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Archives du 19 mai 2012

Uranium et Thorium, scandale en puissance chez les militaires.(vidéo)

Voici un reportage nous montrant les dangers de l’uranium et du thorium à des fins militaires. Ceci se passe chez nous, en Europe avec des tirs d’entrainements; alors imaginez quelles sont les conséquences en Irak, au Liban et ailleurs où nous avons utilisés ces métaux lourds. Un véritable scandale que veulent éviter les militaires, les états et même l’OTAN.

 

 

 

 

 

 
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Publié par le 19 mai 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

Le jeûne, une nouvelle thérapie? (vidéo)

Dans les pays occidentaux, les cas de diabète, d’hypertension, d’obésité, de cancers se multiplient et la consommation de médicaments explose. Et s’il existait une autre voie thérapeutique ?

 

 

 

 

 

Depuis un demi-siècle, en Russie, en Allemagne et aux États-Unis, des médecins et des biologistes explorent une autre piste : le jeûne. Réputé pour sa source d’eau chaude, le sanatorium de Goriachinsk, dans la plaine sibérienne, est aussi connu pour son centre de jeûne, créé en 1995. Atteints d’asthme, de diabète, de rhumatisme, d’allergie… les patients, très encadrés, n’ingurgitent rien à part de l’eau durant douze jours en moyenne mais la cure se prolonge parfois trois semaines.

 Après la douloureuse crise d’acidose des débuts, ils se sentent plus en forme et les deux tiers voient leurs symptômes disparaître après une ou plusieurs cures. Remboursé, ce traitement s’appuie sur quarante ans d’études scientifiques, malheureusement non traduites, qui ont démarré sous l’ère soviétique. Bien qu’elles soient inconnues hors de Russie, des médecins et chercheurs occidentaux creusent aussi ce sillon, même si, aux pays du médicament-roi, ils bénéficient de peu de subventions.

 

 

 

 
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Publié par le 19 mai 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

Guerre nucléaire : Medvedev met en garde….

 Les déclarations de jeudi de Medvedev, le Premier ministre russe, faites, à la deuxième Conférence des droits internationaux, à Saint-Pétersbourg, sont, en fait, une réponse à la menace de l’Occident.

 

 

 

 

 

 

Dimitri Medvedev a critiqué, à cette conférence, les négligences envers le droit à la souveraineté des pays, sur les scènes internationales, avant d’ajouter que l’intervention militaire pourrait avoir comme conséquence des guerres régionales et mêmes nucléaires. Le Premier ministre russe faisait allusion, en fait, à l’attitude de l’Occident, au Moyen-Orient, et, notamment, en Syrie.

 Les pays occidentaux cherchent à trouver un prétexte, pour leur intervention militaire, en Syrie, et le renversement du gouvernement de Bachar al-Assad. Les efforts des Occidentaux, pour obtenir une autorisation du Conseil de sécurité, pour une attaque militaire contre la Syrie, se sont heurtés à la résistance de la Russie et de la Chine, et Moscou espère le retour du calme, en Syrie, avec l’application réussie du plan de Kofi Annan.

 Il est attendu que l’application des parties de ce plan, dont le cessez-le-feu, prépare le terrain à la réconciliation nationale, en Syrie, et prive l’Occident de ses prétextes, pour une nouvelle intervention militaire, au Moyen-Orient. Les puissances occidentales ne voient pas dans leur intérêt l’application du plan de Kofi Annan. De ce fait, elles tentent de perturber le cessez-le-feu, en orchestrant et en armant les groupes terroristes de l’opposition. Ensuite, elles entravent l’établissement d’un dialogue entre Bachar al-Assad et l’opposition.

 Or, ce qui se passe, en Syrie, n’est pas, en fait, un affrontement entre un régime et ses opposants, mais les rivalités internationales, à l’intérieur des frontières syriennes. La Russie n’a pas l’intention de permettre à l’Occident de répéter le scénario libyen, en Syrie, et de remodeler, à sa façon, et selon ses propres visées, l’atlas du Moyen-Orient. A la Conférence sur les droits internationaux, à Saint-Pétersbourg, le Premier ministre Dimitri Medvedev a mis en garde l’Occident contre un tel aventurisme, avec, dans son sillage, des impacts irréparables, pour le Moyen-Orient, mais aussi, pour le monde entier.

Irib

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G8

Cameron s’est déclaré prêt à envoyer des forces militaires, en Syrie .
Lors de la réunion du G-8, le Premier ministre britannique s’est déclaré prêt à envoyer des forces militaires, en Syrie.

