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Archives de Tag: BP

Marée noire: pétrole découvert sur 500 km dans le golfe du Mexique

Des traces de pétrole et de gaz provenant de la marée noire dans le golfe du Mexique ont été découvertes dans l’océan à une profondeur de 1000 mètres. Elles s’étendent sur une longueur de près de 500 kilomètres, selon une étude indépendante publiée jeudi.

Cette découverte a été réalisée par une équipe de scientifiques embarqués à bord du bateau Arctic Sunrise de l’organisation écologiste Greenpeace, qui ont étudié pendant dix jours des zones touchées par la marée noire. Les experts ont analysé notamment la concentration d’oxygène dans l’eau pour déterminer la présence ou non d’hydrocarbures.

« D’après les mesures que nous avons prises nous avons vu des signes clairs de manque d’oxygène depuis le puits Macondo (à l’origine de la catastrophe) (…) sur une distance de 500 km », a indiqué le biochimiste Rainer Amon, un des scientifiques ayant participé à l’expédition.

« La quantité de particules de pétrole et de gaz se trouvant encore dans l’eau doit faire l’objet d’une étude en laboratoire », a ajouté M. Amon. Cette découverte suggère que le pétrole « n’a pas disparu » comme l’affirme le gouvernement américain, a commenté Greenpeace.

« Contrairement à ce que BP et le gouvernement souhaiteraient que nous pensions, l’impact de la marée noire n’est pas terminé », a déclaré le directeur d’enquête de Greenpeace, Kert Davies. Les autorités américaines ont de leur côté récemment émis la crainte que les effets de la pollution se fassent sentir pendant des années, voire des décennies.

Quelque 4,9 millions de barils de brut se sont écoulés du puits accidenté qui se trouvait à 1500 mètres de fond entre le 20 avril, date d’une explosion survenue sur la plateforme Deepwater Horizon du groupe britannique BP, et le 15 juillet. Le puits a depuis été condamné.

(ats / 01 octobre 2010 07:37)

 
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Publié par le 1 octobre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Golfe du Mexique: le puits de pétrole « totalement colmaté » d’ici samedi

 

WASHINGTON – Le groupe pétrolier britannique BP a annoncé vendredi que le puits de pétrole à l’origine de la pire marée noire de l’histoire des Etats-Unis, situé dans le golfe du Mexique, devrait être « totalement colmaté » d’ici samedi.

« Nous nous attendons à ce que le puits MC252 (le puits fautif, ndlr) soit totalement colmaté d’ici samedi », a indiqué la compagnie pétrolière dans un communiqué.

Jeudi soir, les autorités américaines avaient annoncé que le puits de secours destiné à colmater de façon définitive le puits endommagé avait atteint son objectif.

Le forage de ce puits de secours – et celui d’un deuxième par précaution – avait commencé rapidement après l’explosion de la plateforme Deepwater Horizon, suivie de son naufrage le 22 avril.

Du ciment doit désormais être injecté via ce puits de secours pour colmater le puits par en dessous au niveau du gisement (4.000 mètres sous le fond de la mer), une opération baptisée « bottom kill » qui devrait être achevée dimanche selon les autorités.

La fuite de pétrole dans le golfe du Mexique a pris fin le 15 juillet grâce à la pose d’un couvercle au niveau de la sortie du puits au fond de la mer, suivie de la cimentation du conduit. Les autorités ont toutefois jugé que l’opération « bottom kill » était toujours nécessaire.

En tout, quelque 4,9 millions de barils de pétrole se sont déversés dans le golfe du Mexique.

BP

(©AFP / 17 septembre 2010 15h06)

Et pendant ce temps là,des centaines de milliers de poissons morts flottent dans le Mississippi !!!!!!

 

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Publié par le 17 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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L’incroyable arnaque de BP – 2e partie: les multiples puits/conséquences océaniques et climatiques

Note de l’auteur: Cet article est la suite et une mise à jour de L’incroyable arnaque de BP: le puits (B) qui n’a jamais été colmaté, qui fut publié le 31 août 2010. À la suite de certaines observations faites par quelques lucides lecteurs, des corrections et précisions devaient être apportées et j’en profite donc pour donner de l’expansion à ce dossier. Cet présent article devrait donc conséquemment remplacer le premier puisqu’il est maintenant mis à jour avec toutes les modifications et qu’il contient de notables ajouts.

– La section A renferme la section du premier article qui est conservée;

La section B constitue la suite et la mise à jour;

La section C renferme des indications inquiétantes quant aux conséquences de ce volcan de pétrole sous-marin sur les courants marins qui eux, à leur tour, influencent le climat planétaire.

Je tiens à remercier tous les intervenants qui ont contribué à ce que ce dossier soit complet et sans faille. Le travail à l’unisson de la communauté de chercheurs sur Internet nous mène inéluctablement sur le chemin de la vérité et c’est ensemble que nous parvenons à nous y rapprocher. Sans tous ces gens qui collaborent ensembles et qui apportent leur part de vérité pour former une vue d’ensemble, ce travail journalistique ne serait pas possible.

Mes hommages à tous ces journalistes citoyens qui s’acharnent à poursuivre la vérité, partout où elle se trouve.

François Marginean

La suite ici:

http://les7duquebec.wordpress.com/2010/09/07/lincroyable-arnaque-de-bp-2e-partie-les-multiples-puits-consequences-oceaniques-et-climatiques/

Respects et hommages à tous ces journalistes en quête de vérité!

 
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Publié par le 7 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Bp ou « comment faire du lèche botte »

MORGAN CITY (Etats-Unis) – Plusieurs milliers de personnes se sont rendues ce week-end en Louisiane (sud des Etats-Unis) au festival de « la crevette et du pétrole », désireuses de tourner la page de la plus grande marée noire de l’histoire des Etats-Unis.

Le nom inhabituel de ce festival est emprunté aux deux principales industries de la région qui ont été lourdement touchées par la catastrophe provoquée fin avril par l’explosion de la plateforme Deepwater Horizon exploitée par BP.

Les autorités américaines ont assuré à la fin de la semaine dernière que le puits endommagé ne représente plus une menace.

Environ 150.000 personnes sont venues célébrer les fruits de mer locaux et assister à la bénédiction de la flotte de bateaux de pêche de la région.

Les crevettes sont restées disponibles à Morgan City malgré la marée noire, qui a contraint d’autres communes locales à s’approvisionner ailleurs en crustacées, alors que les zones de récoltes étaient fermées par crainte de contamination.

« C’est une tradition », a dit Randi Falcon qui est revenue dans la ville de son enfance, depuis l’Etat voisin du Mississippi, pour ce festival. « C’est un événement qui nous rapproche », a-t-elle dit.

BP a participé au festival cette année à hauteur de 5.000 dollars, une petite partie du coût de l’événement, a expliqué la présidente du festival Nathalie Weber, « Reine de la crevette et du pétrole » en 1968.

Selon elle, BP n’a pas participé l’année dernière, mais cette année le logo de la compagnie a été discrètement apposé sur une barrière près d’un espace destiné aux enfants.

« Je suis contente qu’ils participent », a dit Mme Weber. « Je ne suis pas en colère contre eux. C’était un accident », a-t-elle ajouté.

(©AFP / 06 septembre 2010 21h12)

Dégoûte!!!!!

 
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Publié par le 6 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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BP:la derniére perle avec preuves à l’appui:ils ont menti!!!

Madames et messieurs, British Petroleum (BP) a menti à toute la population – encore une fois – à propos de ce qui se passe réellement dans le golfe du Mexique suite à l’explosion de la plateforme du Deepwater Horizon le 20 avril dernier, qu’elle louait de l’opérateur Transocean Ltd.

Sauf que cette fois-ci, la manipulation de la réalité dépasse tout entendement. Suite aux efforts infructueux continuels durant tout l’été de colmater la plus importante fuite de pétrole de l’histoire des États-Unis, BP a plutôt opté pour tromper la population en présentant un colmatage d’un autre puits. Vous avez bien lu : BP, avec l’aide de l’administration Obama et des médias traditionnels, ont procédé à un spectacle orwellien de miroirs et de fumée en colmatant un autre puits que celui qui avait explosé le 20 avril.

Ces affirmations ne sont pas à prendre à la légère et elles sont soutenues par des évidences et preuves qui sont soumises à l’examen des lecteurs et des lectrices.

