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Alain Soral : entretien de Septembre 2012

11 Sep

Partie 1 :

 

La conne du mois ; le Salafistfucking : nouveau concept en Occident ; récapitulatif de la situation Syrienne ; pourquoi les sionistes aident-ils aussi les islamistes ; Emmanuel Todd ou la trahison du clerc : qui qu’avait raison ? ; bilan des 100 jours de Hollande ; Mélenchon est-il Chaviste ?

Partie 2 :

 

La fausse agression antisémite du mois ; Manuel Valls et le « nouvel antisémitisme » ; affaire Merah : bientôt la vérité ? ; fausse agression / vraie ratonnade : rappel de l’affaire Bourarach ; Cindy Léoni nouvelle dirigeante de SOS Racisme ; le rôle de SOS Racisme, in fine ; incidents d’Amiens.

 

….

La suite sur le site  E&R

 

 

 
11 Commentaires

Publié par le 11 septembre 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

11 réponses à “Alain Soral : entretien de Septembre 2012

  1. julesans-s@gmail.com

    11 septembre 2012 at 14 h 35 min

    Michel Garroté – Vu de l’étranger, les événements de Castres ont quelque chose de délirant. En effet, la seule chose qui semble intéresser la classe politique et médiatique française, c’est d’occulter le fait que les « jeunes » – qui s’en sont pris à des militaires – pourraient, éventuellement (simple hypothèse n’est-ce pas), être de culture mahométane. La lâcheté, la peur, l’autisme et l’hypocrisie fonctionnent à merveille au pays des droits de l’homme et de la liberté.

    A ce propos, Bernard Antony, président de l’Alliance Générale contre le Racisme et pour le respect de l’Identité Française et chrétienne (AGRIF), communique (extraits adaptés ; cf. lien en bas de page) : « Dans ma ville de Castres, une fois de plus, des groupes qualifiés de ‘jeunes’, qui ne sont heureusement nullement représentatifs de l’ensemble des jeunes de toutes origines de cette ville, ont sciemment attaqué des parachutistes du 8 RPIMA fréquentant tranquillement le Bar des Arcades sur la place Jean Jaurès. Un jeune soldat violemment frappé avec un tesson de bouteille a ainsi perdu un œil, chez nous, où il aurait dû être en sécurité ».

    Bernard Antony : « L’agression fut délibérément ‘raciste’ au sens bien sûr de la loi antiraciste, c’est-à-dire en haine de l’appartenance à la Nation française, en haine de ceux qui, de toutes couleurs, défendent notre patrie. Hélas, chez bien des jeunes ‘travaillés’ par un islamisme de plus en plus violent, le massacreur ignoble de soldats et d’enfants juifs, Mohamed Merah fait figure de héros. L’AGRIF se porte partie civile dans cette affaire dont s’occupera Maître Pierre-Marie Bonneau du Barreau de Toulouse », conclut Bernard Antony, président de l’AGRIF (cf. ci-dessous lien vers source).

    L’AGRIF, on aime ou on n’aime pas. Mais force est de constater qu’elle est – apparemment – la seule entité chrétienne française à intervenir dans ce genre de situations. L’on apprécierait que d’autres entités chrétiennes françaises, elles aussi, se manifestent dans ce type d’affaires. Quant aux élus de la République française, ils ne semblent guère préoccupés par la judéophobie, la christianophobie et la francophobie, croissantes (sans jeu de mots), au sein de la communauté musulmane de l’Hexagone, ainsi que dans la plupart des médias français. C’était déjà le cas sous Sarkozy. C’est encore pire sous Hollande.

    Michel Garroté

    Rédacteur en chef

    Reproduction autorisée

    Avec mention http://www.dreuz.info

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  2. julesans-s@gmail.com

    12 septembre 2012 at 5 h 26 min

    Un peu d’histoire ne fait pas de mal……

    Connaissez-vous le « conflit arabo-palestinien » ?, par Esther Benfredj
    septembre 10th, 2012 CSL-Europe-Israël.org

    Depuis soixante ans, les pays arabes maltraitent leurs « frères » Palestiniens.

