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Archives de Tag: CLIMAT

Les chemtrails et le nouveau gène de Monsanto résistant à l’aluminium:une coïncidence ?

Pourquoi l’entreprise Monsanto a-t-elle développé un gène résistant à l’aluminium ?

Monsanto est actuellement en train de faire du marketing pour son gène résistant à l’aluminium. En voici un extrait, les amis :

« Dans les pays en voie de développement, les petites exploitations fermières pauvres en ressources font face à des tensions quotidiennes comprenant la pauvreté des sols, la sécheresse et le manque de contributions financières. Les tendances en cours comme le changement climatique et la croissance démographique vont probablement aggraver ces tensions. Une nouvelle génération de recherche en culture génétiquement modifiée (GM) a pour but d’apaiser ces pressions à travers l’amélioration des cultures de subsistance – comme le manioc, le sorgho et le mil – qui possèdent des caractéristiques spécifiques comme la tolérance à la sécheresse, à l’eau, à l’aluminium présent dans les terres aussi bien que dans les plantes avec une utilisation plus efficace de l’azote et du phosphore. »

(http://www.ifpri.org/publication/delivering-genetically-engineered-crops-poor-farmers)

Maintenant, rappelons-nous du travail d’investigation du journaliste Michael Murphy à propos des chemtrails, de la géo-ingénierie, et du fait que des taux extrêmement élevés d’aluminium et de baryum sont relevés dans l’eau, la neige et la terre, dans des régions qui semblent être constamment touchées par les chemtrails. Le film What in the world are they spraying présente des preuves scientifiques irréfutables sur la présence non naturelle d’aluminium et de baryum dans différentes régions du monde et à des niveaux considérés comme étant particulièrement dangereux pour la santé humaine (jusqu’à 700 fois la norme autorisée !).

Le fait que Monsanto puisse « venir à la rescousse » avec ses gènes résistants à l’aluminium, parce que les plantes normales meurent en présence d’un excès en aluminium, est-il un hasard ? Ou alors le capitalisme opportuniste et le monopole alimentaire planifié grâce à la générosité de Monsanto et la dialectique hégélienne basée sur l’information d’initiés supposent qu’un programme de « geo-ingénirie » proposé est déjà en cours et qu’il est en train de remplir notre atmosphère de chemtrails contenant de l’aluminium et du baryum ?

Ce n’est pas un jeu les amis. Nous sommes touchés de toutes parts par un programme génocidaire planifié destiné à rendre quelques familles encore plus riches qu’elles ne le sont déjà, et réduire la population mondiale à 500 millions comme gravé dans les Georgia Guidestones. Ce n’est rien d’autre qu’une guerre biologique.

Sources

Article original : http://farmwars.info/?p=2927

Auteur : Barbara H. Peterson

Traduction : la-matrice pour Conspipedia

 
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Publié par le 24 novembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Géoingénierie climatique:la preuve par Nagoya.

 

Au sommet international sur la biodiversité de Nagoya, plusieurs Etats ont rejoint les Philippines pour demander un moratoire sur les techniques de géoingénierie destinées à lutter contre l’effet de serre. Ces manipulations à grande échelle pourraient avoir des effets néfastes.

Mercredi matin à Nagoya, les Philippines ont officiellement demandé un moratoire pour toutes les techniques de géoingénierie visant à lutter contre les changements climatiques. En cours de séance de négociation sur les liens entre la biodiversité et le réchauffement climatique, la représentante de cet Etat a invoqué le principe de précaution. Elle a été rejointe par le Costa Rica, Tuvalu, Grenade, la Suisse, les pays africains, et dix pays d’Amérique du sud (le groupe Alba dont font partie le Venezuela et Cuba).

Cadre réglementaire

Selon les Philippines, plus aucune expérimentation ne devrait avoir lieu dans quelque endroit de la planète sans qu’un cadre réglementaire et un mécanisme international d’encadrement et de surveillance n’ait été mis en place. Dans la ligne de mire: la fertilisation des océans par du fer afin de stimuler la croissance du phytoplancton, lui même fixateur de CO2. Le projet est présenté comme un bon moyen de lutter contre les gaz à effet de serre. Les expériences menées n’ont pas vraiment été concluantes. Les Philippines font remarquer que ces initiatives ont lieu dans les eaux internationales, sans aucun contrôle et échappent ainsi à toute demande d’autorisation.

En 2008, la Convention sur la biodiversité biologique s’était déjà saisie de la question, s’estimant légitime sur des opérations qui peuvent perturber la biodiversité marine et un groupe technique issu de la Convention étudie la question. Mais, là, c’est un vrai moratoire qui est demandé. Même les essais devraient être interdits tant que des études n’ont pas été menées sur les effets néfastes possibles de telles expériences.