Tout d’abord, il est important de prendre connaissance du document officiel produit par British Petroleum conjointement avec le US Minerals Management Service (MMS). Selon ce document public, il existe deux puits dans la région où le déversement s’est produit. Le premier, le Puits « A » (Well A), a été percé plus tôt cette année et a rencontré des problèmes et fut par la suite colmaté et abandonné. Cela a été confirmé lors de l’émission américaine « 60 minutes » de CBS par un témoin, Mike Williams (vidéo disponible ici). Par la suite, le Puits « B » (Well B) a été percé pour finalement résulter en l’explosion et la destruction de la plateforme du Deepwater Horizon. (Prendre note que dans le document se trouve une erreur de rédaction à la page 10 du MMS PDF concernant la coordonnée Y pour le Puits B. La coordonnée est correctement inscrite en page 3 et 11. Vous remarquerez que la personne (dyslexique ?) qui a écrit le rapport a inversé un ’1’ et un ’4’ à la page 10. Ceci est important parce qu’une grande confusion pourrait en résulter : la véritable coordonnée du Puits B devrait être Y=10431494, et non pas Y=10434194)

Cela est clairement visible en première page du document de BP et du MMS. BP a reçu la permission du MMS de percer deux puits dans le bloc « 252 Mississippi Canyon Area » (MC252). La localisation du bloc porte le numéro OCS-G 32306 et à l’intérieur de celui-ci se trouve inscrit le Puits A et le Puits B qui furent tous deux prévus et approuvés par le MMS. Voilà l’information cruciale que BP, le gouvernement américain et les grands médias ont omis de révéler au public. Tout cela est clairement indiqué sur la carte fournie par BP à la page 3 du même document, où il est possible de voir exactement le positionnement du Puits A et B. En page 8, dans la section « Tentative Schedule of Proposed Activities« , on peut y voir le début proposé des travaux des deux puits et du délais de 100 jours accordés pour réaliser les travaux aux deux emplacements qui sont décrits comme devant être « percés et ensuite temporairement abandonnés ». Il semble que BP et Transocean n’ont pas su respecter les délais prescrits, mais il n’en demeure pas moins que deux puits ont été percés ; le Puits A et ensuite le Puits B.

Venant soutenir l’évidence que ces deux puits furent bel et bien percés, se trouve cet autre document officiel datant du 27 avril 2010 concernant les deux autres puits de secours devant être percés d’urgence pour intercepter et aider à colmater le Puits B qui a explosé le 10 avril 2010, entrainant la destruction du Deepwater Horizon. Ces deux puits de secours portent les noms de Puits « C » et Puits « D », tel que visible en première page

Madames et messieurs, British Petroleum (BP) a menti à toute la population – encore une fois – à propos de ce qui se passe réellement dans le golfe du Mexique suite à l’explosion de la plateforme du Deepwater Horizon le 20 avril dernier, qu’elle louait de l’opérateur Transocean Ltd.

Sauf que cette fois-ci, la manipulation de la réalité dépasse tout entendement. Suite aux efforts infructueux continuels durant tout l’été de colmater la plus importante fuite de pétrole de l’histoire des États-Unis, BP a plutôt opté pour tromper la population en présentant un colmatage d’un autre puits. Vous avez bien lu : BP, avec l’aide de l’administration Obama et des médias traditionnels, ont procédé à un spectacle orwellien de miroirs et de fumée en colmatant un autre puits que celui qui avait explosé le 20 avril.

Ces affirmations ne sont pas à prendre à la légère et elles sont soutenues par des évidences et preuves qui sont soumises à l’examen des lecteurs et des lectrices.

Tout d’abord, il est important de prendre connaissance du document officiel produit par British Petroleum conjointement avec le US Minerals Management Service (MMS). Selon ce document public, il existe deux puits dans la région où le déversement s’est produit. Le premier, le Puits « A » (Well A), a été percé plus tôt cette année et a rencontré des problèmes et fut par la suite colmaté et abandonné. Cela a été confirmé lors de l’émission américaine « 60 minutes » de CBS par un témoin, Mike Williams (vidéo disponible ici). Par la suite, le Puits « B » (Well B) a été percé pour finalement résulter en l’explosion et la destruction de la plateforme du Deepwater Horizon. (Prendre note que dans le document se trouve une erreur de rédaction à la page 10 du MMS PDF concernant la coordonnée Y pour le Puits B. La coordonnée est correctement inscrite en page 3 et 11. Vous remarquerez que la personne (dyslexique ?) qui a écrit le rapport a inversé un ’1’ et un ’4’ à la page 10. Ceci est important parce qu’une grande confusion pourrait en résulter : la véritable coordonnée du Puits B devrait être Y=10431494, et non pas Y=10434194)

Cela est clairement visible en première page du document de BP et du MMS. BP a reçu la permission du MMS de percer deux puits dans le bloc « 252 Mississippi Canyon Area » (MC252). La localisation du bloc porte le numéro OCS-G 32306 et à l’intérieur de celui-ci se trouve inscrit le Puits A et le Puits B qui furent tous deux prévus et approuvés par le MMS. Voilà l’information cruciale que BP, le gouvernement américain et les grands médias ont omis de révéler au public. Tout cela est clairement indiqué sur la carte fournie par BP à la page 3 du même document, où il est possible de voir exactement le positionnement du Puits A et B. En page 8, dans la section « Tentative Schedule of Proposed Activities« , on peut y voir le début proposé des travaux des deux puits et du délais de 100 jours accordés pour réaliser les travaux aux deux emplacements qui sont décrits comme devant être « percés et ensuite temporairement abandonnés ». Il semble que BP et Transocean n’ont pas su respecter les délais prescrits, mais il n’en demeure pas moins que deux puits ont été percés ; le Puits A et ensuite le Puits B.

Venant soutenir l’évidence que ces deux puits furent bel et bien percés, se trouve cet autre document officiel datant du 27 avril 2010 concernant les deux autres puits de secours devant être percés d’urgence pour intercepter et aider à colmater le Puits B qui a explosé le 10 avril 2010, entrainant la destruction du Deepwater Horizon. Ces deux puits de secours portent les noms de Puits « C » et Puits « D », tel que visible en première page

La suite ici:

http://www.agoravox.fr/actualites/international/article/exclusif-houdini-battu-bp-et-la-80611

Cet article est à relier avec:

https://realinfos.wordpress.com/2010/09/01/climat-mondialcomment-la-catastrophe-bp-risque-de-provoquer-une-future-glaciation/

Sachant que le pétrole continu de se déverser,le golf stream sera irrémédiablement détérioré,et voici ce qu’il pourrait advenir:

 
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Publié par le 2 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Climat mondial:comment la catastrophe Bp risque de provoquer une future glaciation

Dossier : 2.png circulation thermohaline

Dans l’article qui suit,des scientifiques nous expliquent comment la fuite de BP dans le Golf du Mexique a détérioré,voir stoppé le cours normal du Gulf Stream,entraînant ainsi un disfonctionnement de Jet stream et provoquant les catastrophes en Russie ainsi qu’au Pakistan et ailleurs dns le monde et qui  pourrait au final si leurs affirmations se confirment, provoquer une future glaciation avec des conséquences comme,mélange des saisons,mauvaises récoltes,augmentations des sécheresses et des inondations dans le monde,ainsi que famine et migration importante de population….Tout un programme,et non des plus réjouissant…!!!

http://nutrimedical.com/news.jhtml?method=view&news.id=2863

 
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Publié par le 1 septembre 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Marée noire:Désinformation ou comment démonter une étude privée!

WASHINGTON – Des espèces microbiennes récemment découvertes dévorent plus rapidement qu’attendu, par plus de 1.000 mètres de fond, le pétrole de la marée noire du golfe du Mexique, selon une recherche américaine publiée mardi.

Ce processus accélère la biodégradation du pétrole sans affecter notablement le niveau d’oxygène dans l’eau, selon les chercheurs.

« Cette découverte, qui fournit les premières données scientifiques de l’activité microbienne sur la dispersion d’un panache de pétrole dans les fonds marins, indique qu’il existe un grand potentiel de biodégradation naturelle d’hydrocarbures dans les grandes profondeurs océanes », explique Terry Hazen, écologiste microbien au Laboratoire national Lawrence Berkeley (Californie), principal auteur de cette étude.

