RSS

Archives du 26 mars 2012

Crime de haine : Il n’y a pas de fumée sans feu ,une Irakienne battue à mort en Californie !

 

 

irakienne_battue_a_mort_Shaima_Alawadi

 

 

Après la folie meurtrière qui s’est déchaînée sur la France et le meurtre d’un adolescent noir par un blanc en Floride, un nouveau crime de haine vient de se dérouler aux Etats-Unis, à San Diego.

Shaima Alawadi, une irakienne mère de cinq enfants a été battue à mort à son domicile. Son ou ses agresseurs ont laissé un mot qui laisse peu de doutes quant aux motivations de ce crime : « Vous êtes des terroristes ».

La lettre de menace demande également aux autres membres de cette famille de retourner en Irak, pays dont ils ont émigré au cours des années 90.

Shaima Alawadi avait découvert une lettre du même type il y a une semaine, mais elle ne l’avait pas prise au sérieux, pensant qu’il s’agissait d’une blague d’enfants.

Rien n’a été volé dans la maison et le lynchage, très probablement prémédité, se serait déroulé pendant que le mari de Shaima emmenait leurs enfants à l’école.

Source

 

 

 
3 Commentaires

Publié par le 26 mars 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

Le mythe de « la menace iranienne », par Yakov Rabkin

 

 

Yakov Rabkin est Professeur d’Histoire à l’Université de Montréal. Il est l’auteur du livre « Au nom de la Torah : Une histoire de l’opposition juive au sionisme », sorti en 2004. Il également l’auteur d’un article publié en 2008 dans la Revue Internationale et Stratégique, dans lequel il analyse le rôle moteur de certains lobbys sionistes dans la diabolisation du président Iranien, Mahmoud Ahmadinejad.

Dans le contexte des élections présidentielles françaises de 2012, certains candidats (Nicolas Sarkozy, Jean-Luc Mélenchon, …) reprennent à leur compte le mensonge selon lequel le président iranien aurait déclaré qu’il souhaitait rayer Israël de la carte.

L’Audible : De nombreux analystes estiment une attaque de pays occidentaux contre l’Iran « imminente », beaucoup parlent du dernier trimestre 2012 comme probable fenêtre temporelle de lancement de ce conflit. Estimez-vous ce conflit inéluctable ? Craignez-vous qu’il se transforme en guerre mondiale ?



 

Yakov Rabkin : Le consensus en matière de politique étrangère semble très solide en France. Ce consensus concerne avant tout les actions occidentales dans les pays non occidentaux : la Lybie, la Syrie, l’Iran. Les élites politiques gardent toujours en mémoire la « mission civilisatrice de la France » en Afrique et en Asie. Elles ont accepté que le principe d’égalité s’applique aux peuples moins blancs seulement après le retrait de l’Algérie. Cette acceptation faisait partie de la vague de décolonisation, créée et soutenue largement par l’URSS dans le contexte de la Guerre froide. Depuis une vingtaine d’années, la légitimité grandissante du racisme facilite le retour à la discrimination raciale à l’intérieur (d’où l’essor de l’extrême droite) et à des interventions militaires du type néocolonial à l’extérieur.

L’État d’Israël en donne l’exemple en agissant d’une façon résolue et avec impunité comme « le rempart de la civilisation occidentale » au Moyen Orient. Beaucoup de Français s’inspirent de cet exemple, acceptent le mythe de « la menace iranienne » fabriqué par les élites sionistes afin de non seulement consolider la société autour de la droite nationaliste mais également faire disparaître la tragédie palestinienne de l’opinion publique. Cette politique met en relief le refus d’appliquer le principe d’égalité à la République islamique. Ce qui est permis à Israël, notamment de disposer d’armes nucléaires sans aucun contrôle international, ne pourrait, dans cette logique coloniale, s’appliquer à un autre pays de la région. C’est ce mélange d’impunité et d’arrogance qu’admirent les élites politiques en France.

Je suis historien plutôt que prophète. Je sais qu’aucun conflit n’est inéluctable : il est du ressort de la volonté humaine. Une attaque contre l’Iran risque d’étendre considérablement la zone du conflit. Pourtant je n’y vois pas le spectre d’une guerre mondiale car les armes nucléaires que possèdent les adversaires potentiels (les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, la Russie, la Chine, l’Inde et le Pakistan) tendent à restreindre leur comportement.

