation.

De nombreux éditoriaux de la presse chinoise ont conseillé cette semaine aux autorités de tirer les leçons, notamment en terme de communication, de l’épidémie du SRAS il y a dix ans.

Lors de cette pandémie de pneumonie atypique, partie de Chine, l’OMS avait vivement critiqué Pékin pour avoir tardé à donner l’alerte et tenté de dissimuler l’ampleur de l’épidémie.

Le ministère chinois de la Santé, cité vendredi par le quotidien China Daily, a promis des échanges ouverts et transparents avec l’OMS et les autres pays sur la question.

La grippe aviaire la plus commune, celle du virus H5N1, avait fait plus de 360 morts dans le monde entre 2003 et le 12 mars 2013, selon l’OMS. Les scientifiques craignent qu’une mutation ne permette des contaminations d’homme à homme, ce qui pourrait déclencher une pandémie.

Afp

 

 

 
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Publié par le 5 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Comment les plans d’austérité dégradent la santé des Européens

 

Hausse généralisée des suicides et des troubles psychologiques, retour de maladies bannies comme la malaria, menace sur la santé des enfants des familles populaires… Tel est l’alarmant constat sur la santé des Européens que dresse une étude choc publiée par la revue médicale britannique The Lancet. En cause : l’orthodoxie économique et les plans d’austérité prônés dans toute l’Europe. L’étude dénonce également le silence des ministres de la Santé.

 

 

En avril 2012, un retraité grec de 77 ans se suicidait en plein jour sur la place Syntagma d’Athènes, devant le Parlement. Le pharmacien à la retraite avait laissé une note : sa pension était devenue misérable et il ne voulait pas être réduit à fouiller les poubelles pour se nourrir. Son acte est devenu le symbole de l’explosion des suicides dans le pays. Leur nombre a augmenté de 40% en un an ! Plans d’austérité, baisse de revenus et chômage mèneraient-ils au suicide ?

« Une hausse du chômage de plus de 3% dans un temps relativement court est associée à une augmentation d’environ 5% du taux des suicide et des blessures auto-infligées », estime, froidement, le dernier rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), publié début mars et consacré à l’Europe [1] En Grèce, le chômage a augmenté de 10% en seulement deux ans, pour atteindre 26,4% fin 2012…

Il n’y a pas que les suicides. Dans son rapport « Crise financière, austérité et santé en Europe », publié le 27 mars, la revue médicale britannique The Lancet [2], dresse un constat alarmant : la santé des européens se dégrade, en particulier dans les pays frappés de plein fouet par les politiques d’austérité. Et confirme la hausse générale des suicides dans l’ensemble de l’Union européenne, dont la courbe s’envole depuis 2007, après une période de sept années de baisse constante.

En Grèce : suicides, sida, malaria et dengue

Selon les analyses du Lancet, les nouvelles infections au VIH chez les usagers de drogues par injection ont aussi explosé en Grèce ces deux dernières années. Avant l’austérité, sur la période 2007-2010, le pays comptait 10 à 15 nouvelles infections annuelles dans cette catégorie de population. Le chiffre est passé à 256 nouvelles infections en 2011 et à 314 pour les huit premiers mois de 2012 [3] ! Soit vingt fois plus !

En cause : le recul de la prévention, avec, par exemple, l’arrêt des programmes d’échange de seringues depuis 2008. Le directeur de l’étude menée par The Lancet, Martin Mac Kee [4], signale même « la réapparition de la malaria et l’émergence de la dengue en Grèce ».

En Espagne : la santé des enfants menacée

Car les plans d’austérité mis en œuvre sous l’impulsion de la Commission européenne en Grèce, au Portugal, en Espagne et en Irlande ont touché de plein fouet les systèmes de santé. Le forfait à la charge des patients grecs a par exemple augmenté de 3 à 5 euros par consultation. Et le pays a supprimé 2 000 lits dans les hôpitaux publics. « En Grèce, la troïka (Commission européenne, Fonds monétaire international, Banque centrale européenne, ndlr) a demandé à ce que les dépenses de santé ne représentent pas plus de 6% du PIB, notent les auteurs de l’étude, créant ainsi un précédent dans l’UE de prise du contrôle sur le système de santé national d’un État membre. »

En Espagne, le gouvernement a adopté en 2012 un plan de réduction des dépenses de santé de 7 milliards d’euros sur deux ans. Le pays a ainsi exclu les sans papiers du système de soins, sauf pour les urgences. Et il a fermé ou privatisé des dizaines d’hôpitaux et de centres de santé. Les enfants ne sont pas épargnés : la proportion d’enfants vivant dans des familles sans emploi a été multipliée par trois en Catalogne [5], avec des conséquences certaines sur leur santé.