Peindre en blanc

Cette position a été saluée par nombre d’ONG qui s’opposent aux propositions d’ingénieurs pour «réparer» des déséquilibres créés par l’homme. Outre l’ensemencent des mers, ces ONG ciblent également l’amélioration de l’albedo de la Terre (sa capacité à renvoyer le rayonnement solaire) par la peinture en blanc de grandes surfaces -notamment des toits-, l’aspersion d’eau de mer dans l’atmosphère pour augmenter la création de nuages ou encore…  la capture et le stockage de CO2, une technique qui fait déjà l’objet de nombreuses expériences partout dans le monde et notamment en France.

Les discussions sur ce sujet ont duré toute la nuit de mercredi à jeudi. Les négociateurs tentent de mieux définir le terme de géoingénierie afin de délimiter le champ d’application d’un éventuel moratoire dans des conditions acceptables pour la recherche scientifique.
Le sommet international sur la biodiversité de Nagoya, qui rassemble les Etats signataires de la Convention sur la diversité biologique, se poursuit au Japon jusqu’au 28 octobre.

http://www.sciencesetavenir.fr/actualite/nature-environnement/20101021.OBS1602/en-direct-de-nagoya-la-geoingenierie-en-ligne-de-mire.html

Un debunker est demandé,merci….!

 
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Publié par le 21 octobre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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L’incroyable arnaque de BP – 2e partie: les multiples puits/conséquences océaniques et climatiques

Note de l’auteur: Cet article est la suite et une mise à jour de L’incroyable arnaque de BP: le puits (B) qui n’a jamais été colmaté, qui fut publié le 31 août 2010. À la suite de certaines observations faites par quelques lucides lecteurs, des corrections et précisions devaient être apportées et j’en profite donc pour donner de l’expansion à ce dossier. Cet présent article devrait donc conséquemment remplacer le premier puisqu’il est maintenant mis à jour avec toutes les modifications et qu’il contient de notables ajouts.

– La section A renferme la section du premier article qui est conservée;

La section B constitue la suite et la mise à jour;

La section C renferme des indications inquiétantes quant aux conséquences de ce volcan de pétrole sous-marin sur les courants marins qui eux, à leur tour, influencent le climat planétaire.

Je tiens à remercier tous les intervenants qui ont contribué à ce que ce dossier soit complet et sans faille. Le travail à l’unisson de la communauté de chercheurs sur Internet nous mène inéluctablement sur le chemin de la vérité et c’est ensemble que nous parvenons à nous y rapprocher. Sans tous ces gens qui collaborent ensembles et qui apportent leur part de vérité pour former une vue d’ensemble, ce travail journalistique ne serait pas possible.

Mes hommages à tous ces journalistes citoyens qui s’acharnent à poursuivre la vérité, partout où elle se trouve.

François Marginean

La suite ici:

http://les7duquebec.wordpress.com/2010/09/07/lincroyable-arnaque-de-bp-2e-partie-les-multiples-puits-consequences-oceaniques-et-climatiques/

Respects et hommages à tous ces journalistes en quête de vérité!

 
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Publié par le 7 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Climat mondial:comment la catastrophe Bp risque de provoquer une future glaciation

Dossier : 2.png circulation thermohaline

Dans l’article qui suit,des scientifiques nous expliquent comment la fuite de BP dans le Golf du Mexique a détérioré,voir stoppé le cours normal du Gulf Stream,entraînant ainsi un disfonctionnement de Jet stream et provoquant les catastrophes en Russie ainsi qu’au Pakistan et ailleurs dns le monde et qui  pourrait au final si leurs affirmations se confirment, provoquer une future glaciation avec des conséquences comme,mélange des saisons,mauvaises récoltes,augmentations des sécheresses et des inondations dans le monde,ainsi que famine et migration importante de population….Tout un programme,et non des plus réjouissant…!!!

http://nutrimedical.com/news.jhtml?method=view&news.id=2863

 
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Publié par le 1 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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L’activité solaire pourrait expliquer les hivers froids en Europe

Posted by Équipe Signes des Temps on April 18, 2010

Futura-science, 16 avril

par Grégoire Macqueron

La Terre a beau se réchauffer, l’Europe pourrait connaître une série d’hivers rigoureux évocateurs de ceux du petit âge glaciaire du 17e siècle. La faute à l’activité pâlotte du Soleil, accusent des scientifiques anglais. Cette faiblesse perturberait le jet stream du front polaire et empêcherait l’air chaud d’atteindre l’Europe pendant l’hiver.Malgré le réchauffement de l’hémisphère nord, l’Angleterre vient de connaître son 14e hiver le plus froid depuis 160 ans. S’il existe plusieurs explications à cela, celle qui a la préférence des scientifiques de l’université de Reading repose sur l’activité solaire. L’équipe menée par Mike Lockwood vient en effet de mettre en évidence une forte corrélation entre la faiblesse de l’activité solaire et l’apparition d’un phénomène de blocage du jet stream de l’hémisphère nord.

