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Archives du 24 novembre 2011

Russie : Medvedev brandit la menace de feu nucléaire si l’OTAN persévère dans sa politique guerrière

La possibilité d’une invasion aérienne imminente (et potentiellement des terres) ciblant la Syrie par le «monde occidental» est-elle le déclencheur d’une 3ème guerre mondiale ? La Russie et la Chine ont fait clairement savoir qu’ils ne resteraient pas les bras croisés en laissant une telle « agression » se réaliser. A présent, c’est au tour de la Russie de riposter. Dans une apparition télévisée à l’échelle nationale du président russe Dmitri Medvedev, il développe pourquoi la Russie considère qu’une incursion active et un acte d’agression potentielle des pays de l’OTAN en Europe de l’Est (et donc les Etats-Unis) représente une menace pour sa nation.

Voici sa stratégie en 5 points :

« 1- Je demande au Ministère de la Défense de mettre la station radar anti-missile positionnée à Kaliningrad en alerte de combat

  2- La protection des armes nucléaires stratégiques de la Russie sera renforcée par une mesure prioritaire dans le programme des activités militaires de notre espace aérien.

  3- Les nouveaux missiles balistiques stratégiques embarqués par les forces de la Marine seront équipés de systèmes avancés de pénétration de défense ainsi que de nouvelles ogives très efficaces.

  4- J’ai demandé aux forces armées de définir des mesures permettant de désactiver les données du système de défense anti-missiles et de systèmes de guidage si nécessaire.

  5- Si ces mesures s’avèrent insuffisantes, la Fédération de Russie déploiera des systèmes modernes d’armes offensives à l’Ouest et au Sud du pays afin d’assurer notre capacité à saisir l’ensemble ou une partie du système de défense anti-missiles américain en Europe. Une étape dans ce processus sera de déployer des missiles Iskander dans la région de Kaliningrad. D’autres mesures pour contrer le système de défense anti-missiles européen seront prises et mises en œuvre si nécessaire. »

 

Afin d’activer les sous-titres en français, utilisez la touche « cc » en bas de la vidéo.

De plus, la présence américaine dans les eaux septentrionales constitue une menace pour le potentiel nucléaire russe. Un diplomate a ajouté qu’il s’agissait d’une « tentative de rompre l’équilibre stratégique entre la Russie et les Etats-Unis« .
Et Moscou ne manque pas de prévenir qu’une attaque de l’Iran serait une grave erreur
C’est tout de même curieux, vous ne trouvez pas ?
Plus l’économie américaine se liquéfie, et plus les États-Unis se comportent de manière provocante
Comme quoi, peu de choses ont changé dans la mentalité du bon vieil empire britannique du 19ème siècle
Qu’est ce que vous avez prévu pour Noël ?
Des provisions, de l’iode, un bunker anti-radiation ?
 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Egypte: Les opposants appellent à une manifestation monstre vendredi

Manifestation sur la place Tahrir, le 28 octobre 2011, au Caire (Egypte)

 

LE CAIRE – Ils demandent à l’armée de transférer immédiatement le pouvoir à un régime civil…

Les révolutionnaires égyptiens ont appelé à une grande manifestation sur  la place Tahrir du Caire (demain) vendredi pour réclamer un transfert  immédiat du pouvoir à un régime civil par le biais d’un gouvernement de  salut national.
Dans un commmuniqué, ils évoquent une marche réunissant un million  de personnes à l’occasion de qu’ils appellent «le vendredi de la  dernière chance». La Fédération des syndicats indépendants a également invité les  travailleurs à marcher sur Tahrir, haut lieu de la «révolution du Nil» qui a renversé le 11 février, sous la pression de la rue, le régime du  président Hosni Moubarak.

