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Abus rituel sataniques,réseaux pédocriminels élitistes et satanistes

16 Nov

L’abus rituel est défini dans le Dictionnaire de la Psychologie comme «Une méthode de contrôle des personnes de tout âges consistant en de mauvais traitements physique, sexuel et psychologique par l’utilisation de rituels » (Corsini, 1999, p. 848).

L’abus rituel satanique peut-être défini comme une forme de maltraitance sadique extrême sur des enfants ou adultes non-consentants. Il est méthodique, utilise systématiquement l’abus sexuel, l’abus physique, émotionnel et spirituel. Il comprend souvent le contrôle mental/programmation, la torture et des activités illégales et immorales: assassinat, pédopornographie, prostitution.

L’abus a lieu dans le contexte d’une idéologie religieuse, souvent d’origine satanique.

Ce qui différencie l’abus rituel satanique d’autres formes de traitements est que le traumatisme d’abus rituel est délibérement et systématiquement orchestré dans le but de créer un état de dissociation mentale, état dissociatif qui est manipulé par le groupe de telle sorte que le contrôle mental de la victime est établie.

Halloween: Abus rituel et sacrifices: Témoignage

Témoignage d’une mère sur les abus rituels sataniques

Calendrier de sorcellerie avec les différents moments les plus magiques et dates ( les sabbats et les esbats ).

calendrier-sorcellerie.jpg

Source et explications supplémentaires:

http://sorcelerie.canalblog.com/archives/2011/02/10/20356546.html

Agenda et rituel satanique

calendrier-sataniste-1.jpg

calendrier-sataniste-2.jpg

Tiré du « livre jaune n°7

Stan Maillaud dénonce les abus rituel

La Rencontre – Lelibrepenseur vs Stan Maillaud – Les réseaux pédocriminels élitistes et satanistes – Eté 2011

http://www.pedopolis.com/

 
5 Commentaires

Publié par le 16 novembre 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

5 réponses à “Abus rituel sataniques,réseaux pédocriminels élitistes et satanistes

  1. Mundus

    16 novembre 2012 at 15 h 10 min

    C’est étrange tous ces psychopathes qui adorent un être qui n’existe pas…..ou c’est peut-être parce que, justement, il existe, qu’ils l’adorent et le vénèrent….
    Je ne sais plus où j’ai lu ou entendu que la plus grande victoire de Satan est d’avoir réussi à faire croire aux hommes qu’il n’existait pas.

    Sauf que manque de peau : ils misent sur le, haut combien, mauvais cheval.

    Sinon excellente vidéo de Stan et LLP…il devrait y en avoir plus de rencontre comme celle-là!!!