Ce jet stream (appelé aussi courant-jet) est un courant aérien très puissant qui parcourt l’hémisphère à grande vitesse, entre 6 et 15 kilomètres d’altitude. Il sépare les masses polaires d’air froid (front polaire) des masses chaudes tropicales. En cas de phénomène de blocage, ce courant aérien adopte un parcours en « S » qui permet localement aux masses d’air polaires de descendre vers le sud et empêche les masses d’air chaud de remonter vers le nord.


Les méandres du jet stream de l’hémisphère nord. En bleu figurent les masses d’air froides et en orange les masses chaudes. En cas de blocage du jet stream (c), celui-ci adopte un parcours en « S » qui permet aux masses d’air froides de descendre. © W, Wikimédia CC by-sa 3.0

Par conséquent, la baisse d’activité du Soleil qui a débuté en 1985 pourrait indiquer une augmentation de la fréquence des hivers rigoureux, notamment en Europe. Mike Lockwood précise que ce phénomène est régional et saisonnier, sans effet sur la température globale de la planète. C’est la façon dont l’énergie solaire est répartie sur la planète qui est modifiée, non la quantité d’énergie que la Terre reçoit.

L’équipe de Mike Lockwood, dont les travaux sont publiés dans la revue Environmental Research Letters, a découvert cette forte corrélation en comparant les tendances à long terme du champ magnétique solaire avec les températures régionales du Central England Temperature.

Coup de froid sur l’Europe

Le mécanisme qui relierait l’activité solaire à la modification du jet stream est inconnu. Une explication possible pourrait être que la baisse d’activité solaire affecte les températures de la stratosphère, entre 20 et 50 kilomètres au-dessus de nos têtes. Cela entraînerait une modification de la circulation de cette couche atmosphérique qui perturberait à son tour la circulation de la troposphère dans laquelle se déroulent les phénomènes météorologiques comme les jets streams.

Si cette corrélation se confirmait, les Européens peuvent s’attendre à retrouver plus souvent des hivers rigoureux ainsi que les neiges d’antan. Les scientifiques rappellent en effet dans leurs travaux que l’Europe a connu une autre époque où une série d’hivers très froids a coïncidé avec une baisse de l’activité solaire. C’est le Petit âge glaciaire, aussi appelé minimum de Maunder, qui eut lieu approximativement entre 1645 et 1715. Selon eux, le taux d’isotopes cosmogéniques (isotopes rares formés par les rayons cosmiques) suggère qu’il y a 8% de chance que les conditions d’un minimum de Maunder soient rassemblées d’ici 50 ans…

http://www.futurquantique.org/?p=4861

Très cohérent et qui pourrait expliquer le brusque changement de météo en Russie: ( https://realinfos.wordpress.com/2010/08/16/russie-apres-le-feu-leau/ )

 
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Publié par le 16 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Inondations en Chine: le barrage des Trois-Gorges suscite l’inquiétude

Les habitants de la province de hubei dans le wuhan essaient de sauver tout ce qu'il peuvent après les inondations .

Les habitants de la province de hubei dans le wuhan essaient de sauver tout ce qu’il peuvent après les inondations . Reuters / Stringer

Par RFI

En Chine, le barrage des Trois-Gorges, le plus grand du monde, a connu ce 28 juillet au matin un nouveau pic de crues. Les ingénieurs surveillent de près sa résistance alors que les averses continuent sur la moitié sud du pays. Les pluies torrentielles de ces dernières semaines provoquent des inondations spectaculaires le long du fleuve Yangtsé qui traverse le pays. Ce sont les pires crues depuis dix ans.

Avec notre correspondance à Shanghai, Delphine Sureau

Un niveau de 158 mètres. Jamais le réservoir du barrage des Trois-Gorges, achevé l’an dernier sur le Yangtsé, n’a atteint un tel niveau. Pour contenir ce nouveau pic de crues, les écluses de plus grand barrage du monde ont été fermées, entravant la circulation sur le fleuve. Il faut rappeler que ce barrage a été construit pour contrôler le fleuve Yangtsé qui sort de son lit tous les étés à la saison des typhons.

Si certains spécialistes émettent des doutes sur la résistance du géant, un autre barrage suscite encore plus d’inquiétude. Le réservoir de Danjiangkou dans le Hubei au centre du pays, situé sur un affluent du Yangtsé. L’eau y a dépassé de 6 mètres la cote d’alerte.

Les autorités chinoises ont déjà élaboré une stratégie : inonder en priorité les petites villes voisines dont l’évacuation a commencé à se faire pour épargner la grosse ville qui compte 9 millions d’habitants.