« Cette recherche montre aussi que ces populations microbiennes psychrophiles –capables de vivre dans les profondeurs marines par des températures de -5 degrés Celsius– et les autres micro-organismes proches, jouent un rôle important dans le sort ultime et les conséquences environnementales des panaches de pétrole sous-marins dans le golfe du Mexique », ajoute-t-il.

Cet écologiste et une équipe d’une trentaine de chercheurs ont effectué leur recherche fin mai sur l’habitat microbien dans les eaux profondes du golfe du Mexique jusqu’alors relativement inexplorées, et caractérisées par des températures très basses (-5 degrés), une énorme pression et peu de carbone à l’état naturel.

Ils ont expliqué la grande rapidité avec laquelle ces microbes biodégradent ce pétrole, malgré la température, par le fait qu’il s’agit d’un hydrocarbure léger et donc volatil.

Ils notent également que l’utilisation massive de dispersants chimiques par BP à la source de la fuite par 1.500 mètres de fond pourrait avoir aussi accéléré cette biodégradation en fractionnant le pétrole en petites particules, ce qui a affaibli les concentrations d’hydrocarbure dans le panache.

De plus, les suintements naturels de pétrole, fréquents dans les fonds du golfe du Mexique, pourraient avoir provoqué au cours du temps l’adaption de la faune microbienne des eaux profondes de cette zone et l’avoir habituée à procéder à une biodégradation rapide du brut.

Enfin, contrairement aux craintes des océanographes, cette biodégradation grâce aux microbes n’a pas entraîné de forte baisse du niveau d’oxygène dans le panache de pétrole, ce qui créerait des « zones mortes » où la vie ne peut être maintenue.

Cette étude, qui paraît dans la version en ligne de la revue américaine Science, semble contredire les conclusions d’une recherche publiée le 20 août dans cette même publication menée par l’institut privé Woods Hole Oceanographic Institution, selon laquelle cette biodégradation pourrait être plus lente qu’escompté en raison de températures très froides.

Elle semble en revanche conforter des évaluations optimistes du gouvernement américain publiées début août et selon lesquelles 74% du brut déversé depuis le début de la fuite a été éliminé par évaporation, biodégradation, récupération et autres moyens.

Des océanographes de l’Université de Géorgie (sud) avaient la semaine passé contesté cette estimation, calculant que près de 80% du pétrole serait encore dans l’océan. Ils faisaient valoir que contrairement aux estimations du gouvernement, le pétrole se trouvant sous la surface paraissait se biodégrader beaucoup plus lentement, présentant des risques accrus pour l’écosystème.

(©AFP / 24 août 2010 21h55)

Ce qu’il en est:

Plusieurs études indépendantes dont une sur un prélèvement des eaux d’Alabama:

Ce prélèvement indique une concentration de 13,3 parties/millions de corexit 9527A dont un dangereux pesticide neurotoxique,le Butoxyéthanol,son ingrédient principal qui le compose  entre 30 et 60% de son volume.

Le chimiste qui a rendu ces résultats s’est vu menacer par BP lors d’un appel téléphonique!

http://blog.alexanderhiggins.com/2010/08/24/bp-thugs-threating-independent-scientists-corexit-oil-bp-gulf-oil-spill-waters-3479/

De plus amples informations sur ce site:

http://blog.alexanderhiggins.com/

 
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Publié par le 24 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Le pétrole du Golfe pourrait ne pas se dégrader avant des lustres

 
Washingon’s Blog, 21 août 2010
      Comme vous l’avez peut-être entendu, les scientifiques découvrent sous la surface de gigantesques nuages de pétrole provenant de la fuite de BP. L’un d’eux fait plus de 35 kilomètres de long sur plus de 1,6 kilomètre de large et 200 mètres d’épaisseur.
      Jeudi, les Dr Ian MacDonald et Lisa Suatoni ont déclaré au sous-comité du Congrès que le pétrole restera toxique, et ne se dégradera guère davantage pendant des décennies. MacDonald est expert dans le domaine des profondeurs océaniques extrêmes, en particulier des suintements naturels d’hydrocarbures, des hydrates de gaz, et des systèmes de boue volcanique. Ce scientifique, longtemps à la NOAA autrefois, est professeur d’océanographie biologique à l’université d’État de Floride. Suatoni a un doctorat de l’université de Yale en écologie et en biologie évolutive, et est maître de recherche au Programme océanique du Natural Resources Defense Council.
      Le Dr MacDonald a déclaré au Congrès que le pétrole s’est déjà dégradé, émulsionné et évaporé presque autant que possible, et qu’il est rendu très réfractaire à plus de biodégradation. Le pétrole restera dans l’environnement pendant longtemps, a-t-il dit, et les traces de la fuite de BP seront perceptibles « pendant le reste de ma vie » (avec 58 ans et une durée moyenne de vie zunienne autour des 76 ans, ça fait au moins 18 ans).
      Le Dr Suatoni a déclaré au Congrès que le pétrole qui s’introduit dans les zones à faible teneur en oxygène restera pendant des dizaines d’années dans une forme intégralement toxique.
      Pourquoi le pétrole ne se dégrade pas plus vite ?
      Comme l’a noté jeudi le National Georgraphic :

      La stabilité du nuage de pétrole est « assez inattendue, » a déclaré jeudi Richard Camilli, directeur des études d’Applied Ocean Physics and Engineering Department du Woods Hole Oceanographic Institution (WHOI), lors d’une conférence de presse à Washington.

      « Rien ne nous indique clairement pourquoi il s’est fixé à cette profondeur. »

      Nous ne savons pas pourquoi les micro-organismes du Golfe ne dégradent pas le nuage de pétrole, mais ces organismes sont tristement célèbre pour leur imprévisibilité, a déclaré Christopher Reddy, chimiste de la mer chez WHOI et coauteur de l’étude.

      …

      Comprendre pourquoi le nuage ne se dégrade pas nécessite des études supplémentaires, a dit Reddy au cours de la conférence de presse…
      À vrai dire, l’un des premiers spécialistes du monde dans ce domaine m’a dit hier que les principales bactéries mangeuses de pétrole ne sont même pas présentes dans les échantillons de nuages sous-marins.

Original : www.washingtonsblog.com/2010/08/gulf-oil-wont-degrade-for-decades.html
Traduction copyleft de Pétrus Lombard

 
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Publié par le 23 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Le pétrole est dans le fond du Golf!

http://www.floridaoilspilllaw.com/

Ici, lire plusieurs articles dont un d’une expédition scientifique,nous révéle que le pétrole se trouve dans le fond du Golf à quelques dizaines de kilomètres des côtes  de Floride!

 
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Publié par le 17 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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L’arrivée de Greenpeace après la bataille!

 

MIAMI – L’organisation écologiste Greenpeace a annoncé mercredi qu’elle lançait une expédition de trois mois en mer au cours de laquelle des enquêteurs indépendants doivent étudier l’impact de la marée noire sur l’écosystème du golfe du Mexique.

Un bateau de Greenpeace quittera jeudi le port de Saint Petersburg en Floride (sud-est) et sillonnera le sud de la péninsule avant de se rendre sur le site où la plateforme Deepwater Horizon exploitée par le groupe BP a sombré le 22 avril, provoquant la pollution.

« Depuis le tout début, la véritable étendue du désastre lié à la marée noire du golfe a été masquée par BP et même notre gouvernement », a dit John Hocevar, responsable des Océans chez Greenpeace USA en annonçant cette expédition.

« La plus grande pollution en mer de l’histoire et le recours sans précédent aux dispersants chimiques auront un impact sur la vie marine du golfe pendant des années, et des études indépendants sont cruciales pour garantir que (les responsables de) BP ne peuvent dissimuler ce qu’ils ont fait ou fuir leurs responsabilités », a-t-il ajouté.

L’expédition de Greenpeace vise à analyser l’ensemble de l’écosystème marin de la région, du plancton en surface aux eaux profondes en passant par les coraux, a indiqué l’organisation, qui compte sur la participation de scientifiques rattachés à des universités spécialisées dans les études océanographiques.

(©AFP / 11 août 2010 20h56)

Ben dites moi,on ne les attendait plus ceux-là!