Propos recueillis le 20 mars 2012 par Raphaël Berland

Agoravox

 

Et pour imager,voir  confirmer l’impunité et l’arrogance de ce régime :

 

Israël, en colère, rompt avec le Conseil des droits de l’homme de l’ONU

JERUSALEM – Le ministère israélien des Affaires étrangères a annoncé lundi avoir décidé de rompre tout contact avec le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, à la suite de l’annonce par cette instance d’une enquête sur les conséquences de la colonisation.

Le ministère des Affaires étrangères a pris la décision de rompre tout contact avec cette organisation, a affirmé à l’AFP le porte-parole du ministère, Yigal Palmor, précisant que cette mesure n’avait pas encore été notifiée au Conseil.

Il n’y aura plus de relations de travail avec lui (le Conseil), qu’il s’agisse des discussions, de la transmission de documents, des visites, des échanges d’information, des consultations réciproques, de la participation aux réunions. C’est terminé, a expliqué M. Palmor.

La présidente du Conseil des droits de l’Homme a jugé très regrettable la décision israélienne.

Israël ne fait pas partie de ce Conseil, mais a le droit de s’y exprimer dans certaines conditions. Il ne peut ni voter ni présenter de motions. L’Etat hébreu dispose par ailleurs d’une mission permanente auprès des Nations unies à Genève.

Le mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza, a immédiatement fustigé la décision israélienne, qualifiée de tentative sioniste de faire chanter les institutions qui critiquent Israël.

C’est bien la preuve de la vulnérabilité des sionistes confrontés aux organisations des droits de l’Homme et de l’ONU, ce qui va créer un large consensus international sur l’oppression du peuple palestinien et la justesse de sa cause, a commenté un porte-parole du Hamas, Fawzi Barhoum, dans un communiqué.

Le Conseil des droits de l’Homme a déclenché la colère d’Israël après avoir donné jeudi son feu vert à la mise sur pied de la première mission d’enquête internationale indépendante sur l’impact des colonies israéliennes dans les Territoires palestiniens occupés, y compris Jérusalem-Est.

Les 47 Etats membres du Conseil ont adopté par 36 voix pour, 1 contre et 10 absentions une résolution présentée par les Palestiniens, décidant l’envoi d’une mission d’enquête internationale indépendante (…) pour enquêter sur les conséquences des colonies israéliennes sur les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels du peuple palestinien.

C’est la première fois qu’une telle mission est mise sur pied.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a aussitôt fustigé l’hypocrisie du Conseil des droits de l’Homme tandis que les Affaires étrangères qualifiaient sa décision de surréaliste.

Le chef de la diplomatie, Avigdor Lieberman, avait laissé entendre dimanche qu’Israël allait cesser de coopérer avec cette instance des Nations unies.

Cet organisme hypocrite n’a rien à voir avec les droits de l’Homme. Son parti pris et son manque d’objectivité sont évidents, et nous n’avons aucune raison de coopérer avec lui, avait affirmé M. Lieberman.

Nous ne serons pas acteurs dans ce théâtre de l’absurde car 70% des décisions de ce Conseil sont hostiles à Israël. Nous envisageons de demander aux pays libres, comme les Etats-Unis, de s’en retirer, avait-il ajouté.

La résolution du Conseil a été saluée en revanche comme une victoire par l’Autorité palestinienne du président Mahmoud Abbas.

Selon les médias israéliens, le gouvernement Netanyahu envisagerait un éventail de mesures de représailles contre l’Autorité palestinienne, y compris un nouvel blocage de fonds qui sont dus à cette dernière, mais aucune décision n’a été prise.

Considérant le processus de paix comme moribond, les Palestiniens privilégient désormais un activisme international, en particulier à l’ONU, pour faire avancer leur cause.

Afp

 

 
Poster un commentaire

Publié par le 26 mars 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

Suède : fin de l’argent liquide !

 

 

L’élite avait planifié depuis longtemps qu’un jour l’argent physique disparaîtrait au profit du virtuel. Il y a déjà la possibilité de payer ses courses avec son téléphone portable . Comment certains vont-ils  »blanchir » l’argent venant des divers trafics ?

Voici un article qui frise la propagande :

Ainsi va la Suède, ainsi va le monde : le début de la fin de l’argent liquide

 

 

 

Il existe tellement de raisons de ne pas aimer l’argent analogique. L’argent liquide et les pièces sont encombrantes. Ils sont sales. Ils ne laissent aucun enregistrement automatique des transactions financières faites avec.