Portugal et Irlande : baisse de la couverture santé

Au Portugal, l’accord conclu en 2011 entre Lisbonne et la troïka prévoit une coupe de 670 millions d’euros dans la santé. Le reste à charge des patients a doublé – de 2,25 à 5 euros – pour une consultation en ville et jusqu’à 20 euros pour une visite aux urgences. Seuls les patients à bas revenus, les malades chroniques – si la visite est en lien avec leur maladie – et les personnes handicapées en sont exemptés. En Irlande, la couverture santé a été réduite pour les plus de 70 ans et même les bas revenus doivent maintenant payer un ticket modérateur.

D’autres pays ont réduit leurs dépenses de santé à l’occasion de la crise. En plus de la Grèce et du Portugal, la Lettonie, la Slovénie et le Danemark ont accéléré la restructuration de leur secteur hospitalier. Et les professionnels de santé ont vu leurs salaires réduits en Grèce, au Portugal, en Irlande, mais aussi à Chypre, en Lituanie et en Roumanie.

L’Islande en meilleure forme

« De telles répercussions de la crise sur la santé ne sont toutefois pas inévitables », note la revue britannique, qui prend l’Islande en contre-exemple. Le premier pays touché par la crise financière « a rejeté l’orthodoxie économique qui se faisait l’avocate de l’austérité, a refusé d’être comptable de l’irresponsabilité de quelques banquiers et a investi dans son peuple », et a pu maintenir à niveau ses politiques de santé.

Ailleurs, là où les services publics sont sacrifiés sur l’autel des économies budgétaires, la véritable ampleur des conséquences sur la santé des citoyens ne seront visibles que dans plusieurs années. Alors que les données financières sont mises à jour à la semaine près, il faut environ deux ans pour obtenir les données sanitaires des populations, notamment le suivi du taux de mortalité. Du coup, « l’analyse des effets immédiats de la crise sur la santé » est « impossible », soulignent les auteurs de l’étude.

« Des ministres de la Santé bien silencieux »

A leurs yeux, « les voix des responsables de la santé publique sont restées inaudibles dans le débat sur la réponse à apporter à la crise. Nombre de ministres de la Santé sont demeurés silencieux. Le directeur général chargé de la santé et de la protection du consommateur à la Commission européenne a l’obligation légale d’examiner les conséquences des politiques européennes sur la santé. Il ne l’a pas fait pour la politique d’austérité de la troïka. Au lieu de cela, il s’est limité à conseiller les différents ministères de la Santé des pays membres sur comment ils pouvaient couper dans leurs budgets ». Pendant ce temps, les gouvernements ont les yeux rivés sur le moindre point de croissance.

« Une petite lueur d’espoir vient des organisations de la société civile européenne, dont les professionnels de santé, qui se sont prononcées sur les effets néfastes des coupes budgétaires en matière de santé et de dépenses sociales. La question est : quelqu’un les écoute-t-il ? », conclut l’étude. Le président du groupe des socialistes et sociaux-démocrates au Parlement européen, l’Autrichien Hannes Swoboda, a vite réagi à l’étude britannique. « Tous les rapports de la Commission devraient porter le label “L’austérité tue” », a-t-il déclaré le 27 mars. Sera-t-il entendu ?

Rachel Knaebel

Photo : Pedro Armestre

Notes

[1] Chez les moins de 65 ans. Source : “The European health report 2012 : charting the way to well-being”, p 78.

[2] “Financial crisis, austerity, and health in Europe”, disponible ici.

[3] Voir l’étude “European Centre for Disease Prevention and Control. Risk assessment on HIV in Greece”.

[4] A écouter ici.

[5] De 3,7% à 11,2% entre 2005 et 2010.

http://www.bastamag.net/article3014.html

 

 

 
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Publié par le 4 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Les noms de 130 Français ayant placé leur argent dans les paradis fiscaux dévoilés

 

 

Les petits malins qui seraient tentés de cacher une partie de leur fortune n’ont qu’à bien se tenir. Un consortium international de journalistes d’investigation, l’ICIJ, vient de dévoiler sur internet des documents secrets, qui comprennent des milliers de noms de patrons d’entreprises, grandes fortunes et autres personnalités ayant placé leur argent dans des paradis fiscaux.