Ben oui,suis-je bête,fallait pas chagriner les sponsors,BP et Cie…!!!

 
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Publié par le 11 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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BP: Magnifique succés! AH bon !!!

Sur l’écran de gauche:

On apperçois trés nettement une fuite sur la droite,dû moins à l’heure où j’écris ces mots!

http://wewhowatch.com/index.html

Un peu plus tôt:

http://i978.photobucket.com/albums/ae268/onefifty/augustfourthRedOverBlue.gif

http://www.youtube.com/watch?v=5yfxtwwXw08

Là,faut vraiment arrêter de nous prendre pour des lapins de 6 semaines!!!

Pour la version officielle:

Marée noire: « la lutte pour arrêter la fuite touche à sa fin », estime Obama

LA NOUVELLE ORLEANS – Plus de cent jours après le début de la marée noire, Barack Obama a estimé mercredi que la « lutte pour arrêter la fuite » de brut arrivait à son terme, après que BP a annoncé la réussite de la première phase du rebouchage du puits de pétrole dans le golfe du Mexique.

Le président Barack Obama a qualifié cette opération de « très bonne nouvelle », saluant également un rapport officiel selon lequel « une grande majorité » du pétrole répandu en mer depuis avril « a été dispersé ou retiré de l’eau ».

Faux,c’est tout le contraire!!!

« La longue lutte pour arrêter la fuite et maîtriser le pétrole est près d’arriver à son terme. Et nous en sommes très contents. Nos opérations de dépollution, toutefois, vont continuer », a remarqué le président.

Un optimisme partagé par l’amiral Thad Allen, chargé de la lutte contre la catastrophe pour le gouvernement américain.

L’administration, a dit M. Allen lors du point de presse quotidien de la Maison Blanche, est « très optimiste sur le fait qu’il n’y aura plus de fuite de pétrole dans la nature ».

Laisses moi rire!!!

L’opération « static kill », consistant à injecter suffisamment de boue de forage pour repousser le pétrole au fond du puits et le condamner, avait commencé dans le golfe du Mexique mardi à 20H00 GMT.

Elle s’est poursuivie pendant huit heures, la durée nécessaire aux ingénieurs du groupe pétrolier britannique pour mesurer la pression dans le puits après les injections de matières et s’assurer du succès de l’opération.

« La pression du puits est à présent contenue par la pression hydrostatique des boues injectées, ce qui était l’objectif souhaité de l’opération static kill », selon le groupe.

Faux,je viens de le prouver!!!

En tout, quelque 4,9 millions de barils (780 millions de litres) se sont échappés du puits – dont 800.000 barils (127 millions de litres) ont été récupérés – mettant en péril le riche écosystème des cinq Etats côtiers du golfe du Mexique et menaçant l’économie locale.

Cette opération met aussi fin à un cauchemar de plus de trois mois pour le géant britannique, à qui la marée noire a déjà coûté plusieurs milliards de dollars et qui a vu sa réputation ternie après les échecs de plusieurs tentatives de colmatage.

Selon BP, les résultats de pression observés dans les heures à venir permettront de décider de procéder ou non à de nouvelles injections de boues, avant de verser au fond du puits du ciment qui jouera le rôle de bouchon définitif.

Le groupe a annoncé qu’il poursuivrait sa collaboration avec les autorités américaines « pour déterminer la prochaine étape, où nous déciderons si nous injectons du ciment dans le puits par la même voie ».

Car, si des fuites sont détectées, le versement de ciment n’aura pas lieu, et les ingénieurs procéderont directement à l’opération « bottom kill » prévue à la mi-août. Le procédé consistera à mettre en service deux puits de secours afin de cimenter définitivement le puits par en-dessous.

Environ trois quarts du brut qui s’est déversé dans le golfe du Mexique ont déjà été éliminés, a déclaré Carol Browner, une responsable de la Maison Blanche pour les questions d’énergie et d’environnement.

« Les scientifiques nous disent qu’environ 25% (du pétrole) n’a pas été récupéré, ne s’est pas évaporé ou n’a pas été pris en charge par Mère nature », a-t-elle dit sur la chaîne ABC.

Malgré l’espoir de tourner enfin la page de la catastrophe, les Américains et l’administration demeurent préoccupés par ses conséquences écologiques à long terme.

Jane Lubchenco, la directrice de l’Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA), a dit rester inquiète « de l’impact à long terme » de la marée noire sur l’écosystème qui pourrait se faire ressentir « pendant des années et peut-être des décennies ».

Selon un sondage réalisé par le Centre national de préparation aux catastrophes (NDCP) auprès de 1.200 habitants des zones concernées, 40% d’entre eux disent avoir été touchés directement, 20% rapportant des conséquences économiques.

(©AFP / 04 août 2010 21h01)

Allez,encore un petit effort les bouffons,vous y étes presque!!!! PFFFFOUUUUUU!!!!!

 
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Publié par le 4 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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BP s’apprête à cimenter définitivement le puits de pétrole:oui mais…!!!

http://www.romandie.com/ats/news/100803172915.gjdk1yh2.asp

Bon,c’est bien beau tout çà,mais voyons maintenant ce qu’ils ont oublié de nous dire et c’est peu dire!

http://worldvisionportal.org/wvpforum/viewtopic.php?f=52&t=931

Traduction Google:

Après avoir lu ce qui suit , je suis sûr que tout le monde sera également à la même conclusion logique que je me suis basé sur les preuves , faits et la vérité que je présente ici. Toutes les illustrations sont tirées directement des rapports de référence cités ci-dessous.

LE DOME BILOXI

À Latitude et Longitude 28/40/00 88/26/00 N W [ décimales Latitude Longitude 28.6666 -88.4333 ] dans le golfe du Mexique est un ancien cratère volcanique. Il est géographiquement classées comme une colline sous-marine et le nom commun donné à l’ est du Dôme Biloxi . Il est situé à environ 7 miles ou environ 12 kilomètres au sud-ouest de l’ Horizon BP Deepwater bien [ 28/44/17 Latitude N Longitude 88/21/57 W ] .

Dans ce Photo satellite, Le Dôme Biloxi est au centre de l’image et ressemble à une chaussure ou un rebord de forme oblongue d’un volcan :

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Dans ce image satellite, Le BP Deepwater Horizon est bien marqué en blanc et est placé au nord-est du cratère Biloxi Dôme :

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NOAA subaquatique Groupe de l’analyse de l’étude conjointe

NOAA ( National Oceanic and aéronautique Administration ) vient de publier leur étude sous-marine , la Groupe d’analyse conjointe (GAC ) Examen, qui a examiné l’huile sous-sol dans et autour de l’horizon BP Deepwater puits # 1 – situé dans le Mississippi Canyon bloc 252 – du 19 mai au 19 Juin 2010.

Leur rapport a présenté les données recueillies par cinq navires de recherche , le R / V Brooks McCall , R / V Ocean Veritas , R / V Walton Smith , R / V Thomas Jefferson , et R / V Gordon Gunter .

Ils ont utilisé une méthode scientifique appelée fluorométrie sur mesure pour l’huile sous l’eau. Fluorescence Spectroscopy – a / k / a fluorométrie ou spectrofluorimétrie – est un type de spectroscopie électromagnétique qui analyse par fluorescence. Il utilise généralement un faisceau de lumière ultraviolette qui excite les électrons dans les molécules de certains composés et leur fait émettre de la lumière d’une énergie plus faible , comme la lumière visible . Pour plus d’informations sur la façon dont cela fonctionne, voir http://en.wikipedia.org/wiki/Fluorescence_spectroscopy.

Conclusions à partir de leur rapport ont déclaré que leurs mesures ont montré la fluorométrie mètres présence de pétrole à une profondeur entre 1000 et 1300. Ils ont également conclu que suintements de pétrole actifs ont été cartographiés à environ 12 kilomètres au sud-ouest de l’ Horizon BP Deepwater tête de puits.

Comme je l’ai indiqué plus haut, le Dôme Biloxi est situé à environ 12 kilomètres au sud-ouest de l’ Horizon BP Deepwater bien . Cela signifie que NOAA et le Groupe de l’analyse conjointe positivement identifié le Dôme Biloxi être la source de la fuite d’huile actifs.