Calme précaire dans la capitale

Une autre organisation syndicale a lancé un mot d’ordre de grève  générale en signe de solidarité avec les manifestants. Les syndicats  égyptiens ont joué un rôle important dans le mouvement populaire qui a  fait chuté le «raïs». Jeudi, un calme précaire a prévalu sur la place Tahrir à la suite de  la trêve conclue entre la police antiémeute et les manifestants après  cinq jours de violences et la promesse de l’armée de tenir les élections  législatives dans les délais prévus.
Des milliers de protestataires jurent cependant de poursuivre leur  occupation de la place tant que les militaires n’auront pas cédé le  pouvoir.

http://www.20minutes.fr/

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Pesticides: une commune du Vaucluse privée d’eau potable

 

MARSEILLE – Les habitants de la commune de Jonquières (Vaucluse) ne peuvent plus boire l’eau du robinet en raison de la concentration anormale d’un pesticide dans le réseau de distribution, a annoncé jeudi la préfecture du Vaucluse.
Des analyses réalisées sur le captage public d’eau potable de Jonquières, menées dans le cadre d’un plan de surveillance renforcé mis en place il y a un an suite à un problème similaire, ont montré la présence d’un pesticide, le terbuméton déséthyl, à une concentration supérieure à la limite de qualité autorisée par le code de la santé publique, selon le communiqué.
Ainsi, les mesures ont relevé 0,22 microgramme par litre le 18 octobre et 0,13 mug le 16 novembre, pour une limite fixée à 0,10 mug.
Il s’agit d’un herbicide utilisé notamment en viticulture et désormais d’utilisation interdite.
L’eau du robinet ne doit pas être utilisée pour la boisson, ni incorporée en quantité dans la préparation des aliments, jusqu’à ce qu’un nouveau contrôle montre une qualité d’eau conforme, précise la préfecture, ajoutant que les autres usages sont possibles sans restriction.
Le préfet a demandé début 2011 au maire de Jonquières, commune de plus de 4.000 habitants, de mettre en oeuvre un plan d’action afin d’éviter une restriction de la consommation d’eau (mise en place d’un traitement temporaire au charbon actif, interconnexion avec un réseau public proche…).

Afp

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Arbre de l’année : un arbre girafe de Bretagne et un pistachier de Corse

 

 

PARIS – Un chêne pédonculé du Finistère vieux de 200 ans et surnommé arbre girafe, à cause de sa silhouette, a été élu jeudi arbre de l’année par le public du premier concours du genre en France, tandis qu’un jury donnait ses faveurs à un pistachier de Corse.
L’arbre girafe, que l’on peut admirer à Fouesnant, a une circonférence de 2,80m et mesure 18m de haut. Il s’arrondit en forme d’arche et marque l’entrée dans un bois, où l’on entre, dit-on, en suivant un rituel : parler à l’arbre, le caresser, poser une oreille sur son tronc…
Ce chêne aux allures de personne très âgée a obtenu 2.546 voix lors du vote par internet, devant le genévrier thurifère de Saint-Crépin (Hautes-Alpes), qui représentait la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, un arbre de plus de 1.400 ans appelé l’éléphante. Vient en 3ème position un fromager de Martinique aux pouvoirs magiques, havre des chauve-souris.
Le jury du prix, présidé par l’écrivain Didier Van Cauwelaert auteur du Journal intime d’un arbre, a choisi un pistachier-lentisque de Cervione (Haute-Corse) qui n’aurait pas loin de 1.000 ans. Certaines de ses branches atteignent 1,50m de circonférence, presque autant que le tronc (1,90m), et son houppier couvre une surface de près de 80 m2.
Concouraient aussi un érable d’Alsace poussant dans un acacia, un tilleul d’Aquitaine qui a toujours existé, l’if d’Estry, en Basse Normandie, qui a survécu à sept jours de combats pendant la 2ème guerre mondiale. Et encore un ficus de la Réunion aussi large que haut, le hêtre tortillard de Bains-les-Bains, en Lorraine, dont les multiples troncs s’étalent sur plusieurs mètres de circonférence, et l’énorme châtaignier de Montourtier, dans les Pays de la Loire, qui ressemble à un visage aux joues rebondies.
Une jeune pousse du pistachier de Corse lauréat sera plantée dans le jardin de l’Elysée. Par ailleurs une exposition de photos des 26 arbres qui ont participé à la compétition a été organisée sur les grilles de l’Unesco à Paris. On y voit aussi la photo d’un 27e arbre, un chêne millénaire planté en Palestine (Territoires occupés), sur la propriété familiale de Leïla Shahid, déléguée générale de la Palestine auprès de l’Union européenne.
Le concours était organisé à l’initiative d’Eric de Kermel, directeur général de la revue Terre sauvage.

Afp

http://www.arbredelannee.com/

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Obligations: le taux à 10 ans de l’Italie à nouveau supérieur à 7%!