Ici aux US, malgré Square* et PayPal et autres services qui sembleraient annoncer la fin du liquide, les billets et les pièces représentent toujours 7% de notre économie totale. En Suède, pourtant – qui se classe première au forum économique mondial – l’argent liquide est rare. Et il devient, rapporte l’AP, de plus en plus rare. Alors que la Suède était le premier pays européen à introduire les billets de banque en 1661, elle va maintenant toujours plus loin que tout autre pays pour tenter de les éradiquer. Dans la plupart des villes suédoises, note l’AP,

Les bus n’acceptent pas le liquide ; les tickets sont prépayés ou achetés grâce à un message par téléphone portable. Un petit nombre mais croissant d’entreprises ne prennent que les cartes bancaires et certains guichets de banque – qui gagnent de l’argent par les transactions électroniques – ont d’un commun accord arrêté de distribuer du liquide.

Même les temples religieux apprécient de plus en plus les transactions sans argent liquide : à l’église Carl Gustav, au sud de la Suède, le vicaire Johan Tyrberg a récemment installé un lecteur de carte pour permettre aux fidèles de donner la dîme sous forme digitale.

Ce n’est pas encore pour le moment la fin du liquide – en Suède ou n’importe où ailleurs. Comme l’a lancé l’année dernière Lars Nyberg, gouverneur député de la banque centrale suédoise : le liquide survivra  »comme le crocodile, bien qu’on puisse voir son habitat graduellement amputé. » Mais c’est peut être le début de la fin. Les innovations suédoises suggèrent un avenir dans lequel le liquide sera de plus en plus rare.

Une société avec moins d’argent liquide implique de nouvelles inquiétudes concernant la cybersécurité et, bien sûr, la vie privée. Oscar Swartz, le fondateur de Banhof (fournisseur d’accès internet, NdT), le dit ainsi :  »On devrait être capable d’envoyer de l’argent et de faire des dons à différentes organisations sans être suivi à la trace à chaque fois. »

Mais un monde sans liquide pourrait aussi conduire à quelques améliorations sociales significatives. Les statistiques suédoises pour les crimes, étonnement, semblent suggérer une corrélation entre l’argent liquide et le crime. Le nombre d’attaques de banques est tombé en Suède de 110 en 2008 à 16 en 2011 –  »le taux le plus bas », note le journaliste Malin Rising,  »depuis qu’on a commencé à les enregistrer il y a 30 ans. » L’association de banquiers suédois dit aussi que les vols sur les transports de fonds diminuent.
Les bénéfices semblent aussi augmenter largement. La Suède a moins de problèmes avec les  »pots de vin », dit l’AP, que les pays avec une culture plus répandue du liquide.  »Si les gens utilisent davantage les cartes bancaires, ils sont moins impliqués dans des activités économiques troubles, »argumente le professeur Friedrich Schneider. Et d’autres notent qu’une culture avec moins de liquide va décourager les pickpockets et les vols à main armée : quand il suffit simplement annuler une carte, à quoi bon s’embêter ?

* http://www.generation-nt.com/twitter-square-paiement-mobile-reseau-social-actualite-924771.html

SOURCE

 
 
Qu’en est-il en France ?
 
 
par Hélios du Bistrobarblog
 
 
 
4 Commentaires

Publié par le 26 mars 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

Un chômeur autrichien se scie le pied pour éviter de travailler!

 

Un chômeur autrichien âgé de 56 ans s’est sectionné le pied gauche à la scie électrique, ce lundi, pour éviter, semble-t-il, d’être déclaré apte au travail. L’homme est passé à l’acte chez lui dans son atelier quelques heures avant un rendez-vous à l’agence pour l’emploi pour établir s’il était en état de reprendre une activité.

Selon la radio-télévision nationale ORF, l’homme, qui habite la province de Styrie, dans le centre-est du pays, s’est ensuite débarrassé de son pied, tranché à hauteur de la cheville, dans un four. Perdant énormément de sang, il a titubé jusqu’à son garage où il a eu la présence d’esprit d’appeler une ambulance.