FUITES fond marin A Dôme BILOXI

Voici un gros plan de la fuite du 19 mai à Juin 19 à la (maintenant connue ) Biloxi Dome . Il ya sept fuites importantes montré que le pourpre cylindres colorés dans le rapport du JAG :

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Inclus dans le NOAA Juin Rapport intérimaire du projet Mission 3-11 , 2010 à bord du navire de recherche de la NOAA , le R / V Thomas Jefferson , est un rendu 3D des fuites Dome Biloxi montrant plus en détail . À l’époque, ils n’ont pas le rapport de la localisation de ces fuites importantes fond de l’océan . Si vous regardez de près le rendu 3D , vous pouvez facilement voir qu’il montre les sept cylindres pourpre désignant les fuites identifiées le long du bord du cratère Biloxi Dome .

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fuites d’huile ( rouge et jaune colonnes ) cartographiée par Thomas Jefferson , et par Gordon Gunter ( cylindres violet) avec les stations CTD montrant fluorescence élevé ( brun, vert et blanc des sphères ) . site Deepwater Horizon est bien en arrière-plan ( cylindre rouge ) et la distribution des bas après réflecteurs est représenté par des lignes orange.

Distances des fuites d’huile en eau profonde HORIZON

Utilisation de la fuite identifié fond de la mer dans le cratère Biloxi Dome jante avec la position de tête de puits en eaux profondes de BP , puis superposer cette carte NOAA avec Google Earth , l’image suivante montre une image très claire et saisissante :

Image
Carte créée par Alexander Higgins

Chaque fuite d’huile vérifié le long de la bordure du cratère du Dôme Biloxi est étiqueté avec des numéros 3 à 9 . Voici les distances calculées entre chaque fuite identifié et BP Deepwater Horizon puits # 1 le long de la latitude et la longitude de chaque fuite d’huile. Le mérite en revient à Alexander Higgins pour les calculs:

N ° / Latitude / Longitude / kilomètre Distance / distance Kilométrage
# 3 / 28 ° 40’38 .71  » N / -88 ° 24’51 .74  » W / 08.26 km de BP bien / 5.13 miles de BP bien
# 4 / 28 ° 40’14 .87  » N / -88 ° 24’34 .36  » W / 08.63 km de BP bien / 5.36 miles de BP bien
# 5 / 28 ° 41’39 .42  » N / -88 ° 29’05 .44  » W / 12.59 km de BP bien / 7.82 miles de BP bien
# 6 / 28 ° 41’00 .14  » N / -88 ° 28’33 , 90  » W / 12.36 km de BP bien / 7.68 miles de BP bien
# 7 / 28 ° 40’51 .22  » N / -88 ° 27’04 .30  » W / 10.49 km de BP bien / 6.51 miles de BP bien
# 8 / 28 ° 40’19 .30  » N / -88 ° 28’04 .34  » W / 12.38 km de BP bien / 7.69 miles de BP bien
# 9 / 28 ° 39’28 .11  » N / -88 ° 27’24 , 13  » W / 12.59 km à partir de BP bien / 7.82 miles de BP bien

La distance moyenne entre les sept fuites d’huile et l’ eau profonde et Horizon est de 6,8 miles ou 11 kilomètres.

CONCLUSIONS ET OBSERVATIONS

J’ai été à plusieurs reprises annonce sur d’autres forums et ont déclaré le Radio Free Association hébergé par Robert Phoenix que la cause du panache de pétrole dans le golfe du Mexique a été une source de 10.7 miles à partir du puits qui a explosé la plate-forme Deepwater Horizon . Mon estimation de la distance était courte par 2/10ths d’un mile .

La source de fuite de pétrole qui est la création de lacs sous-marine énorme de pétrole par k / / a panaches de pétrole – qui se mélange BP Corexit en – est l’ancien fond marin du Golfe du Mexique cratère volcanique communément appelée le Dôme Biloxi .

La récente Juillet plafonnement et d’essai de pression en eaux profondes de BP Horizon puits # 1 n’a pas causé les fuites Biloxi Dome où ils ont été vérifiées entre le 19 mai et Juin 19 tout l’horizon et en eau profonde était encore une fuite d’huile .

Il ya un calculée et délibérée de dissimulation en ce qui concerne les faits que j’ai présentés ci-dessus . Pas une seule tête de parler à la télé , ni un seul journal a osé rapporter la vérité … et que la vérité est plus évident pour quiconque aurait pris la peine de lire le dernier rapport du JAG . Apparemment, ils ne savent ni lire , ni ont-ils des journalistes d’investigation de leur masse salariale . Cela inclut plus de 100 jours de erronées , trompeuses , et carrément couché déclarations de la Maison-Blanche DC exécutif ainsi que la Garde côtière américaine .

Page Source: http://worldvisionportal.org/wvpforum/viewtopic.php?f=52&t=931

IMPORTANT:Vous pouvez aussi suivre cet autre fil ici,trés révélateur!

http://www.godlikeproductions.com/forum1/message1146582/pg1

Je pense que nous n’avons pas fini d’en parler,tout du moins pour ceux qui ne croient en rien la version officielle!

 

 
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Publié par le 3 août 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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BP va commencer un forage au large de la Libye

La compagnie pétrolière BP a annoncé le lancement, d’ici quelques semaines, d’un nouveau forage au large de la Libye. Cette annonce intervient alors que le groupe est en difficulté, à cause des conséquences de la marée noire déclenchée par l’explosion de l’une de ses plate-forme de forage dans le golfe du Mexique. BP devrait ainsi céder de nombreuses participations dans des compagnies pétrolières étrangères.

BP a confirmé le lancement d’un forage dans le golfe de Sirte, en vertu d’un accord signé en 2007 avec la Libye, alors qu’ailleurs il se désengage.

Ce programme prévoit cinq forages en eaux profondes. Leur profondeur, 1700 mètres, sera même légèrement supérieure à celle du forage responsable de la marée noire dans le golfe du Mexique.

Le groupe s’apprête à vendre des actifs

BP s’est donc engagé à tirer toutes les leçons de cette catastrophe. Le projet libyen est maintenu alors que pour financer l’indemnisation des victimes de la marée noire, qui s’élèvera certainement à plusieurs dizaines de milliards de dollars, le groupe s’apprête à vendre des actifs un peu partout dans le monde.

BP devrait ainsi céder ses participations dans le gisement de Pruhoe Bay en Alaska, renoncer à un projet de gaz offshore au Vietnam, et réduire sensiblement la voilure en Colombie, au Venezuela et en Argentine.

Dans ces pays, le groupe pétrolier détient des participations plus ou moins importantes aux cotés d’entreprises nationales. Enfin, en Russie, BP devrait se sortir du capital du groupe Rosneft.

(Source : RFI.fr)

On prend les mêmes et on recommence,une vraie bande de psychopathes amnésiques!!!

 
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Publié par le 27 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Golfe du Mexique: plus de 27 000 puits abandonnés!

Par JP Tellier

Plus de 27 000 puits de pétrole et de gaz sont abandonnés au fond du golfe du Mexique et constituent une source d’inquiétude pour l’environnement, faute de surveillance d’éventuelles fuites, selon une enquête de l’Associated Press. Leur étanchéité suscite l’inquiétude.

Environ les trois quarts des puits abandonnés temporairement le sont restés pendant plus d’un an, notamment à partir des années 1950 et 1960. Le groupe britannique BP, qui exploitait la plateforme Deepwater Horizon, dont l’explosion le 20 avril est à l’origine de la marée noire dans le golfe du Mexique, a abandonné à lui seul 600 puits dans le golfe.

Les puits abandonnés temporairement ou définitivement ont de quoi inquiéter. L’expérience montre, au moins sur terre, qu’ils fuient souvent, et les archives gouvernementales examinées par l’Associated Press révèlent que cela arrive aussi avec les puits en mer.

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Selon les experts, les puits abandonnés peuvent se « repressuriser », comme un volcan endormi qui se réveille. Et des années d’exposition à l’eau salée et à la pression sous-marine peuvent corroder et affaiblir les tuyaux et le ciment utilisé pour le colmatage. Malgré le risque de fuites, les puits abandonnés ne font habituellement pas l’objet d’inspections par les entreprises du secteur ou les autorités publiques.