 

PARIS – Le taux à 10 ans des obligations de l’Italie est repassé au-dessus des 7% jeudi après-midi, un taux proche de son record, alors que Paris, Rome et Berlin se sont engagés à ne pas toucher à l’indépendance de la Banque centrale européenne (BCE) lors d’un mini-sommet à Strasbourg.
A 15H32 (14H32 GMT), le rendement italien s’inscrivait à 7,081%, contre 6,956% mercredi à la clôture. Il avait atteint un record depuis la création de la zone euro à 7,483% le 11 novembre.

Afp

 

 

Une situation actualisée des bonds Europe ici:

http://www.pigbonds.info/

 

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Le droit de planter et cultiver librement bientôt interdit ?!

PAR SOPHIE CHAPELLE(24 NOVEMBRE 2011)

Les industries et multinationales semencières veulent rendre les paysans captifs… grâce à la loi. Les députés doivent examiner le 28 novembre un texte instaurant      une « contribution volontaire obligatoire » : une véritable dîme sur les semences. Ressemer librement sa propre récolte ou échanger des variétés de plantes deviendra illégal.      Soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, des paysans et des citoyens entrent en résistance.

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      Photo : source

Demain, graines et semences ne seront peut-être plus libres. Des agriculteurs s’inquiètent d’une proposition de loi votée par les sénateurs le      8 juillet dernier, et déjà appliquée par décret aux productions de blé tendre. S’ils veulent conserver une partie de leur récolte pour la ressemer l’année suivante (quoi de plus      naturel ?), les producteurs de blé tendre doivent payer une redevance appelée « Contribution volontaire obligatoire » (sic). « L’enjeu de cette nouvelle proposition      de loi est d’étendre ce mécanisme à tous les paysans, alerte Guy Kastler, du Réseau semences paysannes. Chaque fois qu’on cultivera un hectare, ils prendront un peu d’argent de nos poches pour payer      les détenteurs de propriété intellectuelle. » La loi prévoit de considérer la reproduction de semences à la ferme, sans payer cette dîme moderne à leurs      « propriétaires », comme une contrefaçon [1]. La récolte pourra      alors être saisie.

Qui sont ces propriétaires de semences à qui la « contribution volontaire » sera reversée ? Depuis 1949, toute      variété de semence mise sur le marché doit obligatoirement être inscrite sur le catalogue géré par l’Office communautaire des variétés végétales (OCVV), dont le siège est à      Angers  [2]. Cet office accorde un droit de propriété intellectuelle, d’une durée de 25 à 30 ans, à « l’obtenteur », celui qui a      sélectionné cette variété. Les principaux détenteurs de ces « certificats d’obtention végétale » [3] ne sont autres que      les grandes multinationales semencières : Bayer, Limagrain, Monsanto, Pioneer, Vilmorin ou Syngenta. Tous réunis au sein de l’Union française des      semenciers, qui aurait fortement appuyé le projet de loi.

Rendre les paysans captifs

« Le fait que l’obtenteur soit rétribué pour son travail de recherche ne nous pose pas de problème, explique      Jean-Pierre Lebrun, un maraîcher biologique à la retraite. En revanche, nous sommes opposés à ce que ces obtenteurs récupèrent des taxes sur le travail de sélection que nous menons      dans nos fermes. » Avec d’autres paysans et des consommateurs soucieux de préserver l’autonomie alimentaire, Jean-Pierre a fait le déplacement à Angers ce 19 novembre      pour « débaptiser » l’OCVV, renommé « Office communautaire de la confiscation des semences ». Un geste symbolique qui en dit long sur les      menaces pesant sur l’avenir de notre alimentation.

Yves Manguy, agriculteur à la retraite, connaît bien les semences de ferme, ces graines récoltées à partir de variétés      sélectionnées par l’industrie semencière, mais multipliées par l’agriculteur lui-même par souci d’économie et d’indépendance. Pour cet ancien porte-parole de la Coordination nationale pour la      défense des semences fermières (CNDSF), l’objectif des firmes semencières est clair : « Elles veulent instaurer un marché captif, que les agriculteurs achètent leurs semences et qu’ils n’en      fassent plus chez eux. La loi en préparation consiste non pas à interdire complètement mais à restreindre un maximum le droit des semences à la ferme. » Le texte propose ainsi      d’autoriser la semence de ferme pour seulement 21 espèces – en échange du paiement de la Contribution volontaire obligatoire – et d’interdire cette pratique pour toutes les      autres espèces.