“La Grande-Bretagne a les moyens d’envoyer ses militaires, en Syrie, afin d’accentuer la pression sur le régime d’Assad”

http://french.irib.ir/info/international/item/189295-cameron-s-est-d%C3%A9clar%C3%A9-pr%C3%AAt-%C3%A0-envoyer-des-forces-militaires-en-syrie

 

 

 
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Publié par le 19 mai 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

40 millions de japonais en extrême danger par empoisonnement aux radiations, évacuations de masse probables

Un texte de NaturalNews du 17 mai, dont une partie du contenu sera à confirmer par d’autres articles, qui engage une action de pétition auprès des Nations-Unies concernant le réacteur 4

 

 

 

 

 

Des officiels japonais sont actuellement engagés dans des pourparlers avec des diplomates russes sur la possible délocalisation de dizaines de millions de japonais dans le cas très probable d’un effondrement total de l’unité 4 de Fukushima Daiichi. Selon un rapport récent de EUTimes,net, les autorités japonaises ont indiqué qu’au moins 40 millions de japonais sont en  »extrême danger » d’empoisonnement radioactif, et que de nombreuses villes de l’est, y compris Tokyo, peuvent devoir être évacuées dans les prochaines semaines ou mois pour éviter un empoisonnement à des radiations extrêmes.

Comme nous continuons de le rapporter, la situation à Fukushima est désespérée, c’est peu de le dire. Le réacteur 4 est sur le point de s’effondrer complètement, ce qui enverrait dans l’atmosphère du combustible provenant de milliers de barres. Ces barres, après tout, sont déjà exposées à l’air libre, mais la libération de leur combustible causerait non seulement une catastrophe régionale, mais aussi un holocauste mondial.

Le Mainichi Daily a récemment rapporté :  »Un rapport publié en février par la commission indépendante d’investigation sur l’accident a déclaré que la piscine de stockage du réacteur 4 était le maillon faible dans les crises de réaction en chaîne de la catastrophe nucléaire ».

 »Le scénario du pire établi par le gouvernement inclut non seulement l’effondrement de la piscine du réacteur 4, mais aussi la désintégration des barres de combustible de tous les autres réacteurs de la centrale. Si ceci devait arriver, les habitants de la zone métropolitaine de Tokyo seraient obligés d’évacuer. »

Pour mettre en place des solutions pour les japonais les plus proches du danger, les autorités envisagent de reloger des dizaines de millions de japonais dans les îles Kouriles, situées dans la région de Sakhaline, ou même en Chine, où des centaines d’habitations de villes fantômes non utilisées pourraient abriter au moins 64 millions de réfugiés. Si cette délocalisation devait se produire, le Japon deviendrait en grande partie une friche stérile.

Une  »vague » de déchets hautement radioactifs se dirigerait vers la côte ouest des US

 
Pour les japonais, la catastrophe de Fukushima représente une disparition complète de leur nation, alors que pratiquement rien n’est fait pour contenir les milliers de barres de combustible exposées qui pourraient exploser avec la chute du réacteur 4. Mais les conséquences de tout ceci ne sont pas limitées seulement au Japon, car le reste du monde, y compris les US, supporteront le poids de cette bombe nucléaire aussi. Nous souffrons déjà, en fait, des conséquences de cette guerre nucléaire qui n’est pas une guerre.
À la fin de l’année dernière, par exemple, il a été rapporté que des officiels américains ont ordonné à TEPCO de relâcher 10 millions de litres de déchets radioactifs dans l’océan Pacifique. Aujourd’hui, selon The Intel Hub, ces déchets arriveront bientôt sur les grèves de la côte ouest, à l’insu de millions d’américains vivant dans cette région, qui y seront exposés.

Cette nouvelle  »vague » de radiations est, bien sûr, en supplément de vagues plus anciennes qui ont déjà tué des milliers de gens, beaucoup d’entre eux étant des enfants, et provoqué une augmentation considérable de cas de cancers. Et avec le temps de plus en plus de gens vivant en Amérique vont commencer à développer des maladies chroniques en résultat d’un empoisonnement perpétuel par Fukushima et beaucoup mourront, alors que les médias de masse restent volontairement silencieux sur le problème.

Et le gouvernement fédéral a toujours su que la catastrophe devenait la plus mondialement sévère de l’histoire, comme il l’a été prouvé par la récente demande d’une loi sur la liberté de l’information. Non seulement les autorités fédérales sont conscientes des extrêmes dangers venant de Fukushima depuis les premiers jours, mais elles ont aussi orchestré des campagnes de désinformation pour garder les américains et le reste du monde dans l’obscurité au sujet de la vérité.

Comme ni les US ni les gouvernements japonais semblent vouloir vraiment gérer Fukushima, et en particulier la condition du réacteur 4, NaturalNews en appelle aux Nations-Unies pour mener une action rapide. Une nouvelle pétition presse les NU d’organiser un sommet sur la sécurité nucléaire pour s’occuper du problème du réacteur 4, et établir aussi une équipe indépendante d’évaluation pour le stabiliser et empêcher son combustible de détruire potentiellement toute vie sur terre.

 
 
 
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Publié par le 19 mai 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

La crise bancaire contamine aussi l’hôpital….

Certains établissements seront bientôt en cessation de paiement.

 

 

 

 

 

 

Malgré la crise, le chantier du BMT de la Timone à Marseille se poursuit. Ce n'est pas le cas pour le génopole, dont les travaux ont été gelés.