L’enquête de l’Associated Press a en particulier découvert 3500 puits négligés, présentés dans des documents administratifs comme « temporairement abandonnés».

Les autorités de régulation et les entreprises du secteur affirment que les puits en mer abandonnés sont présumés correctement bouchés et sont censés le rester indéfiniment. Ce n’est que lorsqu’ils sont pressés de questions que les responsables reconnaissent la possibilité de fuites.

Source: Texte publié dans le Devoir, 8 juillet 2010

http://www.ameriquebec.net/actualites/2010/07/19/golfe-du-mexique-plus-de-27-000-puits-abandonnes-3888.qc

 
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Publié par le 26 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Un clathrate:voilà peut-être ce à quoi est confronté BP et qu’elle ne peut maitriser!

Hydrates de gaz : l’énergie des profondeurs

Cap à l’ouest. Le 16 septembre prochain, Marie-Madeleine Blanc-Valleron, du CNRS et sédimentologiste au Muséum national d’histoire naturelle de Paris, embarquera à Astoria aux États-Unis sur le Joides Resolution, le fameux navire de forage profond du programme intégré de forages océaniques (IODP) 1. La navigation ne sera pas longue. Tout au plus une centaine de kilomètres. L’objectif de cette expédition « 311 » est en effet de continuer l’exploration, au large de Vancouver, de l’énorme prisme d’accrétion sédimentaire de la marge dite des Cascades, formé, le long du plateau continental, sous l’effet de la confrontation de la plaque tectonique Nord-Amérique et de celle de Juan de Fuca. Une formation instable, sujette à d’immenses éboulements pouvant être à l’origine de tsunamis, travaillée par les forces tectoniques et parcourue par d’intenses flux de liquides géothermaux. Bref, pour reprendre l’heureuse expression de Xavier Le Pichon, du Collège de France, « de la tectonique dans le yaourt ».

P23 Joides Resolution 350  

Le Joides Resolution, navire de forage profond du programme intégré de forages océaniques (IODP), à quai à St John’s (Terre-Neuve) au Canada.

Durant un mois, « à raison de dix heures sur douze au microscope, quel que soit l’état de la mer », la chercheuse française va minutieusement décrire les faciès sédimentaires de chaque nouvelle carotte qu’on lui présentera, par segments d’un mètre cinquante. Un indispensable travail de bénédictin réalisé chaque fois que le Joides Resolution fore dans des sédiments. 

« En fait, cette mission internationale est très particulière », explique Benoît Ildefonse, du laboratoire de tectonophysique 2 à Montpellier et président du comité IODP-France. Son objectif est de recueillir les données nécessaires à la validation d’un modèle géologique d’accumulation dans le sédiment des hydrates de gaz : une étrange glace faite d’un mélange de molécules d’eau et de gaz, essentiellement du méthane, le fameux CH4 de nos manuels scolaires. Un gaz qui s’est formé au cours des âges à partir du carbone organique mélangé aux sédiments. Les molécules d’eau s’y organisent en petites cages, stabilisées par les forces de Van der Walls, qui emprisonnent les molécules de méthane, de propane, de chlore, d’hydrogène sulfuré, de gaz carbonique… Ces cages de glace et leurs prisonnières forment ce qu’on appelle un clathrate. 

Une étrangeté qui est loin d’être anecdotique si l’on songe que, selon l’USGS, le service géologique américain, la quantité de carbone ainsi piégé pourrait être, « à la louche », de… dix mille milliards de tonnes. Or, dix mille milliards de tonnes, c’est deux fois la quantité du carbone prisonnier de l’ensemble des gisements mondiaux – exploités ou non – de pétrole, de gaz naturel et de charbon. C’est douze fois la quantité de cet élément présent dans la biosphère. C’est treize fois la masse du carbone contenu dans l’atmosphère sous forme de gaz carbonique… Même si les estimations initiales étaient revues à la baisse d’un facteur dix, c’est tout de même un fantastique pactole qui gît au fond des mers. 

Longtemps, seuls les géologues marins se sont intéressés à ces formations étranges. Condescendantes, les grandes compagnies pétrolières les ont laissés s’échiner sur les hydrates de gaz. Mais, dans la perspective de la panne sèche pétrolière qui, selon les experts, se profile pour la fin du siècle nouveau, ou un peu plus tard 3, les choses changent. Ces chiffres mirobolants font, aujourd’hui, tourner bien des têtes. 

Du coup, les colloques et les publications scientifiques et techniques sur les hydrates se multiplient, ainsi que les campagnes en mer. Deux exemples : en février 2001, Zairov, conduite par l’Ifremer au large du Zaïre et de l’Angola, et en 2002, une première campagne (« Leg 204 ») du Joides Resolution sur le site des Cascades. L’Europe aussi s’est réveillée. La Commission a financé le programme Hydratech, qui vise à développer et mettre en œuvre des techniques pour la quantification des hydrates de méthane sur la marge continentale européenne 4. Des gisements ont ainsi pu être caractérisés en mer Noire, dans l’est de la Méditerranée, dans le golfe de Cadix et dans la mer de Norvège. 

Xavier Le Pichon, du Collège de France, l’un des « papes » de la tectonique des plaques, se souvient encore de sa première rencontre avec les hydrates sous-marins. Il était à bord du Joides Resolution qui, dès les années quatre-vingt-dix, se risquait prudemment à forer dans ces gisements si intriguants : « Au moment où le carottier est sorti de l’eau, le sédiment, riche en hydrates, s’est mis à fumer et à faire entendre de véritables explosions, tant le dégazage était brutal. Pour arrêter ce feu d’artifice, il a fallu plonger le carottier dans l’azote liquide. » 

De fait, ces hydrates ne sont stables que dans des conditions de température et de pression déterminées. À la pression atmosphérique, ils ne sont viables qu’à – 80 °C. En revanche, au sein des sédiments marins où ils se forment, et s’ils sont comprimés par une hauteur d’eau de mer d’au moins 300 mètres, ils sont stables à une température de 2 à 3 °C. Dans les régions polaires, où le sol est perpétuellement gelé sur des dizaines de mètres, formant le pergélisol 5, on rencontre ces hydrates de gaz plus près de la surface. 

Mais plus on s’enfonce dans les sédiments, plus la température augmente, en raison du flux de chaleur venu du centre de la Terre. « Voilà pourquoi, dans le sédiment situé au-dessous de la couche d’hydrates – l’horizon des hydrates – bien que la pression soit plus forte, le méthane se trouve à l’état gazeux », explique Jean-Paul Foucher, du département « Géosciences marines » du centre Ifremer de Brest. Dès lors, la couche de glace, dont l’épaisseur, la « puissance » disent les géologues, est de quelques centaines de mètres, peut parfois, à la manière d’un couvercle étanche, empêcher la migration verticale du méthane, constituant ainsi des gisements exploitables par l’industrie pétrolière. 

Mais, pour que les hydrates de gaz sous-marins deviennent, techniquement et économiquement, exploitables, alors qu’ils gisent souvent sous des milliers de mètres d’eau, il faut qu’ils soient suffisamment concentrés dans le sédiment. Si c’est le cas, on peut imaginer de les réchauffer avec de l’eau chaude et de les pomper sous forme gazeuse. 1 m3 d’hydrate donne alors 164 m3 de gaz à la pression atmosphérique et 0,8 m3 d’eau. Un temps, les économistes du pétrole ont ironisé sur ces richesses sous-marines. Ils estimaient que seules celles qui sont piégées dans le pergélisol pourraient un jour être utilisées.

P24 IODP175 
p24 Forage175 

Pourtant, de campagnes en mer en explorations géophysiques consacrées aux zones à hydrates, il est petit à petit apparu que les concentrations de gaz gelés occupent souvent 3 à 6 % du volume du sédiment sur plusieurs centaines de mètres d’épaisseur, voire y dépassent les 20 %. Alors, d’aucuns commencent à parler de « gisements ». C’est le cas pour le champ de Mallik au Canada. Il faut aussi commencer à imaginer les techniques d’extraction appropriées pour l’offshore. 