    Lorsque Henry Kissinger, ancien diplomate et secrétaire d’Etat américain, rencontra Yasser Arafat, en 1994, à l’occasion de la remise du prix Nobel de la paix, il lui demanda pour quelles raisons les Israéliens pouvaient avoir confiance en lui. L’ancien chef de l’OLP formula la réponse suivante : « Parce que les Saoudiens nous ont isolés, les Jordaniens cherchent à nous affaiblir et les Syriens, à nous dominer. »1
    Cette réponse pour le moins révélatrice de la « fraternité arabe », expression consacrée par bon nombre de résolutions des Nations Unies, nous offre l’occasion de revenir sur un conflit peu médiatisé existant pourtant depuis plus de 60 au Moyen-Orient : Le « conflit arabo-palestinien ».2

    Un conflit tabou

    En juillet 2010, dans un article intitulé « Les Palestiniens dans le monde arabe : Pourquoi le silence ? », le journaliste Khaled Abou Toameh s’interrogeait sur l’absence de médiatisation qui entoure le sort des réfigiés palestiniens des pays arabes.

    Qui se souvient en effet avoir pris connaissance des plaintes palestiniennes formulées à l’encontre des Gouvernements proche-orientaux pour privation de droits élémentaires (accès aux soins médicaux, à la sécurité sociale ou à certaines professions : Avocat, médecin, journaliste, pharmacien…) ?

    Qui se souvient encore de la dernière résolution adoptée par un organe des Nations Unies pour condamner les mauvais traitements infligés par ces Gouvernements aux réfugiés ?

    Bien sûr, en raison de leur médiatisation, il est plus aisé de se souvenir des résolutions onusiennes condamnant Israël.

    Qu’entendrions-nous si l’Etat hébreu appliquait à ses citoyens arabes la même politique que ses voisins aux réfugiés palestiniens ?

    Si l’on peut reprocher à Israël d’être, à certains égards, un pays à deux vitesses, il reste à l’heure actuelle le seul de la région à promouvoir, ainsi que le prévoit la Déclaration d’Indépendance de 1948, « une complète égalité de droits sociaux et politiques (…), sans distinction de croyance, de race ou de sexe. » C’est pourquoi, il compte de nombreux citoyens arabes aux fonctions étatiques les plus hautes : à la Knesset, par exemple, plusieurs députés arabes ont été élus dont Taleb El-Sana, Ahmad Tibi ou Muhammad Barakeh ; à la Cour suprême d’Israël, le juge Salim Joubran siégea lorsque la haute juridiction condamna, en novembre 2011, l’ancien président d’Israël, Moshé Katzav, à sept ans d’emprisonnement pour harcèlement sexuel et viols. En dépit du régime démocratique qui fait d’Israël une exception au cœur d’une région ravagée par les dictatures militaires et religieuses, cet Etat est régulièrement comparé à une nation d’apartheid.

    A titre de comparaison, à l’heure actuelle :

    Au Liban, plus de 400 000 réfugiés palestiniens restent apatrides, géographiquement et socialement cantonnés à des emplois déterminés ;
    En Syrie, ils sont méprisés et manipulés par des dirigeants dont la politique fut toujours celle de la division permanente de la scène politique palestinienne.
    En Jordanie, ils sont également méprisés en raison de l’épisode Septembre noir orchestré par Yasser Arafat en 1970 contre la monarchie hachémite et ils furent déchus de la citoyenneté jordanienne lors du desengagement de la Cisjordanie en 1987.
    En Egypte, les Palestiniens subissent le dédain des autorités, qui contrôlaient Gaza d’une main de fer jusqu’en 1967 avant de l’abandonner définitivement en 1978 à Israël, marquant ainsi sa « trahison » de la cause palestinienne.
    Les racines du mal

    Le 14 mai 1948, David Ben Gourion se fonda sur la résolution 181, adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies en novembre 1947, pour proclamer l’Indépendance de l’Etat d’Israël. Côté palestinien, aucun Etat ne fut proclamé : La guerre fut déclenchée, le 15 mai 1948, par les armées régulières égyptienne, syrienne, libanaise, transjordanienne et irakienne.
    Comme en 1936-1937 lors de la Commission Peel, leurs dirigeants rejetaient l’idée d’un partage territorial avec les sionistes car ils considéraient l’Etat juif, d’une part, comme un obstacle à la réalisation du Dar-el-Islam et, d’autre part, comme une intrusion de l’Occident dans leur zone territoriale.
    L’Etat nouveau-né avait en effet mis en place un régime calqué sur le modèle des démocraties libérales, qui différait grandement de ceux prônés par les régimes arabes. Leur motivation profonde semblait alors consister à empêcher la fondation et l’existence de l’Etat d’Israël, Etat non musulman au sein d’une région islamisée.

    C’est pourquoi au cours de l’année 1948-1949, la Transjordanie et l’Egypte s’opposèrent à l’intégration des 700 000 réfugiés palestiniens, volontairement exilés ou contraints à l’exil, puisqu’ils étaient alors convaincus que l’Etat d’Israël ne survivrait pas aux offensives militaires et qu’ils pourraient retourner dans une Palestine libérée du joug sioniste.