Sont notamment concernées 130 Français, dont Jean-Jacques Augier, le trésorier de la campagne présidentielle de François Hollande. Comme l’a révélé Le Monde, ce dernier a en effet ouvert au cours des années 2000 deux sociétés aux Iles Caïman, dans le cadre de ses affaires en Chine.

De nombreuses autres personnes proches du pouvoir sont épinglées, partout sur la planète. Parmi elles, le vice-président du Parlement mongolien, la fille de l’ancien dictateur philippin Ferdinand Marcos, la famille du président d’Azerbaïdjan, la femme du vice-Premier ministre russe…

Sont aussi recensés de simples anonymes. On retrouve ainsi des dentistes américains, voire même des grecs issus de la classe moyenne, précise l’ICIJ.

Comment cette liste a-t-elle été mise au jour ? Grâce à un disque dur, que l’ICIJ a reçu un matin dans sa boîte aux lettres. A l’intérieur, 260 gigaoctets de données (feuilles de calculs, PDF, liens internet, images…), incluant notamment les noms de 122.000 sociétés « offshores » basées dans une dizaine de paradis fiscaux (Iles vierges britanniques, Singapour, Iles Cook…).

Pour analyser ces documents, l’ICIJ a collaboré avec 38 médias internationaux, dont Le Monde en France, la BBC et le Guardian au Royaume-Uni, ou encore le Washington Post aux Etats-Unis. Au total, 86 journalistes, en provenance de 46 pays, ont épluché pendant 15 mois ces dossiers.

Ce scandale, que l’on a d’ores et déjà baptisé « Offshore Leaks », n’a probablement pas fini de faire parler de lui. L’ICIJ a en effet promis qu’il dévoilerait de nouveaux noms au cours des prochaines semaines.

http://www.capital.fr/a-la-une/actualites/les-noms-de-130-francais-ayant-place-leur-argent-dans-les-paradis-fiscaux-devoiles-824993

 

 

 
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Publié par le 4 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Près de 15 000 emplois menacés dans l’industrie automobile….

 

Les ventes de voitures ont chuté de 16,4 % en mars sur un an en France. Le CNPA avait prévenu à l'automne qu'il s'attendait à une forte réduction des effectifs dans les métiers à l'aval de la production, notamment chez les concessionnaires et dans les ateliers de réparation.

 

Les réseaux de distribution automobile pourraient supprimer 15 000 emplois cette année en France si les ventes de voitures ne s’améliorent pas, estime le Conseil national des professions de l’automobile (CNPA), mercredi 3 avril dans Le Figaro. « On peut être assez inquiet pour cette année quand, l’an dernier, la rentabilité opérationnelle du réseau commercial français avoisinait 0 % », déclare Olivier Lamirault, président de la branche concessionnaires du CNPA.

Après avoir détruit 5 400 emplois en 2012, « les professionnels du commerce et de réparation pourraient supprimer 15 000 postes cette année si la situation ne change pas. Certains groupes ont déjà engagé des procédures de plans sociaux », ajoute-t-il.

Le CNPA avait prévenu à l’automne qu’il s’attendait à une forte réduction des effectifs dans les métiers à l’aval de la production en France, notamment chez les concessionnaires et dans les ateliers de réparation, en raison de la baisse des ventes de voitures. Celles-ci ont encore chuté de 16,4 % en mars sur un an.

La filière aval, qui emploie quelque 450 000 personnes en France, représente également les sociétés de recyclage, les carrossiers, les stations-service, les centres de contrôle technique et les loueurs de courte durée.

Outre la baisse des ventes de voitures, les concessionnaires souffrent aussi du ralentissement des activités d’entretien et de réparation de véhicules, précise Olivier Lamirault dans Le Figaro, l’après-vente couvrant seulement aujourd’hui 50 % de leurs frais fixes, contre 70 % deux ans plus tôt.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/04/03/pres-de-15-000-emplois-menaces-dans-l-industrie-automobile_3152539_3234.html#xtor=RSS-3208

 

 

 
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Publié par le 4 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

La Corée du Nord déplace un missile vers la côte Est

 

Pyongyang a prévenu Washington que ses troupes ont... (Photo AP)

 

La Corée du Nord a déplacé vers sa côte Est un missile doté d’une portée considérable, a indiqué jeudi la Corée du Sud, avant de prévenir que rien n’indique que le Nord se prépare à lancer une attaque.

Quelques heures plus tôt, Pyongyang avait prévenu Washington que ses troupes ont obtenu le feu vert pour lancer des attaques en ayant recours à des armes «plus petites, plus légères et nucléaires».