Il n’y a pas que le Yangtsé qui déborde mais aussi ses principaux affluents, de nombreux fleuves, d’autant qu’en pleine saison des typhons, des pluies torrentielles continuent de s’abattre sur le sud et le centre de la Chine.

Inondations spectaculaires, coulées de boue et glissements de terrain: depuis deux semaines, les secours sont mobilisés nuit et jour. Dans le Henan, toujours au centre, c’est un pont de 10 mètres de haut qui s’est effondré le 24 juillet. Une centaine d’habitants et de touristes s’y étaient rassemblés pour observer la montée des eaux.

Chaque jour, le nombre de victimes augmente. Cette année, près de 900 personnes sont mortes, et l’on compte des centaines de disparus. C’est le bilan le plus lourd depuis la crue record du Yangtsé en 1998, qui avait fait 400 morts.

http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20100728-inondations-chine-le-barrage-trois-gorges-suscite-inquietude

 
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Publié par le 28 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Le GIEC n’a qu’à bien se tenir!

 – Un satellite destiné à étudier les variations d’activité du Soleil et leur effet éventuel sur le climat terrestre doit être lancé le 15 juin depuis le cosmodrome de Yasny (Russie), selon le Centre national français d’études spatiales (CNES). Situé à 150 millions de km de la Terre, le Soleil voit son activité fluctuer selon des cycles de onze ans. Le satellite Picard a été conçu pour mesurer simultanément la vitesse de rotation du Soleil, sa puissance rayonnée, la présence de taches à sa surface, sa forme et son diamètre afin d’étudier les relations entre ces différents éléments. Les données recueillies doivent permettre « d’évaluer l’influence de notre astre sur l’évolution des températures terrestres et sa contribution au réchauffement climatique », précise le CNES. « Pour certains experts, plus de 80% du changement climatique actuel proviendrait des gaz à effet de serre et 10-20% du Soleil. Mais tout le monde n’est pas d’accord avec ces proportions », rappelle le CNES dans un dossier présentant la mission Picard. D’où l’intérêt de mieux connaître la « variabilité solaire ». Les taches, zones moins chaudes à la surface du Soleil, sont marquées par une intense activité magnétique. Leur nombre augmente avec l’activité solaire, au début d’un cycle de onze ans, avant de diminuer ensuite. Les données fournies par le satellite Picard doivent permettre de reconstruire l’histoire climatique du Soleil et de modéliser son activité. Ce microsatellite d’un poids de 150 kg porte le nom de l’astronome français Jean Picard qui, au XVIIe siècle, avait mesuré le diamètre du Soleil et sa relation avec l’activité solaire. Une diminution de température moyenne, le minimum de Maunder (1645-1715), avait été constatée à cette époque, ainsi que l’absence de tache solaire visible. Le Soleil a-t-il alors été le siège d’une « baisse de régime » à l’origine d’un refroidissement sur Terre ? Le satellite Picard, prévu pour observer le Soleil deux à trois ans au moins, voire cinq ans, comme l’espèrent les scientifiques, devrait étudier la « phase ascendante » de l’activité de notre étoile, au début d’un nouveau cycle (le cycle 24) après une période calme. C’est surtout dans le domaine du rayonnement ultra-violet que les variations du flux solaire se manifestent. Dans la stratosphère, ces UV sont à l’origine de la formation de la couche d’ozone et réchauffent les hautes couches de l’atmosphère, selon les scientifiques. Picard, qui doit être placé en orbite à 725 km d’altitude devra analyser le rôle du Soleil dans la création et la destruction de l’ozone atmosphérique. Egalement chargé d’étudier la structure interne de notre étoile, il devra aussi détecter « des événements solaires pouvant provoquer des incidents terrestres ». Des systèmes de navigation par satellite, de télécommunication ou de distribution d’électricité ont déjà souffert lors de violentes éruptions à la surface du Soleil, entraînant d’importants flux de rayons X ou UV et de particules. Picard, microsatellite de 150 kg, est équipé d’un télescope, Sodism, qui effectuera des images du Soleil dans cinq longueurs d’ondes et de deux autres instruments (Premos et Sovap) destinés à mesurer la puissance totale émise par le Soleil. Il doit être mis en orbite par un lanceur Dnepr qui doit décoller mardi à 14H42 GMT de Yasny, près d’Orenbourg, non loin de la frontière avec le Kazakhstan, en emportant également deux satellites du programme suédois Prisma destinés à maîtriser le vol en formation.

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/06/12/cycles-d-activite-du-soleil-et-climat-une-mission-pour-le-satellite-picard_3244_108_42702785.html

 

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Climat et activité solaire : Le soleil nous refroidit !