« Ce n’est pas la recherche qu’ils veulent rémunérer mais les actionnaires »

Pourquoi cette redevance ? Officiellement, pour financer la recherche. Actuellement, 85 % des sommes récoltées par la      Contribution volontaire obligatoire sont reversées directement aux obtenteurs, et 15 % servent à alimenter le Fonds de soutien à l’obtention végétale en      blé tendre. « Les objectifs de sécurité et de qualité alimentaire doivent être définis par le public, et non par les seules recherches de profits des entreprises semencières      privées », argue la Confédération paysanne. D’après le syndicat, l’application de la proposition de loi entraînerait un prélèvement supplémentaire sur le revenu des agriculteurs français estimé      à 35 millions d’euros. « La recherche doit être financée aussi par le public et non par les seuls agriculteurs. Il convient de mettre en place un mécanisme de financement public      de la recherche », estime la Confédération paysanne. Le syndicat suspecte l’Union française des semenciers de vouloir d’ailleurs tripler la redevance (environ 3,50 euros par      hectare aujourd’hui).

Des carottes illégales et des choux clandestins

Non loin de l’Office communautaire des variétés végétales, sur la place du Pilori, dans une rue piétonne d’Angers, se déroulent      les rencontres des semences paysannes et fermières d’Anjou. Ici, des artisans semenciers partagent une même passion, celle de la sélection, de la conservation, de la multiplication et de      l’échange des semences. François Delmond est membre de l’association Les Croqueurs de carottes, qui sauvegarde les variétés potagères traditionnelles menacées de disparition. Sur le stand,      plusieurs variétés de carottes et de choux rouges sont proposées à la dégustation. Les réactions varient du « surprenante, celle-là » au « celle-ci a      un goût de noisette très fort, vous ne trouvez pas ? ». Pour François, ces dégustations sont l’occasion de montrer l’impact des choix variétaux sur la qualité gustative.

« Ce que vous mangez est une variété de carotte illégale car elle a été radiée du catalogue, elle ne respectait pas les      critères », explique François à une passante. Entre 1954 (date d’existence du premier catalogue des variétés de plantes potagères) et 2002, 80 % des variétés ont été radiées du      catalogue, à cause d’une réglementation de plus en plus contraignante. « Ce que nous voulons, c’est la liberté de faire notre travail en âme et conscience, la liberté du jardinier      de semer la variété qu’il veut et la liberté du consommateur d’accéder à des aliments différents. » Une liberté qui contribue à l’augmentation et à la conservation de la      biodiversité cultivée, à la réduction de l’utilisation des pesticides ainsi qu’à l’essor de variétés adaptées à leurs terroirs et aux variations climatiques.

Rébellion contre la dîme des multinationales

Une campagne pour une loi de reconnaissance positive des droits des agriculteurs et des jardiniers sur les semences vient d’être lancée par      plusieurs organisations. « Les droits des agriculteurs de conserver, ressemer, échanger et vendre leurs semences, les protéger de la biopiraterie et des contaminations par les OGM      brevetés, et de participer aux décisions nationales concernant la biodiversité cultivée sont reconnus par le Traité international sur les semences approuvé en 2005 par le Parlement      français », rappelle Anne-Charlotte Moÿ, en charge des questions juridiques au Réseau semences paysannes. Or, une succession de règlements européens et de lois nationales conduisent      progressivement à leur interdiction totale.

La proposition de loi relative aux certificats d’obtention végétale doit être débattue le 28 novembre à l’Assemblée nationale. Il      est encore possible de participer à la cyberaction, qui a déjà recueilli plus de 14 000 signatures, et      unrassemblement est prévu devant l’Assemblée. « Il nous faut rester mobilisés, avertit Guy Kastler, afin de ne pas abandonner l’alimentation à      quelques firmes multinationales. » Il y a trois siècles, les paysans versaient la dîme ou étaient contraints à des corvées au profit du seigneur local, propriétaire des terres…      Aujourd’hui, cette domination s’est déplacée vers les semences.

Sophie Chapelle

      Notes

[1] Lire à ce sujet Comment les semenciers tentent d’asservir l’agriculture      paysanne.

[2] Pour être inscrites, les variétés      doivent répondre à trois critères : la distinction (la variété doit être nettement distincte de toute autre variété notoirement connue) ; l’homogénéité (la variété est suffisamment      uniforme dans ses caractères pertinents) ; la stabilité (la variété reste conforme à la définition de ses caractères essentiels après avoir été reproduite ou multipliée).