Le ministre sud-coréen de la Défense, Kim Kwan-jin, a réfuté les informations diffusées dans la presse japonaise selon lesquelles le missile serait un KN-08, un missile à longue portée qui serait capable d’atteindre les États-Unis. Il s’agirait plutôt d’un missile de type Musudan, dont la portée de 3000 kilomètres lui permettrait de frapper le Japon ou la Corée du Sud.

Le ministre Kim a ajouté que le missile a possiblement été déplacé dans le cadre de manoeuvres.

 

Des experts rappellent que la Corée du Nord n’a jamais démontré qu’elle possède des missiles capables de frapper à longue distance ou avec précision. Des missiles présentés lors d’un défilé militaire l’an dernier étaient probablement des modèles en vraie grandeur.

Les États-Unis avaient précédemment annoncé le déploiement d’un système de défense antimissile à Guam afin de contrer les menaces nord-coréennes dans la région de l’Asie-Pacifique.

Le déploiement du système de défense antimissile à haute altitude (Terminal High Altitude Area Defence System, ou THAADS), est le geste le plus récent que pose Washington afin de faire montre de sa puissance militaire. Le Pentagone a déjà envoyé des bombardiers B-52, des avions de chasse et des navires dans la région.

Cette annonce survient après que le secrétaire américain à la Défense Chuck Hagel eut affirmé, mercredi, que la rhétorique nord-coréenne représentait un réel danger et une menace pour les alliés des États-Unis dans la région, et que Washington faisait tout en son pouvoir pour tenter de calmer le jeu.

Il a expliqué, lors d’une allocution à l’Université de la Défense nationale, qu’il y existait un chemin vers la paix dans la péninsule coréenne, mais que les menaces nucléaires et les actions provocatrices ne mèneraient à rien.

Pyongyang a menacé, il y a quelques semaines, de frapper les bases américaines au Japon et à Guam, un territoire américain situé en Micronésie, dans le Pacifique.

Des pirates informatiques semblent enfin s’en être pris au compte Twitter officiel du régime nord-coréen.

http://www.lapresse.ca/international/asie-oceanie/201304/04/01-4637402-la-coree-du-nord-deplace-un-missile-vers-la-cote-est.php

 

 

 
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Publié par le 4 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Séoul évoque une action militaire pour protéger ses citoyens en Corée du Nord ….

 

 

 

Le ministre sud-coréen de la Défense a annoncé disposer d’un plan d’urgence pour garantir la sécurité de ses citoyens travaillant dans le complexe industriel de Kaesong, en territoire nord-coréen, fermé par Pyongyang. Il n’exclut pas un recours à la force.

Pyongyang avait fermé un peu plus tôt l’accès de cette zone industrielle conjointe, située près de la frontière, ajoutant aux tensions qui affectent la péninsule. Plus de 800 Sud-Coréens se trouvent toujours sur ce site, symbole de la coopération entre les deux pays.

« Nous devons tenter d’empêcher la situation d’empirer », a déclaré le ministre sud-coréen de la défense, Kim Kwan-Jin, lors d’une réunion de députés du parti conservateur majoritaire au parlement. « Nous avons préparé un plan d’urgence, y compris une possible action militaire, en cas de situation grave », a-t-il ajouté.

Volontaires pour rester

La Corée du Nord a empêché mercredi matin les employés sud-coréens d’entrer au sein de Kaesong, symbole de la coopération entre les deux pays, mais avait indiqué que les Sud-Coréens se trouvant à l’intérieur pourraient le quitter. Pyongyang n’a pas précisé combien de temps la suspension des entrées resterait en vigueur.

Selon Séoul, seuls neuf Sud-Coréens avaient pu repartir en début d’après-midi, heure locale. Plusieurs ont choisi de rester au sein du complexe pour s’assurer du bon fonctionnement des sociétés pour lesquelles ils travaillent, a précisé le ministère sud-coréen de l’Unification, en charge des relations entre les deux pays.

La zone industrielle implantée à 10 km à l’intérieur de la Corée du Nord a été inaugurée en 2004 dans une volonté symbolique d’établir une coopération entre les deux Corées.

Plus de 50’000 Nord-Coréens

Précieuse source de devises étrangères dont Pyongyang a grand besoin, ce complexe industriel qui emploie 50’000 Nord-Coréens est toujours resté ouvert malgré les crises répétées sur la péninsule, à l’exception d’une seule journée, en 2009. Pyongyang en avait bloqué l’accès pour protester contre des manoeuvres militaires conjointes américano-sud-coréennes.