 

« Les hivers froids en Europe sont-ils associés à une faible activité solaire ? « 

Tel est le titre d’un article récent qui vient de paraître, sous la signature d’auteurs plutôt inattendus, dans Environnemental Research Letters qui est une publication de l’IOP (L’institute of Physics UK) revue par les pairs. Cet article accessible à tous (ce sont les institutions des auteurs qui payent pour publier; à l’inverse de ce qui se pratique habituellement), porte la référence suivante : Environ. Res. Lett. 5, (2010) 024001.

Je ne vous fais pas attendre : La réponse, est « Oui, les hivers froids sont associés à une faible activité solaire », selon les auteurs de cette publication,. En soi, la réponse à cette question n’a rien n’inattendu pour ceux qui ont déjà ouvert des livres d’histoire et qui savent que le minimum d’activité solaire de Maunder ou encore, celui de Dalton, ont été caractérisés par des périodes de grande froidures, au moins dans les pays où l’on trouve des archives détaillées, c’est à dire, essentiellement, en Europe. scafetta33

Pour illustrer cette affirmation, je reproduis le graphe du billet précédent qui donne la superposition des courbes de températures (reconstruction de Moberg prolongée par les mesures de températures récentes) et du forçage solaire, donné par N.Scafetta (voir article précédent). On y distingue très bien les minima de températures observées de 1650 à 1730 (minimum de Maunder, quasi disparition des taches solaires) et dans les années 1800-1830 (Minimum de Dalton : activité solaire très réduite).

Les auteurs de l’article que nous évoquons ici sont :

M Lockwood, R G Harrison, T Woollings and S K Solanki.

Mike Lockwood, Regis G Harrison et T Woollings font partie du Space Environment Physics Group, Department of Meteorology, Université de Reading (Royaume Uni)
Samir Solanki est un chercheur allemand spécialiste du soleil au sein de l’Institut Max Planck en Allemagne.

A l’exception de T Woolings (de Reading) , les lecteurs attentifs reconnaîtront trois chercheurs que nous avons déjà mentionnés dans les pages de ce site. Il s’agit de Mike Lockwood, de Regis Harrison et de Samir Solanki.

Compte tenu du fait que l’article récent que je commente ici, s’inscrit en fait dans la longue bataille qui opposent les solaristes (« c’est le soleil qui est en grande partie responsable des variations de températures ») aux scientifiques mainstream du GIEC (« ce sont les gaz à effets de serre »), je crois qu’il est utile de faire quelques rappels préliminaires pour percevoir les ressorts cachés derrière cet article qui sous une apparence anodine est, en réalité, très révélateur de certaines démarches….

La suite sur Pensée Unique

 
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Publié par le 3 mai 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Climategate: les scientifiques blanchis

 

Raphael Satter
Associated Press
Londres

Une enquête parlementaire britannique sur un scandale mettant en cause l’un des centres majeurs de recherche sur le climat s’est rangée du côté des scientifiques qui avaient été soupçonnés de manipulation de données concernant le réchauffement climatique.


Des parlementaires ont estimé que les chercheurs du Centre de recherche sur le climat de l’Université d’East Anglia (CRU) dirigé par Phil Jones avaient agi conformément aux pratiques habituelles quand ils ont refusé de transmettre des données chiffrées notamment sur les températures dans le monde et qu’ils n’avaient pas cherché à tromper.

Phil Jones, le climatologue britannique au centre de la polémique sur une éventuelle manipulation des données sur le réchauffement, avait justifié son refus en arguant qu’il ne s’agissait pas là d’une «pratique habituelle».

Jones — qui a temporairement renoncé à son poste de directeur de l’unité tant que l’enquête est en cours– a été vivement critiqué après que plus 1.000 courriels et documents de chercheurs collaborant avec le CRU, victime d’un piratage informatique ou de fuites, ont été publiés sur internet.

Certains avaient répandu le soupçon de manipulation de la part de la communauté scientifique pour étayer la thèse du réchauffement climatique.

La Commission pour la science et la technologie de la Chambre des Communes a cependant prié les scientifiques qui travaillent sur les changements climatiques de communiquer davantage d’informations afin d’empêcher à l’avenir de nouvelles controverses.

Mais l’enquête concernant la publication de ces données, la première d’une série concernant cette affaire, estime que ni Phil Jones ni l’unité de recherche dans son ensemble n’avaient agi de façon malhonnête.

«L’attention portée sur le professeur Jones et l’Unité est tout à fait mal placée», indique la Commission parlementaire dans son rapport.

«Concernant les accusations relatives au refus du Professeur Jones de partager les données et les codes informatiques, la Commission estime que ses initiatives sont conformes aux pratiques de la communauté scientifique sur le climat».

L’enquête demande toutefois aux scientifiques une plus grande transparence, et que les données et les méthodologies soient publiées, jugeant que «si cela avait été le cas, nombre de problèmes au CRU auraient pu être évités».

Le rapport estime enfin ne pas avoir trouvé de raison pour remettre en cause le consensus scientifique du réchauffement climatique mondial et qu’il est induit par l’activité humaine,» citant John Beddington, le conseilleur scientifique du gouvernement britannique.