[3] En Europe, on utilise le terme de      « certificat d’obtention végétale », qui protège une variété. Son équivalent outre-Atlantique est le brevet, qui protège l’information génétique contenue dans une même variété. Du      coup, il arrive qu’une plante fasse l’objet d’un double droit de propriété intellectuelle…

source : http://www.bastamag.net/article1941.html

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Olivier Sarkozy annonce la fin du bal pour l’euro

Hier, sur CNBC (chaîne américaine), OLIVIER SARKOZY, demi-frère de qui vous devinez et qui occupe un poste très important parmi les dirigeants du CARLYLE GROUP, a annoncé que « L’euro allait exploser avant trois mois ». « Nous sommes tout proches du point de non retour ».

Cette déclaration survient au moment où l’Allemagne a du mal à trouver de l’argent sur les marchés… C’est la banque centrale allemande qui a dû acheter une partie des obligations allemandes, lors de la dernière émission ! (Source)

 

 

Extraits du numéro 29 de la lettre confidentielle LIESI du 30 décembre 2002.

En 1987, est créé le fonds de placement du nom de Carlyle Group qui gère aujourd’hui 12 milliards de dollars. Relevons qu’à travers les sociétés qu’il contrôle, ce groupe arrive au onzième rang des compagnies d’armement américaines. Ceci est très intéressant pour mieux comprendre la politique d’armement lancée par le clan Bush. Mais le plus important est de savoir que le Carlyle Group gère la quasi totalité des placements financiers du Saudi Binladen Group. Son directeur est Frank C. Carlucci, un ancien directeur adjoint de la C.I.A. ; l’ancien secrétaire d’Etat de George Bush, James A. Baker III joue le rôle de conseiller. Pour expliquer la logique du soutien inconditionnel des Britanniques aux décisions américaines en matière stratégique nous relèverons la présence de John Major, l’ancien Premier ministre britannique et, bien évidemment, George Bush père.

 

 

Avec le Carlyle Group nous avons la preuve que Ousama ben Laden n’est pas seulement un agent de la C.I.A. mais que sa famille est un des principaux partenaires financiers de la famille Bush !

La conclusion est la suivante : si, comme l’affirment de nombreux officiels américains, la famille ben Laden continue à soutenir les activités de Ousama ben Laden, le Carlyle Group qui gère les finances du Saudi Binladen Group est nécessairement impliqué dans les délits d’initié en rapport avec les événements dramatiques du 11 septembre ! Mais alors… tout le clan Bush est un heureux bénéficiaire des spéculations boursières qui ont été mises en œuvre avant les attentats ? Est-ce la raison pour laquelle toutes les enquêtes de délits d’initié sur ce grave sujet n’aboutissent jamais ? Est-ce la raison pour laquelle l’actuel président des Etats-Unis a vite cherché à détourner les projecteurs de ben Laden et à les concentrer sur S. Hussein ?

Ce n’est malheureusement pas tout… Il faut savoir que le frère de la femme de ben Laden, Khaled Ben Mahfouz, dispose d’une résidence à Houston, au Texas, et qu’avec le soutien de la famille Bush, il a acheté une partie de l’aéroport de la ville pour sa convenance personnelle.

http://liesidotorg.wordpress.com/2011/11/24/olivier-sarkozy-annonce-la-fin-du-bal-pour-leuro/#comments

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Exercice nucléaire à L’Ile Longue: quand la Marine envisage le pire

L’Ile Longue (Finistère) – Contamination radioactive à L’Ile Longue: militaires et civils ont joué cette semaine un scénario catastrophe dans le sanctuaire de la dissuasion nucléaire française, simulant l’explosion de la chaudière d’un sous-marin nucléaire lanceur d’engin (SNLE).

A 08h30, un court-circuit électrique déclenche un incendie à bord d’un des quatre SNLE -Le Triomphant, Le Téméraire, Le Vigilant et Le Terrible- stationnés dans le bassin sud de la base, recouvert d’un gigantesque et indestructible toit de béton.

La situation se dégrade rapidement avec l’explosion de la chaudière nucléaire qui fournit l’énergie nécessaire à la propulsion du submersible. On dénombre une dizaine de blessés, radiocontaminés par la fuite du circuit de refroidissement de l’installation nucléaire.