    Ce refus d’intégrer ces nombreux Arabes de Palestine allait ainsi servir d’alibi aux gouvernements arabes pour justifier leur politique contre l’Etat hébreu tout en détournant l’attention de leurs propres peuples des véritables problèmes de politique interne. N’avaient-ils d’ailleurs pas contribué à l’exode des Palestiniens en les priant de quitter leurs terres avant leur offensive contre Israël au cours de la guerre comme l’écrivait l’historien Paul Giniewski en 1955 : « Le Gouvernement britannique, qui a observé une attitude expectante parfois non dénuée de sympathie à la cause arabe, a solennellement attesté que les Juifs ont fait tous les efforts pour persuader les Arabes de Palestine de demeurer sur place. Nulle mesure légale, nulle pression n’a obligé les Arabes à quitter le territoire contrôlé par Israël. (…) Les Arabes de Palestine ont cédé à un mouvement de panique (…) ils ont été encouragés à s’expatrier en attendant la défaite de l’Etat juif nouveau-né. »3

    Perdue par cinq nations arabes, cette première guerre israélo-arabe permit à Israël, avec l’aide des Nations Unies, lors de la signature des Accords d’armistice conclus du 23 février au 20 juillet 1949, d’agrandir le territoire qui lui avait été alloué, en annexant la zone occidentale de Jérusalem, le Néguev et la Galilée. Le Gouvernement israélien accepta également de rapatrier 50 000 réfugiés après l’adoption de la résolution 194 par l’Assemblée générale des Nations Unies en 1948 et reprit à sa charge 28 000 réfugiés secourus par l’Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA)4.
    La Judée-Samarie ou Cisjordanie fut annexée à la Transjordanie devenue Jordanie, qui ne lui permit jamais d’espérer accéder à l’indépendance puisque l’émir Abdallah envisageait la création d’un royaume hachémite palestinien5.
    La bande de Gaza, pour sa part, fut placée sous tutelle égyptienne après que l’Egypte se fut opposée à la mise en place d’un « Gouvernement palestinien » que le mufti de Jérusalem, Hadj Amin El-Husseini, avait pourtant créé à Gaza le 1er octobre 1948.

    Guidés par leurs visées égoïstes, les leaders arabes avaient abondamment contribué à faire naître l’épineuse question palestinienne en instrumentalisant ces nouveaux réfugiés pour refuser l’existence même d’Israël. Dans ce contexte, le député jordanien Abdallah Nawas pouvait ainsi déclarer le 6 juin 1952 : « Nous devons continuer à prolonger le problème des réfugiés comme une question vitale… La guerre en Palestine ne continue que grâce aux réfugiés. Leur existence laisse la question ouverte. »6.
    Cependant, au fil des victoires militaires israéliennes, la cause palestinienne fut discréditée et connut jusqu’à maintenant une instrumentalisation intensifiée de la part des dirigeants arabes.

    Pourtant, s’indigne Khaled Abou Toameh, l’attention des nombreux journalistes occidentaux ne s’attarde pas sur le sort des Palestiniens, qui ne bénéficient d’aucuns droits civils et civiques dans les pays du Moyen-Orient contrairement aux citoyens arabes en Israël, mais par la constuction illégale de logements à Jérusalem. Question de point de vue !

    *Photo : Farfahinne

    Henry Kissinger, La Nouvelle Puissance Américaine, Paris, Editions Fayard, 2003, p.249. ↩
    Nous n’aborderons pas ici les conditions de vie difficiles des Palestiniens de Cisjordanie et de Gaza.
    Des manifestations contre le Hamas et l’Autorité palestinienne viennent pourtant de s’y dérouler pour critiquer les lois antisociales adoptées par le Hamas, la hausse des prix et la corruption qui gangrène l’Autorité palestinienne.
    Ovadia Soffer, « Le conflit arabo-israélien : la réalité et les mythes », Politique étrangère, vol. 49, n°4, 1984, à la p.954.
    Jacques Soustelle, La longue marche d’Israël, Paris, Editions J’ai lu, 1968, p.351.
    Ovadia Soffer, « Le conflit arabo-israélien : la réalité et les mythes », Politique étrangère, vol. 49, n°4, 1984, à la p.954.
    Soustelle, supra note 4.
    Source : Causeur, par Esther Benfredj