Une fois de plus,on donne raison au dieu dollars et aux profits pour un petit nombre!!!! Écoeurant!!!!

Et Einstein disait:

 » Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine… mais pour l’univers, je n’ai pas de certitude absolue. « 

 

 
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Publié par le 9 avril 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Le projet H.A.A.R.P

 

La technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives, dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance. Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques, de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d’un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l’espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs” (Zbigniew Brzezinski, principaux concepteur de la politique étrangère américaine avec Henry Kinsinger).

Un premier reportage, diffusé par la chaîne ITV et déjà publié sur ce site, présentait succinctement le projet HAARP : http://www.prisedeconscience.org/science/projet-haarp-itv-86

Voici maintenant un documentaire plus complet abordant précisément ce funeste projet.

Sous le sigle HAARP se cache un des programmes de recherche appliquée qui, bien que présenté comme inoffensif et d’usage civil, est considéré par un grand nombre de scientifiques de renom comme une arme secrète redoutable, développée par les Américains et qui serait déjà opérationnelle. Que les sceptiques prompts à la moquerie facile veuillent bien prendre le temps de s’informer en lisant cet article. Nous ne prétendons pas que cette arme soit utilisée, nous pensons donner suffisamment d’indices pour suggérer qu’elle existe et nous posons le problème moral de son emploi.
Il y a une trentaine d’années, Zbigniew Brzezinski, Conseiller pour la Sécurité Nationale américaine, écrivait dans son livre « Entre deux âges » que : « La technologie permettra tôt ou tard aux chefs des grandes nations d’utiliser des techniques pour mener des guerres secrètes. Des techniques, de modification sélective et ciblée du climat, pourront être employées pour déclencher des périodes prolongées de sécheresse ou d’orage ». Rappelons que Brzezinski  co-fonde alors, avec David Rockefeller, la commission Trilatérale en 1973, qu’il dirige jusqu’en 1976.

Rosalie Bertell est couverte de diplômes et a été conseillère scientifique du président Carter pour les technologies de défenses au cours des années 1970. Elles a réalisé de nombreuses études sur des sujets comme la radiation émises par les essais nucléaire et a dirigé de nombreuses commissions internationales sur diverses catastrophes. En 2005, Rosalie Bertell  a été sélectionnée parmi les “milles femme de paix” pour le prix nobel. Elle compare Haarp à un “four gigantesque qui peut entrainer une déchirure dans l’ionosphère et générer non seulement des trous, mais de grandes entailles dans la couche protectrice qui empêche les radiations mortelles de bombarder notre planète“. Pour elle la question ne se pose pas : “Ce sont les militaires qui ont détérioré le climat et la couche d’ozone“.

Rosalie Bertell confirme que « Les scientifiques militaires américains travaillent sur des systèmes atmosphériques pouvant être employés comme armes potentielles. Les méthodes incluent l’intensification des orages et la canalisation des vapeurs de rivières dans l’atmosphère terrestre pour produire des sécheresses et des inondations ciblées ».

En février 1998, le Comité des Affaires Étrangères de Sécurité et de Défense du Parlement Européen, interpellé officiellement par un rapport de Britt Theorin, Membre du Parlement suédois, a tenu des audiences publiques à Bruxelles sur le programme H.A.A.R.P. Les conclusions officielles de ces séances furent que : « Le Comité considère que H.A.A.R.P, compte-tenu de son puissant impact projeté à distance sur l’environnement, est un problème global qui exige que ses implications éthiques, légales et écologiques soient examinées par un corps d’experts internationaux indépendants. Le Comité regrette les refus répétés de l’Administration des Etats-Unis de témoigner et donner des preuves sur les risques publics et environnementaux du programme H.A.A.R.P ». Cette demande fût alors rejetée, lui étant opposé le fait que la Commission Européenne ne peut s’immiscer dans « les liens entre l’environnement et la défense » (sic), et Bruxelles voulant éviter un rapport de force avec Washington.

Nicholas Begich (présent dans la 1ère partie de cette vidéo), docteur en médecine, est profondément impliqué dans la campagne contre le projet Haarp. Il est coauteur avec la journaliste Jeanne Manning, spécialisée dans les recherches sur les énergies dites “non conventionnelles”, de l’ouvrage “Les anges ne jouent pas de cette Haarp” (rubrique “livre” de ce site). Il affirme sans ambiguïté que l’un des buts de  ce projet est de mettre sur pied une arme de destruction, aussi bien massive qu’individuelle.