Pour tester ces futures technologies, notamment pour vérifier que la perméabilité des hydrates permettra à l’eau chaude qu’on y injectera d’assurer le dégazage sans que tout se bouche rapidement, encore faut-il disposer d’hydrates dans les laboratoires. C’est l’objectif du projet expérimental Fordimhys (Formation and Dissociation of Methane Hydrates in Sediments) de production sous pression d’hydrate de méthane, conduit par Jean-Michel Herri et Olivier Bon-nefoy, du Laboratoire des procédés en milieux granulaires 6. Une étude sponsorisée par Gaz de France, Total et l’Institut français du pétrole. 

Les plus acharnés dans la quête de cette nouvelle manne énergétique sont les Japonais. Ils ont été jusqu’à louer le Joides Resolution durant six mois en 2004 pour forer le prisme d’accrétion de Nankaï à la recherche d’hydrate de méthane. 

Source potentielle d’énergie, les hydrates de gaz à l’instabilité chronique sont aussi soupçonnés d’avoir, au cours des temps géologiques, déclenché des catastrophes naturelles de grande ampleur. Que le niveau marin baisse, allégeant la pression sur les sédiments, ou que la température de l’eau en profondeur s’élève, et voilà les hydrates qui dégazent. Là réside, peut-être, la cause des variations climatiques rapides enregistrées pendant la dernière glaciation. James P. Kennett (University of California, Santa Barbara) pense avoir trouvé l’arme du crime au fond du bassin de Santa Barbara : le canon à hydrates (« hydrate gun »). « On n’est pas sûr que l’arme de Kennett ait tiré, mais il reste au moins une balle dans le chargeur, et ce n’est pas une balle à blanc », s’amuse l’hydrogéologue Pierre Henry, directeur de recherche CNRS au Cerege 7, à Aix-en-Provence. Spécialiste de la circulation des fluides dans les sédiments marins, il s’intéresse beaucoup à la stabilité des hydrates de gaz sous-marins. « Parfois, dit-il, la nature rompt d’elle-même l’équilibre thermodynamique entre la phase gazeuse et la phase solide du méthane sous-marin ; c’est ce qui s’est passé voici 11 000 ans en mer de Marmara, peu après que le lac qui existait là est devenu, suite à l’ouverture du Bosphore, une mer. » 

Lors de ces épisodes, le mélange de méthane et d’eau ainsi produit peut remonter vers le plancher marin en empruntant des fractures. Il est propulsé par l’« effet champagne » dû à la décompression des gaz, en particulier du méthane. Le couvercle, constitué par des milliers de mètres d’eau de mer, ne parvient pas à contenir cette échappée belle verticale. L’eau, chargée de gaz et matériaux divers, crève le plancher marin en une véritable éruption qui érige des monticules, que les océanographes appellent volcans de boue, ou creuse des cratères, que les anglophones appellent pockmarks. Le plus profond volcan de boue exploré reste l’Atalante, situé à 5 000 m de fond au large de la Barbade. C’est une galette boueuse plate d’un kilomètre de diamètre, dont l’âge est estimé à plusieurs dizaines de milliers d’années et qui expulse quotidiennement de 100 à 200 m3 de fluides et huit tonnes de méthane. 

Pour une part, ce méthane est oxydé en CO2 dans l’eau de mer où il reste dissous, mais ce type de volcan pourrait aussi, à l’occasion d’une éruption plus violente, venir enrichir l’atmosphère en CH4, gaz à effet de serre très efficace. L’apport des centaines de volcans de boue sous-marins ainsi que du dégazage plus ou moins sporadique des gisements d’hydrates à l’effet de serre naturel n’est pas négligeable. « Cependant, comme les éruptions volcaniques, leurs impacts pourraient être plus régionaux que globaux, et plus à court terme que permanents », estime Pierre Henry. 

En revanche, pour certains, les archives sédimentaires tendent à montrer que les hydrates de gaz pourraient être, en matière de catastrophes climatiques, capables d’infiniment plus. Gerald Dickens, Maria Castillo et James Walker, de l’université du Michigan, ont découvert que voici quelque 55 millions d’années, à la limite du Paléocène et de l’Éocène, s’est produite dans l’Atlantique une libération massive de méthane, attribuée à la dissociation d’hydrates. Ce phénomène est concomitant d’un sacré coup de chaleur. En 1 000 à 10 000 ans, la température globale de l’eau profonde a fait un bond de 4 à 6 °C ! Le retour à la normale a pris 200 000 ans. Affaire à suivre. 

D’autres catastrophes naturelles sont en partie imputables à l’instabilité des hydrates de gaz sous-marins, comme, par exemple, ces monstrueuses avalanches sur la pente du plateau continental qui eurent lieu il y a 8 000 ans au large de la Norvège. 

Dès lors, une double question s’impose. Le réchauffement climatique actuel, en partie imputable à l’activité humaine, ne risque-t-il pas d’entraîner un dégazage dangereux des hydrates qui viendrait renforcer l’effet de serre ? L’exploitation des gisements sous-marins peut-elle déclencher des coulées de boue et donc des tsunamis ? Toute publicité sur les hydrates de méthane doit donc impérativement être accompagnée de la mention : « à consommer avec modération ». 

Hervé Ponchelet

 http://www2.cnrs.fr/presse/journal/2353.htm

 

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GREENPEACE actionnaire de BP !!!

Par Tristan Vey
Journaliste web, lefigaro.fr
Fichier:B P.svg
Logo de BP

La société BP, anciennement nommée British Petroleum puis BPAmoco, est une compagnie britannique de recherche, d’extraction, de raffinage et de vente de pétrole fondée en 1909

Après sa fusion avec Amoco, Atlantic Richfield (Arco) et Burmah Castrol, elle est devenue la plus grande société du Royaume-Uni et la troisième compagnie pétrolière mondiale. La division BP de Londres est évaluée à environ 50 milliards USD (environ 39 milliards d’euros). Internationalement, BP est présente dans plus de 100 pays et emploie environ 115 000 personnes (2006). À la fois par responsabilité sociale et pour garantir sa pérennité, la société investit depuis quelques années dans l’énergie solaire.

Le choix du slogan de la société BP, « Beyond Petroleum » (Au-delà du pétrole), serait dû à l’imminence du pic pétrolier. Il peut également être dû à l’action du groupe d’actionnaires militants Sane BP (dont Greenpeace fait partie), qui propose des résolutions environnementales depuis 1999 à chaque assemblée générale.

BPAmoco fut formée en 2001 par ce qui a été officiellement décrit comme la fusion de British Petroleum et d’Amoco pour éviter toute concurrence. Cependant, après un an d’opérations communes, les deux géants ont regroupé la plupart des opérations et se sont renommés BP.

La suite Wikipedia

On comprend mieux le silence de Greenpeace depuis le début de cette catastrophe…

http://dl.dropbox.com/u/226028/greenpeace-ocean-defenders-gr.jpg

SOURCE: Panier de crabes

http://noxmail.us/Syl20Jonathan/?p=7537

Greenpeace,hulot,Y-A-Bertrand,même combat!!!!

 
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Publié par le 23 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Un échantillon d’eau de mer du Golf explose lors des tests chimiques!

l’eau « explose » lors des tests chimiques, le chimiste Bob Naman a trouvé dans les échantillons prélevés, dans une flaque d’eau de mer dans laquelle un enfant jouait , des résultats qui dépassaient ses attentes, 16 ppm à Katrina, 29 à Orange beach, les résultats les plus surprenants sont ceux de la marina de Dauphin island, lorsqu’il y a joint un produit chimique pour séparer l’eau des composants huileux dûs au pétrole, l’échantillon a tout simplement explosé…

Naman pense que la réaction chimique pourrait être due au dispersant corexit ou à la présence de gaz méthane dans l’eau de mer.

Article et vidéo:

http://www.internationalnews.fr/article-bp-oil-spill-gulf-water-sample-explodes-when-chemist-tests-for-toxicity-video-54190690.html

 

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BP les médias et Obama mentent: impossible de colmater le volcan de pétrole

Lire cet article  trés complet sur le site  » Les 7 du Québec  »

http://les7duquebec.wordpress.com/2010/07/20/bp-les-medias-et-obama-mentent-impossible-de-colmater-le-volcan-de-petrole/

 
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Publié par le 22 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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Golf du Mexique:Le méthane et ses conséquences.