Les défaillances des équipements de secours s’enchaînent, et l’on se dirige vers le rejet d’éléments radioactifs à l’extérieur de la base, nécessitant d’impliquer la préfecture du Finistère et les populations avoisinantes, explique l’auteur du scénario, le capitaine de frégate Fabrice Bornet, officier de sécurité nucléaire à l’état-major des armées.

Les niveaux envisagés de rejets sont largement moindres par rapport à une centrale nucléaire, cinquante fois plus puissante que la chaudière d’un SNLE, rassure toutefois Fabrice Bornet.

Il souligne que la centrale d’un SNLE, alimentée à l’uranium enrichi, ne fonctionne jamais à pleine puissance, limitant les risques de fusion nucléaire.

L’incident a un impact sur un rayon de deux kilomètres dans lequel on pourrait avoir à mettre à l’abri la population, précise Antoine Masurel, chargé de crise à l’Autorité de sûreté nucléaire de défense (ASND).

Pour l’heure, la contamination (césium 137, strontium 89 et 90, uranium 238 et 235, plutonium 239) reste à la proximité immédiate du sous-marin. Les 2.400 civils et militaires de la base sont sur le pied de guerre.

En début d’après-midi, un blessé qui se trouvait non loin du sous-marin arrive au poste d’accueil des blessés radiocontaminés (PABR). Le radiocontaminé est déshabillé, lavé et subit un premier traitement, avant d’être évacué vers un hôpital de la région.

Ces locaux spécialisés, mais un peu défraîchis, sont d’ordinaire en sommeil. Aucun incident réel ne s’est jamais produit sur la base depuis sa mise en service en 1971.

On est loin d’un scénario probable, mais on n’est jamais à l’abri d’un accident, souligne Antoine Masurel, en précisant qu’une douzaine d’exercices civils ou militaires du même type sont organisés tous les ans.

Décidé en 1965 par le général De Gaulle, le très secret site de L’Ile Longue, placé sous la très haute surveillance de la gendarmerie maritime et des commandos marine (caméra, barbelés, clôture et sas d’entrée), est utilisé pour l’équipement et l’entretien des sous-marins nucléaires français.

La France dispose de quatre SNLE, dont au moins un est toujours en patrouille et deux généralement à L’Ile Longue en phase d’entretien ou de préparation au départ.

Afp

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Tensions en Egypte: Standard & Poors baisse la note, BB- à B+

PARIS – L’agence de notation financière Standard & Poors a abaissé d’un cran jeudi la note souveraine de l’Egypte, qui passe de BB- à B+, et placé le pays sous perspective négative en raison du regain de tension politique sur place.

L’agence indique que le regain de violence en Egypte rend plus précaire la situation politique et économique dans le pays. Elle avait déjà dégradé d’un cran la dette à long-terme du Caire il y a un mois, de BB à BB-.

Cette dégradation est motivée par le fait que le profil politique et économique précaire de l’Egypte s’est davantage détérioré à la suite des affrontements entre manifestants et forces de sécurité qui ont démarré le 20 novembre et ont causé des pertes significatives, écrit S&P dans un communiqué.

Elle rappelle qu’elle avait prévenu le mois dernier que la note souveraine de l’Egypte pourrait être de nouveau dégradée si la transition politique se traduisait par de nouveaux troubles politiques, avec pour conséquence de réduire les réserves en devises du pays.

Selon l’agence, ces réserves ont fortement chuté, à 22 milliards de dollars au 31 octobre contre 36 milliards au début de l’année.

S&P estime que les décisions du Conseil suprême des forces armées en Egypte qui ont conduit aux affrontements de la place Tahrir ont réduit les perspectives de transition politique en douceur ainsi que la capacité du gouvernement à améliorer les finances publiques.

Elle estime toutefois toujours possible de tenir le calendrier électoral avec le premier tour du scrutin législatif prévu le 28 novembre et l’élection présidentielle en juillet 2012.

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Portugal: Fitch abaisse d’un cran la note du Portugal,BBB+ à BB+

PARIS – L’agence d’évaluation financière Fitch Ratings a abaissé d’un cran jeudi la note du Portugal, qui passe de BBB- à BB+, avec perspective négative, les enfonçant encore un peu plus dans la catégorie des émetteurs à risque.