Dès 1952, le docteur José Manuel Rodriguez Delgado, professeur de physiologie à Yale, avait découvert que l’on pouvait affecter le comportement émotionnel et la façon de penser d’un individu par l’utilisation de certaines fréquences et de certaines ondes. Avec d’autres scientifiques comme Robert Becker, ils ont réussi à démontrer que des ondes de types ELF, identiques à celles utilisées par Haarp qui sont couplées avec l’emploi de courant alternatif, génèrent des fréquences “où la plupart des fonctions cérébrales profondes de l’être humain peuvent être manipulées de l’extérieur avec des résultats tangibles“. Le docteur Begich explique que certaines ondes peuvent provoquer dans le cerveau l’apparition de substances neuro-chimiques  qui génèrent “un vaste arsenal de réponses et de comportements émotionnels ou intellectuels comme des sentiments de peur, de dépression, de désir, d’amour“.

Marc Filterman, ancien officier de l’armée française, distingue plusieurs sortes d’armes “non conventionnelles” qui utilisent des radiofréquences. Il estime que les Etats-Unis et l’union soviétique maîtrisent parfaitement la manipulation du climat depuis le début des années quatre-vingt, grâce à ELF.

Ces brefs paragraphes d’introduction pouvant donner à penser que H.A.A.R.P n’est pas une fumisterie du type du monstre du Loch Ness ou de l’abominable homme des neiges, il convient d’en dire un peu plus sur ce programme.

Haarp est donc une installation militaire conjointe entre l’US Navy et l’US Air Force, financée directement par le département américain de la Défense, sans avoir à passer par un processus d’évaluation par des chercheurs américains comme c’est le cas d’habitude.

Voyons ce qu’en dit Michel Chossudovsky dans la revue The Ecologist et dans Global Research : « HAARP est une arme de destruction massive, capable de déstabiliser des systèmes agricoles et écologiques au niveau mondial. » La guerre climatique (il s’agit bien de cela) est susceptible de menacer l’avenir de l’humanité.

Comment ça marche ?
Cette technologie revient à pointer vers l’ionosphère un faisceau d’ondes (comme le ferait un émetteur radio) à la haute fréquence afin de voir ce qui s’y passe. Le bombardement d’une zone donnée de l’ionosphère avec ces HF a pour effet de créer un énorme miroir virtuel qui agit comme une antenne. Cette « antenne » virtuelle émet des fréquences extrêmement basses vers la Terre. C’est un peu comme si on créait une sorte de four micro-ondes géant dans un territoire donné de l’ionosphère. Ces ondes sont de nature à dérégler les systèmes de guidages électroniques aussi bien d’avions qui passeraient par là, que des missiles, jusqu’à les faire se désintégrer en plein vol. Mais Haarp peut aussi bien déclencher des séismes.
Et si certains récents séismes étaient provoqués ? Grâce à ces ondes, on peut aussi « scanner » la croûte terrestre à des profondeurs extrêmes pour en faire une sorte de radiographie afin de détecter n’importe quelle implantation secrète nucléaire. L’injection de fortes quantités d’énergie dans l’ionosphère a la capacité d’influencer la météorologie, provoquant des effets bénéfiques dans une région ou cauchemardesque dans une autre. On peut également provoquer la libération soudaine d’une énorme quantité d’énergie, en imitant par exemple le flash provoqué par une explosion nucléaire à haute altitude. Ce type d’action ne relève pas de la science-fiction, il a été utilisé en 1991 au cours de la guerre du Golfe et de l’opération « Desert Storm ».   Selon le périodique militaire officiel Defence News (n19 du 13 avril 1992), les Etats-Unis avaient déployé sur le champ de bataille une arme à impulsion électromagnétique (EMP Weapon).   Le but de cette arme est double:  il permet, comme le fait une explosion nucléaire, d’empêcher toute forme de communication radio chez l’ennemi et a un effet redoutable en matière de guerre psychologique. On comprend mieux dans ce cas pourquoi des dizaines de milliers de soldats irakiens se sont rendus sans combattre. Il serait peut-être temps d’arrêter de jouer aux apprentis sorciers…

Haarp aurait donc la capacité d’interrompre toute forme de communication hertzienne, de modifier la météorologie, d’influer sur le cerveau humain, de provoquer des tremblements de terre en bombardant d’onde certaines zones à failles sismique par exemple, et pourrait générer des explosions aussi puissantes qu’une bombe atomique.

A noter que l’Australie et la Russie dispose d’une telle installation..

Source : http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/haarp-un-systeme-d-armement-68896

source : http://www.oulala.net/Portail/spip.php?article833&lang=fr

Enfin, voici un lien portant sur une étude complète de l’astrophysicien Jean-Pierre Petit, intitulée : “Le projet Haarp et ce qu’il cache” :

http://www.jp-petit.org/nouv_f/Crop%20Circles/Haarp.htm

Et un dernier, détaillant ce projet de manière complète :

http://www.onnouscachetout.com/themes/technologie/haarp.php

Pour le doc vidéo en haut de page à cette adresse:

 http://www.prisedeconscience.org/category/manipulation-et-complot

 

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Des poissons-rubans de mauvais augure présagent-ils un séisme au Japon ?