Reuters
 
 
 
 
2 Commentaires

Publié par le 26 mars 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 

Séisme de mag. 7.1 Maule au Chili

globe showing location of 10-degree map

10-degree map showing recent earthquakes

Ampleur 7.1
Date-Time
Emplacement 35,183 ° S, 71.792 ° W
Profondeur 34.8 km (21,6 miles)
Région Maule, Chile
Distances 27 km (16 miles) NNW de Talca, Maule, Chile
55 km (34 miles) WSW de Curico, Maule, Chile
99 km (61 miles) au NNE de Cauquenes, Maule, Chile
219 km (136 miles) SSW de SANTIAGO, Région Metropolitana, Chile
Incertitude Lieu horizontale + / – 17,2 km (10,7 miles); profondeur + / – 3,5 km (2.2 miles)
Paramètres NST = 434, Nph = 442, Dmin = 23,4 km, RMSS = 0,98 sec, Gp = 58 °,
de type M = (type inconnu), Version = 8
Source
  • Magnitude: USGS NEIC (WDCS-D) Lieu: USGS NEIC (WDCS-D)

Témoignages:

http://www.emsc-csem.org/Earthquake/Testimonies/comments.php?id=260068

Un puissant séisme a secoué dimanche soir le centre du Chili, faisant quelques blessés et provoquant l’évacuation préventive de 7 000 personnes des stations balnéaires de la côte, bien que le risque de tsunami ait été officiellement écarté par les autorités. Le séisme, de magnitude 7,2 selon l’Institut américain de géophysique (USGS), s’est produit à 22 h 37 (0 h 37 lundi à Paris), à 32 km de la ville de Talca, à une profondeur de 30 km. Le Service sismologique du Chili a mesuré, pour sa part, une magnitude de 6,4. Talca est au coeur d’une région déjà frappée en 2010 par un tremblement de terre de magnitude 8,8, qui avait été suivi d’un tsunami meurtrier.

Le séisme de dimanche « ne réunit pas les caractéristiques nécessaires pour générer un tsunami sur les côtes du Chili », a souligné l’Onemi dans plusieurs bulletins consécutifs. Pourtant, sa direction régionale dans le Maule, une région de stations balnéaires à 300 km du sud de Santiago, « a décidé d’effectuer une évacuation préventive sur la zone littorale de la région, en raison de l’observation d’un retrait de la mer ». Le porte-parole du gouvernement, Andres Chadwick, a souligné à la presse que l’évacuation était de caractère purement préventif et que les « observations visuelles » sur un retrait de la mer n’étaient pas « corroborées par des données techniques » du Service hydrographique de la marine, ni des organismes internationaux.

La longue secousse, de près d’une minute, a précipité des centaines de personnes dans la rue à Talca, ville d’environ 200 000 habitants. Elle a aussi été ressentie dans la capitale Santiago. Un prêtre de Santiago a raconté à la télévision chilienne que la secousse avait provoqué quelques chutes d’objets pendant une messe. « Les gens ont eu peur et sont sortis. » Auparavant, le ministre de l’Intérieur, Rodrigo Hinzpeter, avait évoqué dans un premier bilan « quelques indices de personnes blessées, malheureusement, par des chutes de pans de cloisons ».

Appel au calme

Andres Chadwick a fait état d’une personne décédée d’un infarctus à Parral, a 300 km de Santiago, mais il n’a pas confirmé un lien avec le séisme. L’Onemi, pour sa part, a mentionné trois blessés : un dans un accident de la circulation, à 300 km environ de Santiago, et deux blessés légers par la chute d’un morceau de plafond dans un temple de Maipu, à 30 km de la capitale.

Des médias ont rapporté des coupures d’électricité dans le secteur de Talca et à Constitucion, et des problèmes de connexions téléphoniques liées en partie au flux d’appels après le séisme. « Nous voulons lancer à la population un appel au calme. C’était un séisme important, mais c’est passé », a déclaré le ministre Hinzpeter. Il a indiqué qu’une cellule d’urgence avait été constituée pour établir un relevé détaillé d’éventuels dégâts importants ou de besoins d’aide. « Mais les informations sont bonnes jusqu’à présent », a-t-il précisé. Il a ajouté que le président Sebastian Pinera, actuellement en Corée du Sud dans le cadre d’une tournée en Asie, était tenu informé.

Le 27 février 2010, un séisme suivi d’un tsunami avaient frappé la même région centre-sud, faisant plus de 520 morts. Le tsunami avait ravagé un chapelet de stations balnéaires à 400 km de Santiago. Le Chili est situé sur la « ceinture de feu du Pacifique », qui concentre environ 85 % de l’activité sismique terrestre. C’est au Chili qu’a été enregistrée, en 1960 à Valdivia (sud), la secousse le plus forte jamais mesurée, de magnitude 9,5. Ce séisme avait fait quelque 5 700 morts.  Lepoint

 

 

 

 

 
2 Commentaires

Publié par le 26 mars 2012 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
%d blogueurs aiment cette page :