    *Propriété du site http://www.europe-israel.org

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    • realinfos

      12 septembre 2012 at 8 h 00 min

      Plus je te lis et plus je me demande si ce n’est pas plutôt toi l’esclave collabo des sionistes et de leur idéologie dominatrice et mortifére et à propos de collabo,tu savais que les Juifs aussi avaient les leurs….

      http://www.enquete-debat.fr/archives/des-juifs-dans-la-collaboration-lu-g-i-f-1941-1944-de-maurice-rasjfus/

      De plus,rien qu’en lisant la 1° phrase, » lorsque henry kissinger…. »,l’un des plus grand criminel de guerre que la Terre ait porté,tout comme ses copains, le prince Bernhard des Pays-Bas, David Rockefeller,Zbigniew Brzezinski et toute la clique de dégénérés notoires,n’a fait que renforcé le sentiment que tu étais un bon petit soldat de cette entité démoniaque,alors un conseil,choisi mieux tes sources……

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  3. realinfos

    12 septembre 2012 at 9 h 09 min

    Pour le  » gentil  » collabo 🙂

    Je ne suis pas antisémite mais anti-Judaïste!

    http://networkedblogs.com/C0N88

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  4. julesans-s@gmail.com

    12 septembre 2012 at 9 h 25 min

    Des collabos juifs, musulmans, cocos, socialos, centristes, droitistes etc c’est connu. On va pas refaire l’histoire tout ou presque a été dit, écrit.

    Nous sommes au 21è siècle.

    Mes ancêtres étaient Vikings, serfs, écuyers je m’en tape.

    Aujourd’hui et demain ! La Liberté est menacée. Rabâcher le passé comme un vieux derrière son rideau en attendant la mort, n’est pas mon concept de vie et de réflexion.

    C’est fou ce que les croyances détruisent…..

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    • realinfos

      12 septembre 2012 at 9 h 44 min

      « C’est fou ce que les croyances détruisent….. »,là je suis complètement d’accord….
      Aujourd’hui,le tout est de chercher qui manipule qui,à qui profite le crime et de toujours suivre l’argent et dans le cas présent les adeptes de l’usure….c’est un fait….

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  5. julesans-s@gmail.com

    12 septembre 2012 at 21 h 24 min

    L’argent n’a pas d’odeur et tu le sais. Sais-tu que chaque femme musulmane portant le chiffon complet reçoit si elle le demande 200 à 300 € par l’Arabie?

    Le Quatar achète la France morceau par morceau et c’est pour cela que Sarkozy et Lagarde appuyés par le gouvernement, ont modifié sournoisement la lois Françaises afin d’y accueillir les finances islamiques en respectant la charia?

    Pour le reste je suis bien informé. Je me focalise sur les uns et les autres, mais également sur une troisième force, sournoise, LES religions et les religieux. Il en va de nos libertés, actuellement, c’est l’islam le problème et ses adeptes aidés de gens qui n’ont pas à collaborer comme les communistes les socialistes et les extrêmes gauches qui sont ignorant et idéalistes ce faisant, très dangereux.

    Notre avenir est un tout, la liberté est tout.

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    • realinfos

      12 septembre 2012 at 21 h 39 min

      C’est toute une partie de l’Islam radical qui fricote avec le régime sioniste et non pas tous les musulmans,là est ton erreur,tu met tout le monde dans le même panier,Soral l’explique très bien d’ailleur….

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  6. julesans-s@gmail.com

    13 septembre 2012 at 16 h 54 min

    Je ne suis pas dans l’erreur puisque je le sais!

    http://blog.sami-aldeeb.com/2012/09/08/copains-comme-cochons-des-rabbins-et-des-imams-pronent-la-tolerance-zero-contre-lintolerance-religieuse/

    1,5 milliard d’un côté et à peine seize millions de Juifs, cherche l’erreur….sans compter que Israël est grand comme deux départements français.

    Qui pose des bombes, qui veut nous conquérir et instaurer la charia, tuer du mécréant, du Juif, lapider les pédés, les femmes etc….? Les finances islamiques elles servent à quoi à part acheter la France et l’Europe?

    Je n’ai pas écouté Soral mais cela ne va pas tarder….

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    • realinfos

      13 septembre 2012 at 18 h 28 min

      Hé bien,écoutes le et tu verras que l’islam radical n’a rien à envier aux sionistes,les uns se servant des autres pour réaliser leurs desseins….
      Dans une des vidéo,tu écouteras bien l’histoire du « combat de coq » et celle des « jeans avec une seule jambe » et tu comprendra un peu mieux dans quel monde l’on vit et que tout n’est pas comme tu l’imagines….

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