Afp

 

Voir aussi:

Pékin appelle à la retenue et la Russie juge explosive la situation

 

 

 
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Publié par le 3 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Des milliers d’actionnaires  » en short  » lancent une action collective en justice contre RBS

LONDRES – Plus de 12.000 actionnaires de Royal Bank of Scotland (RBS) ont lancé une action judiciaire collective contre la banque britannique à laquelle ils réclament 4 milliards de livres (4,7 milliards d’euros) pour les avoir trompés lors d’une augmentation de capital en 2008, a annoncé mercredi l’association qui les représente.

Dans un communiqué, le RBOS Shareholder Action Group a annoncé avoir lancé une procédure contre la banque et ses dirigeants de l’époque, Fred Goodwin (son directeur général), Tom McKillop, Johnny Cameron et Guy Whittaker.

Cette association, qui dit représenter plus de 12.000 actionnaires particuliers et une centaine d’investisseurs institutionnels, estime que le montant des compensations réclamées dans le cadre de cette procédure judiciaire pourrait atteindre 4 milliards de livres.

Les administrateurs de la banque ont cherché à tromper les actionnaires en donnant une image fausse de la solidité de la banque et en omettant des informations essentielles dans le prospectus de l’augmentation de capital de 2008, soutient le RBOS Shareholder Action Group.

Selon ces actionnaires, RBS pourra donc être tenu responsable des pertes sur les actions souscrites lors de cette augmentation de capital, selon la législation britannique.

Cette action en justice est un pas de géant pour les milliers de gens qui ont perdu leur argent en raison des actions inexcusables des banques et de leurs administrateurs durant la crise financière. Désormais, certains de ces administrateurs vont devoir pour la première fois répondre de leurs actions devant un tribunal britannique, a déclaré un porte-parole de ce groupe d’actionnaires.

Sauvée en 2008 en pleine crise financière, RBS est contrôlée par l’Etat britannique, qui détient plus de 80% de son capital.

Condamnée en février à une lourde amende dans le scandale du Libor, RBS a encore fini l’année 2012 dans le rouge avec une perte colossale de près de 6 milliards de livres.

Afp

sheeeeeeeeeppepe

 

 
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Publié par le 3 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR

 

Séisme de magnitude 5.3 au Nord de l’Islande accompagné de plusieurs répliques (mise à jour)

Global view

Ampleur 5,3          Répliques : 4.2 / 3.3 / 3.4 / 3.9 / 4.7 / 3.8 / 3.7 / 3.3 / 3.3 ……
Date-Heure
Emplacement 66.460 ° N, 17.625 ° W
Profondeur 10 km (6,2 miles)
Région ISLANDE RÉGION
Distances
  • 89 km (55 miles) NNE (13 °) de Akureyri, Islande
  • 229 km (142 miles) NO (311 °) à partir de Neskaupstadur, Islande
  • 252 km (157 miles) E (79 °) à partir de Isafjordur, Islande
  • 326 km (203 miles) au nord (36 °) de Reykjavik, Islande

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Map of earthquake epicentres

Graph showing earthquake timing and magnitude

http://en.vedur.is/earthquakes-and-volcanism/earthquakes/

 

Mise à jour du Mercredi 3 Avril 2013

La Protection Civile islandaise a décrété le “niveau d’incertitude “(level of uncertainty) il y a environ une semaine car une activité sismique inhabituelle est actuellement enregistrée dans la région de l’Hekla. Un essaim sismique est enregistré depuis le 10 mars dans la partie NE de la caldeira sommitale. Les événements sismiques sont relativement profonds, à 11-12 km sous l’édifice volcanique.

Dans le même temps, le Met Office islandais a élevé à la couleur Jaune le niveau d’alerte aérienne.
Le « niveau d’incertitude » signifie que la région et en particulier les zones habitées doivent être placées sous surveillance pour le cas où la situation évoluerait et poserait des problèmes pour la sécurité et la santé de la population.

Ce niveau d’alerte suppose que les personnes susceptibles de participer à une éventuelle évacuation à proximité de l’Hekla se tiennent prêtes à intervenir. L’alerte comporte trois niveaux ; le « niveau d’incertitude » est le premier d’entre eux.

Il est demandé aux visiteurs de ne pas voyager dans le secteur de l’Hekla tant que le niveau d’alerte actuel est en vigueur.

La dernière éruption de l’Hekla a eu lieu en 2000.

Source : Iceland Review.

http://naturealerte.blogspot.fr/

 
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Publié par le 3 avril 2013 dans BILLET D'HUMEUR