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  2. Baudelaire

    16 novembre 2012 at 18 h 24 min

    Hier, à travers la foule du boulevard, je me sentis frôlé par un Etre mystérieux que j’avais toujours désiré connaître, et que je reconnus tout de suite, quoique je ne l’eusse jamais vu. Il y avait sans doute chez lui, relativement à moi, un désir analogue, car il me fit, en passant, un clignement d’oeil significatif auquel je me hâtai d’obéir. Je le suivis attentivement, et bientôt je descendis derrière lui dans une demeure souterraine, éblouissante, où éclatait un luxe dont aucune des habitations supérieures de Paris ne pourrait fournir un exemple approchant. Il me parut singulier que j’eusse pu passer si souvent à côté de ce prestigieux repaire sans en deviner l’entrée. Là régnait une atmosphère exquise, quoique capiteuse, qui faisait oublier presque instantanément toutes les fastidieuses horreurs de la vie; on y respirait une béatitude sombre, analogue à celle que durent éprouver les mangeurs de lotus quand, débarquant dans une île enchantée, éclairée des lueurs d’une éternelle après-midi, ils sentirent naître en eux, aux sons assoupissants des mélodieuses cascades, le désir de ne jamais revoir leurs pénates, leurs femmes, leurs enfants, et de ne jamais remonter sur les hautes lames de la mer.
    Il y avait là des visages étranges d’hommes et de femmes, marqués d’une beauté fatale, qu’il me semblait avoir vus déjà à des époques et dans des pays dont il m’était impossible de me souvenir exactement, et qui m’inspiraient plutôt une sympathie fraternelle que cette crainte qui naît ordinairement à l’aspect de l’inconnu. Si je voulais essayer de définir d’une manière quelconque l’expression singulière de leurs regards, je dirais que jamais je ne vis d’yeux brillant plus énergiquement de l’horreur de l’ennui et du désir immortel de se sentir vivre.
    Mon hôte et moi, nous étions déjà, en nous asseyant, de vieux et parfaits amis. Nous mangeâmes, nous bûmes outre mesure de toutes sortes de vins extraordinaires, et, chose non moins extraordinaire, il me semblait, après plusieurs heures, que je n’étais pas plus ivre que lui. Cependant le jeu, ce plaisir surhumain, avait coupé à divers intervalles nos fréquentes libations, et je dois dire que j’avais joué et perdu mon âme, en partie liée, avec une insouciance et une légèreté héroïques. L’âme est une chose si impalpable, si souvent inutile et quelquefois si gênante, que je n’éprouvai, quant à cette perte, qu’un peu moins d’émotion que si j’avais égaré, dans une promenade, ma carte de visite.
    Nous fumâmes longuement quelques cigares dont la saveur et le parfum incomparables donnaient à l’âme la nostalgie de pays et de bonheurs inconnus, et, enivré de toutes ces délices, j’osai, dans un accès de familiarité qui ne parut pas lui déplaire, m’écrier, en m’emparant d’une coupe pleine jusqu’au bord: « A votre immortelle santé, vieux Bouc! »
    Nous causâmes aussi de l’univers, de sa création et de sa future destruction; de la grande idée du siècle, c’est-à-dire du progrès et de la perfectibilité, et, en général, de toutes les formes de l’infatuation humaine. Sur ce sujet-là, Son Altesse ne tarissait pas en plaisanteries légères et irréfutables, et elle s’exprimait avec une suavité de diction et une tranquillité dans la drôlerie que je n’ai trouvées dans aucun des plus célèbres causeurs de l’humanité. Elle m’expliqua l’absurdité des différentes philosophies qui avaient jusqu’à présent pris possession du cerveau humain, et daigna même me faire confidence de quelques principes fondamentaux dont il ne me convient pas de partager les bénéfices et la propriété avec qui que ce soit. Elle ne se plaignit en aucune façon de la mauvaise réputation dont elle jouit dans toutes les parties du monde, m’assura qu’elle était, elle-même, la personne la plus intéressée à la destruction de la superstition, et m’avoua qu’elle n’avait eu peur, relativement à son propre pouvoir, qu’une seule fois, c’était le jour où elle avait entendu un prédicateur, plus subtil que ses confrères, s’écrier en chaire: « Mes chers frères, n’oubliez jamais, quand vous entendrez vanter le progrès des lumières, que la plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu’il n’existe pas! »
    Le souvenir de ce célèbre orateur nous conduisit naturellement vers le sujet des académies, et mon étrange convive m’affirma qu’il ne dédaignait pas, en beaucoup de cas, d’inspirer la plume, la parole et la conscience des pédagogues, et qu’il assistait presque toujours en personne, quoique invisible, à toutes les séances académiques.
    Encouragé par tant de bontés, je lui demandai des nouvelles de Dieu, et s’il l’avait vu récemment. Il me répondit, avec une insouciance nuancée d’une certaine tristesse: « Nous nous saluons quand nous nous rencontrons, mais comme deux vieux gentilshommes, en qui une politesse innée ne saurait éteindre tout à fait le souvenir d’anciennes rancunes. »
    Il est douteux que Son Altesse ait jamais donné une si longue audience à un simple mortel, et je craignais d’abuser. Enfin, comme l’aube frissonnante blanchissait les vitres, ce célèbre personnage, chanté par tant de poètes et servi par tant de philosophes qui travaillent à sa gloire sans le savoir, me dit: « Je veux que vous gardiez de moi un bon souvenir, et vous prouver que Moi, dont on dit tant de mal, je suis quelquefois bon diable, pour me servir d’une de vos locutions vulgaires. Afin de compenser la perte irrémédiable que vous avez faite de votre âme, je vous donne l’enjeu que vous auriez gagné si le sort avait été pour vous, c’est-à-dire la possibilité de soulager et de vaincre, pendant toute votre vie, cette bizarre affection de l’Ennui, qui est la source de toutes vos maladies et de tous vos misérables progrès. Jamais un désir ne sera formé par vous, que je ne vous aide à le réaliser; vous régnerez sur vos vulgaires semblables; vous serez fourni de flatteries et même d’adorations; l’argent, l’or, les diamants, les palais féeriques, viendront vous chercher et vous prieront de les accepter, sans que vous ayez fait un effort pour les gagner; vous changerez de patrie et de contrée aussi souvent que votre fantaisie vous l’ordonnera; vous vous soûlerez de voluptés, sans lassitude, dans des pays charmants où il fait toujours chaud et où les femmes sentent aussi bon que les fleurs, – et caetera, et caetera… », ajouta-t-il en se levant et en me congédiant avec un bon sourire.
    Si ce n’eût été la crainte de m’humilier devant une aussi grande assemblée, je serais volontiers tombé aux pieds de ce joueur généreux, pour le remercier de son inouïe munificence. Mais peu à peu, après que je l’eus quitté, l’incurable défiance rentra dans mon sein; je n’osais plus croire à un si prodigieux bonheur, et, en me couchant, faisant encore ma prière par un reste d’habitude imbécile, je répétais dans un demi-sommeil « Mon Dieu! Seigneur, mon Dieu! faites que le diable me tienne sa parole! »

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    • realinfos

      16 novembre 2012 at 19 h 14 min

      C’est mieux quand on sait d’où ça vient…. 🙂
      « Le joueur généreux » de Charles Baudelaire

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  3. yjacquot

    16 novembre 2012 at 21 h 33 min

    toute religion pratique le contrôle mental et la mise en place de systèmes éducatifs basés sur la propagande et la désinformation,de plus nombre de dérives sont inhérentes aux religions de n’importe ou qu’elles viennent.Les religions ne sont souvent pas dangereuse,ce sont les hommes qui font qu’elles le deviennent

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  4. Baudelaire2

    8 juillet 2013 at 23 h 02 min

    Correspondances

    La Nature est un temple où de vivants piliers
    Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
    L’homme y passe à travers des forêts de symboles
    Qui l’observent avec des regards familiers.

    Comme de longs échos qui de loin se confondent
    Dans une ténébreuse et profonde unité,
    Vaste comme la nuit et comme la clarté,
    Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.

    Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants,
    Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
    — Et d’autres, corrompus, riches et triomphants,

    Ayant l’expansion des choses infinies,
    Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens,
    Qui chantent les transports de l’esprit et des sens.

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