 

En Grèce, les malades cancéreux achètent eux-mêmes leurs médicaments en pharmacie et les payent de leur poche. Las d’accumuler les factures impayées, le laboratoire pharmaceutique Roche ne fournit plus les hôpitaux. Le groupe envisage de prendre des mesures similaires contre d’autres pays, dont l’Espagne.

En France, on n’en est pas encore là. Mais pour combien de temps ? À en croire la Fédération hospitalière de France (FHF) , qui regroupe plus d’un millier d’hôpitaux publics, les deux tiers des établissements de santé vont sous peu se retrouver en cessation de paiement. « Pas assez de recettes pour honorer ses dépenses, techniquement cela s’appelle une faillite », simplifie Thierry Acquier, délégué régional de la FHF en Paca. Et si, statutairement, un hôpital ne peut pas être mis en faillite, les conséquences de cette crise financière se font déjà sentir : partout en France, des chantiers hospitaliers prévus en 2012 sont à l’arrêt. L’achat d’équipements médicaux a été différé.

Plus inquiétant encore : « Certains directeurs ont du mal à assurer les dépenses courantes, à payer les fournisseurs et parfois même à verser les salaires des personnels », indique la FHP.

Sous perfusion bancaire

À l’origine de ce « krach » hospitalier, la fermeture du robinet de financement que représentait la banque publique Dexia, le prêteur historique des hôpitaux démantelé à l’automne dernier pour cause d’empoisonnement aux emprunts toxiques. Depuis, les banques de détail ne se bousculent pas pour prendre le relais. Laissant sur la paille des hôpitaux publics déjà étranglés par les contraintes budgétaires. Faute de crédit bancaire, il leur manquerait plus de 2 milliards d’euros cette année, soit 50 % de leurs besoins. Non seulement pour financer les investissements à moyen et long terme, mais aussi pour boucler le fonctionnement courant. « De nombreux établissements, en déficit structurel depuis des années, avaient recours à l’emprunt pour boucler leur trésorerie », explique Thierry Acquier. Une perfusion bancaire brutalement retirée avec l’explosion de Dexia.

Stoppé net dans cette fuite en avant, l’hôpital de Briançon, dont le taux d’endettement est voisin de 20 %, est menacé de banqueroute. Celui d’Aubagne sait déjà que pour être en capacité de verser ses salaires, il ne paiera pas ses charges sociales (lire ci-dessous). Et quand l’hôpital va mal, rien ne va plus : BTP, fournisseurs, administration fiscale, toute l’économie est ralentie.

Cercle vicieux

Très inquiète de cette situation, la FHF réclame la création rapide d’une banque publique d’investissement, qui prendrait le relais de Dexia auprès des hôpitaux et des collectivités territoriales. Un dossier qui n’a pas encore reçu le feu vert de Bruxelles. En attendant, la FHF demande à ses adhérents de ne plus lancer des projets d’investissement qui ne sont pas complètement financés. « Mais cela n’est pas viable dans la durée. Car un hôpital qui n’investit pas, qui ne rénove pas ses bâtiments, qui n’achète pas de nouveaux équipements court à sa perte », souligne Thierry Acquier.

Si les grosses structures, comme l’AP-HM parviennent à sauver les meubles, grâce notamment à l’émission d’emprunts obligataires lancés avec d’autres CHU, les petits hôpitaux s’engouffrent dans un cercle vicieux: moins d’investissements, moins de recettes, plus de dette… : cette spirale pernicieuse qui menace aujourd’hui toute l’économie européenne.

A Aubagne, salaires ou charge : il faut choisir

Huit mois. C’est le délai moyen de paiement des fournisseurs du centre hospitalier d’Aubagne. De quoi plomber les trésoreries de ces entreprises, souvent des PME. « La réglementation nous impose de régler nos factures dans les 50 jours. Mais nous ne pouvons pas faire autrement. Et cela va s’aggraver », explique Alain Teissier, le directeur de l’établissement, qui ne parvient plus à joindre les deux bouts. Faute de crédits bancaires, l’hôpital a renoncé à des investissements : travaux d’entretien des bâtiments, remplacement d’ascenseurs vieux de 40 ans, renouvellement de certains équipements médicaux. « Cela représente 1,5 million d’euros, ce qui n’est pas une somme faramineuse. Nous avons fait la tournée des banques. Aucune n’a accepté de nous prêter le moindre centime« , fulmine le directeur.

Mais l’urgence à Aubagne, c’est d’assurer la paye du personnel et d’honorer les factures des fournisseurs. L’hôpital va devoir différer le versement de ses charges sociales et fiscales. Avec, à la clé, des pénalités de retard qui vont alourdir ses dépenses. Endetté à plus de 8 % de son budget, l’établissement qui ne dispose plus de capacité d’autofinancement, vivait jusqu’à présent sous perfusion bancaire. En 2011, l’hôpital d’Aubagne a néanmoins gagné 4,5 % d’activité. Mais sans investissement pourra-t-il continuer à faire face à la concurrence féroce de la clinique privée voisine (La Casamance), et à la proximité de l’offre médicale marseillaise ?

La provence via les moutons enragés

 

 

 
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Publié par le 19 mai 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
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