Le Japon se prépare à un tremblement de terre après la découverte de dizaines de poissons-rubans géants sur les côtes et dans les filets des pêcheurs. Ces poissons sont traditionnellement les signes avant-coureurs de puissants séismes.

Ces poisson-rubans géants peuvent faire 5 mètres de long et se rencontrent à des profondeurs de 1000 mètres, rarement au-dessus de 200 mètres sous la surface.

L’apparition du poisson suit le séisme destructeur de magnitude 8.8 au Chili ainsi que celui d’Haïti. Un séisme d’une magnitude de 6.4 a également frappé le sud de Taiwan.

Ces mouvements tectoniques autour de la « Ceinture de feu » inquiètent le Japon – qui craint être le prochain pays touché. Ces inquiétudes sont renforcées par l’apparition inexpliquée du poisson connu traditionnellement sous le nom de « Messager du Palais du Dieu de la Mer ».

Ces dernières semaines, 10 spécimens se sont échoués sur les côtes ou ont été pris dans les filets au large de la préfecture d’Ishikawa, Une demi-douzaine ont été pris dans les filets de la préfecture de Toyama et d’autres ont été signalé dans les préfectures de Kyoto, Shimane et Nagasaki, toutes sur la côte nord.

Selon la légende japonaise traditionnelle, le poisson remonte à la surface et s’échoue pour avertir d’un tremblement de terre imminent – et il existe des théories scientifiques selon lesquelles les poissons des abysses seraient susceptibles aux mouvements des failles sismiques et agiraient de façon anormale avant un séisme – mais les experts font davantage confiance en leur surveillance constante high-tech des plaques tectoniques sous la surface de l’eau.

« Dans les temps anciens les japonais croyaient que les poissons avertissait des séismes à venir, surtout le poisson chat, » a dit Hiroshi Tajihi, sous-directeur du Centre Sismique de Kobe.

« Mais ce sont juste de vieilles superstitions et il n’y a pas de lien scientifique entre ces observations et un séisme, » a-t-il dit.

PS:

*Lors du tsunami qui avait ravagé le Sri Lanka et la Thaïlande, en décembre 2004, on avait retrouvé tous les éléphants vivants. ´´Les éléphants, dont on a signalé qu’ils étaient partis en courant vers l’intérieur des terres au Sri Lanka ou en Thaïlande ont des modes de communication infrasonores. Ils perçoivent dans l’infrason des signaux inaudibles pour l’homme et ont l’appareillage physiologique pour communiquer entre eux sur de très grandes distances, plusieurs dizaines de kms.

*Dans l’Indiana, aux Etats-Unis, début avril 2008, un tremblement de magnitude 5,1 a clairement été perçu à l’avance par les animaux domestiques. Les chats et les oiseaux, dont un perroquet prénommé Sadie, devenu, depuis, vedette de la presse magazine.

*Cinq jours avant le séisme qui anéantit Helas, en Grèce, en 373 avant notre ère, rats, serpents, belettes, vers et scarabées, quittèrent la ville en masse.

*A Messine, en Italie, avant le séisme de 1783, les chiens hurlaient si follement que nul ne réussit à les faire taire.

*Pendant la nuit qui précède le tremblement de terre de 1805 à Naples, on vit une multitude de sauterelles ramper à travers la ville en direction de la mer.

*A Sanriku, au Japon, en 1896, les anguilles envahirent la plage avant un séisme et un tsunami.

*Deux minutes avant le tremblement de terre de 1910, à Landsberg, en Allemagne, les abeilles abandonnèrent leurs ruches pour ne revenir qu’à la fin de l’alerte.

*Le jour du grand séisme de 1964 en Alaska, les grands ours kodiaks sont sortis d’hibernation et ont quitté précipitamment leurs abris avec deux semaines d’avance.

*Une heure avant un séisme en 1964, les habitants de Tachkent, en Ouzbékistan, ont observé avec stupéfaction un exode massif de fourmis qui emportaient leurs œufs.

*Deux heures avant un séisme à Yientsin, en 1969, les autorités chinoises ont lancé un avertissement fondé sur l’agitation des tigres, des pandas, des yacks et des cerfs du zoo.

*En février 1975, deux jours avant un violent tremblement de terre à Haicheng, en Chine, les porcs se sont mis à se battre dans leurs porcheries. Plusieurs heures avant les premières secousses, les serpents ont quitté leurs trous et ont gelé sur place plutôt que d’y retourner.

Il existe de nombreux autres exemples de comportements qui incitent à penser que les animaux possèdent un instinct spécifique qui fait défaut à l’homme,ce qui fait que tous ces exemples ne peuvent être dû au hasard.

 

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