 

Des preuves perturbantes démontrent que quelque chose d’effrayant se passe dans les profondeurs des eaux du Golfe du Mexique — quelque chose de bien pire que la fuite de pétrole de BP. Des avertissements ont été donnés il y a un an avant le sinistre de Deepwater Horizon disant, que la région des fonds marins, choisie par les géologues BP pouvait être instable, ou pire, intrinsèquement dangereuse.
Qu’est-ce qui rend cet emplacement que Transocean a choisi potentiellement beaucoup plus risqué que d’autres gisements pétroliers potentiels situés dans d’autres régions du Golfe ? Cela peut se résumer en deux mots : GAZ DE METHANE.
Le même méthane qui rend les opérations des mines de charbon dangereuses et qui conduit à des accidents miniers horribles dans les profondeurs de la terre, peut également présenter un niveau élevé de danger à certaines entreprises d’exploration pétrolière.
L’emplacement de forage de Deepwater Horizon a été critiqué.
Il y a plus de 12 mois que certains géologues ont tiré la sonnette d’alarme que la tour de forage de Deepwater Horizon pourrait avoir été érigée directement sur un immense réservoir souterrain de méthane. Depuis plusieurs années  il y a des documents qui indiquent que la formation géologique souterraine peut contenir la présence d’un dépôt de méthane énorme.
Personne d’autre que l’ingénieur qui a aidé à diriger l’équipe pour éteindre les incendies du pétrole du Golfe allumés par Saddam Hussein (*) pour ralentir l’avance des troupes américaines a déclaré qu’un immense lac souterrain de méthane — compressé par une pression de 100 000 livres par pouce carré (psi) — pourrait se libérer par l’effort de forage de BP pour obtenir le gisement de pétrole.
La technologie d’ingénierie actuelle ne peut pas contenir du gaz qui se trouve sous une pression allant jusqu’à 100.000 psi.
Selon des estimations de certains géologues le méthane pourrait être une bulle massive, toxique et explosive de 15 à 20 miles, emprisonnée depuis des éons sous le fond de la mer du Golfe. À leur avis, la destruction explosive de la tête de forage de Deepwater Horizon était un accident qui attendait de se produire.
Encore que la catastrophe qui a suivie après la perte de la plate-forme pourrait être insignifiante en comparaison du désastre apocalyptique qui pourrait survenir.
Une catastrophe à cascades.
Selon des géologues inquiets, les premiers signes que le méthane pourrait pousser son chemin à travers le fond de l’océan seraient des fissures ou des fêlures qui apparaissent sur le fond de l’océan près de la tête de forage endommagée.
Des preuves de fissures s’ouvrant sous les fonds marins ont été capturées par les robots submersibles travaillant à la réparation et à contenir la rupture du puits de forage. Des plus petits panaches de gaz, indépendants sont apparus également en dehors du rayon de la proximité autour du trou de forage lui-même.
Selon certains experts géologiques, les opérations de BP ont mis en mouvement une série d’événements qui pourraient être irréversibles. Étape par étape, l’équipe a commis une erreur après l’autre.
Les membres du Congrès Henry Waxman, D-CA et Bart Stupak, D-MI, ont envoyé ne lettre au CEO de BP Tony Hayward où ils ont identifié 5 erreurs pendant la période qui a abouti à l’explosion.
Waxman, le président de l’équipe d’énergie du Congrès et Stupak, le responsable du sous-comité de la surveillance et des investigations ont dit: “La caractéristique commune de ces cinq décisions est qu’ils ont fait un compromis entre les coûts et la sécurité du forage”.
Les deux Représentants ont également indiqué dans la lettre de 14 pages à Hayward que « Il apparaît que BP ait pris l’une après l’autre, des décisions qui ont augmenté le risque d’une explosion pour économiser à la société du temps et des frais. »
Certains initiés qui enquêtent sur la catastrophe en cours  l’ont qualifiée « d’un parfait enchaînement de catastrophes », la tête de forage explose au fond de la mer catapultant un flux de boue, de pétrole et de gaz vers la surface à la vitesse du son.
En décrivant les événements — qui se sont passés en quelques secondes — ils ont noté qu’immédiatement après la rupture, les tuyaux de forage du boîtier ont explosé en exposant une ligne droite de 8 miles (12km) de profondeur d’où le gaz sous pression a pu s’échapper. Le résultat était de la cavitation, une variation de pression irrégulière parfois expérimenté par des bateaux de plongées profondes comme des sous-marins nucléaires. Cette cavitation a créé une bulle supersonique de méthane explosif qui a abouti à une explosion supersonique tuant 11 hommes et qui a détruit complètement la plate-forme de forage.
Mort provenant des profondeurs.
Avec la preuve émergente de fissures, la crainte sourde est maintenant que la bulle de méthane fasse éclater les fonds marins et explose dans les eaux du Golfe. Si la bulle s’échappe, chaque navire, chaque puits et structure de forage au sein de la région de la bulle coulera instantanément. Tous les travailleurs, ingénieurs, personnel de la garde côtière et les biologistes marins mesurant l’avance des panaches d’huile périront instantanément.
Aussi horrible que cela soit, ce qui suivra est un événement si potentiellement horrible qu’il équivaudra dans sa fureur au tsunami indonésien qui a tué plus de 600 000 personnes, ou la destruction de Pompéi par le Vésuve.
La catastrophe ultime du Golfe, toutefois, fera même pâlir ces horreurs historiques en comparaison. Si cette énorme bulle de méthane traverse les fonds marins, cela surviendra avec une fureur explosive semblable à celle rencontrée lors de l’éruption du Mont Saint Hélène dans le Nord-Ouest du Pacifique. Un jet de gaz sera propulsé vers le haut à travers des kilomètres d’anciennes roches sédimentaires— couche après couche — traversant le réservoir de pétrole. Elle explosera vers le haut, propulsée par 50 tonnes psi, se frayant un chemin à travers les fissures et les fêlures des fonds sous-marins compromis et disloquera des kilomètres de fonds d’océan par une seule explosion titanesque.
Le nuage de gaz méthane naissant fera surface, tuant tout ce qu’il touchera et mettra en marche un tsunami supersonique avec une vague qui voyagera quelque part entre les 600 et les 900 km à l’heure.
Alors que l’ensemble des côtes du Golfe sont vulnérables, l’Etat le plus exposé à la fureur d’une vague supersonique d’une hauteur de 45 à 60 mètres ou plus sera la Floride. L’Etat « Ensoleillé » se trouve en moyenne à environ 30 mètres au-dessus du niveau de la mer avec une grande partie de sa côte, de ses plaines et de ses marécages à une élévation de zéro.
Un tsunami supersonique balaierait littéralement tout à partir de Miami jusqu’à Panhandle en quelques minutes. Les pertes de vies humaines seraient pratiquement instantanées et mesurées par millions. Bien entendu les États du Texas, la Louisiane, le Mississippi, l’Alabama et la région du Sud de la Géorgie : un État sans littoral du Golfe — pourraient également rencontrer des dizaines de milliers, voire des centaines de milliers de victimes.
Les pertes de propriétés sont pratiquement incalculables et les jours de positionnement des États-Unis comme superpuissance de la planète seraient littéralement balayés dans un flash… de détonation de méthane.

Source de cet article: http://www.helium.com

Url de cet article: http://www.internationalnews.fr/art

Je ne pense pas me tromper en disant que les films catastrophes ne sont pas anodins et qu’ils montrent avec une certaine réalité ce qui pourrait se passer là-bas et ce n’est pas trés réjouissant!

 

 

 
4 Commentaires

Publié par le 21 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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L’enquête sur la marée noire de BP est bloquée par le Sénat/BP Investigation Blocked By Senate (video VOSTF)

Alors que l’assemblée donne le droit de convocation de témoins pour l’enquête officielle sur la fuite de pétrole du golfe du Mexique à la commission nationale, 220 votes contre 1, le Sénat préfère bloquer l’enquête et protéger les responsables. Qu’essaient-ils de cacher ?

On nous cacherait quelque chose ?!!!

Navrant,preuve une fois de plus que les politiques sont tous des marionnettes corrompus!!!

http://www.internationalnews.fr/article-l-enquete-sur-la-maree-noire-de-bp-est-bloquee-par-le-senat-bp-investigation-blocked-by-senate-video-vostf-53615245.html

 
1 commentaire

Publié par le 8 juillet 2010 dans BILLET D'HUMEUR

 

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