L’agence indique qu’elle a révisé les prévisions de croissance du pays en raison des mauvaises perspectives économiques en Europe. Fitch table sur une contraction de 3% du PIB du Portugal en 2012, mais estime que les importantes réformes structurelles engagées par le pays devrait le rendre plus compétitif à long terme.

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Séisme de mag 6.2 proche de la côte Nord du Japon

 

L’ampleur 6.2
Date-Heure
  • Thursday, 24 Novembre 2011 à 10:25:34 UTC
  • Thursday, 24 Novembre 2011 à 19:25:34 à l’épicentre
Lieu 41.877 ° N, 142.710 ° E
Profondeur 42.3 km (26,3 miles)
Région Hokkaido, Japon RÉGION
Distances
  • 164 km (102 miles) E (85 °) de Hakodate, Hokkaido, Japon
  • 174 km (108 miles) au SE (140 °) de Sapporo, Hokkaido, Japon
  • 184 km (114 miles) NNE (33 °) de Hachinohe, Honshu, Japon
  • 737 km (458 miles) NNE (19 °) de TOKYO, Japon
Incertitude Lieu horizontale + / – 12.3 km (7,6 miles), profondeur + / – 6,6 km (4,1 miles)
Paramètres NST = 419, NPH = 427, Dmin = 40.1 km, RMSS = 0,73 sec, Gp = 29 °, de type M = moment l’ampleur télésismiques (Mw), Version = 8
Source
  • Magnitude: USGS NEIC (WDCS-D) Lieu: USGS NEIC (WDCS-D)
ID de l’événement usc0006xes

 

 

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Un parlementaire iranien confirme l’arrestation de 12 agents de la CIA : « ils aidaient le Mossad pour recueillir des informations sur le nucléaire »

 

Un parlementaire iranien a confirmé l’arrestation de 12 agents présumés de la CIA en Iran et au Liban, rapporte l’agence iranienne IRNA. Selon le parlementaire, les agents auraient avoué collaboré avec Israël pour recueillir des informations sur le programme nucléaire de la république islamique.

http://www.guysen.com/

CIA, démasquée : le Hezbollah veut des mesures contre l’ambassade des USA

http://french.irib.ir/info/moyen-orient/item/154893-cia-démasquée-le-hezbollah-veut-des-mesures-contre-l’ambassade-des-usa

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Grève générale au Portugal contre l’austérité

 

Le secteur des transports et les vols commerciaux étaient particulièrement perturbés jeudi au Portugal par une grève générale contre l’austérité qui devait également affecter l’ensemble des services publics du pays.

La compagnie aérienne nationale TAP a supprimé 121 vols commerciaux sur les 140 prévus jeudi, a indiqué un responsable, précisant que les contrôleurs aériens ne devaient assurer qu’un service minimum, ce qui ne devait permettre que quelques vols vers  les îles des Açores et Madère, tandis que dix-sept autres ont été reprogrammés.

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A Lisbonne, le métro ne circulait pas et le service des navettes fluviales, qui relie les deux rives du fleuve Tage, était totalement interrompu. Le transport ferroviaire était également très perturbé.

« ADHÉSION TRÈS FORTE »

« Les premiers signes montrent une adhésion très forte », a déclaré Manuel Carvalho da Silva, secrétaire général de la CGTP, qui dirige l’une des deux principales confédérations syndicales ayant convoqué, avec l’UGT, la grève de jeudi. L’objectif de ce mouvement est de protester contre les mesures d’austérité que le gouvernement s’est engagé à mettre en œuvre en échange d’une assistance financière de 78 milliards d’euros accordée par l’Union européenne et le Fonds monétaire  international.

Outre des augmentations de la TVA sur le gaz et l’électricité et des hausses des prix des transports, la cure de rigueur touche principalement les fonctionnaires, dont les salaires ont été gelés et qui l’année prochaine perdront deux de leurs quatorze mois  de salaire, tandis que dans le privé la journée de travail sera augmentée d’une demi-heure. « Il est clair que le Portugal a besoin d’une forte mobilisation car il est inadmissible qu’un pays soit engagé dans une logique d’appauvrissement […] et ne réponde pas aux problèmes de l’emploi », a affirmé en outre M. Carvalho da Silva. La grève devait également toucher de nombreux services publics notamment dans l’éducation, la santé ou la culture. Par ailleurs, une trentaine de manifestations étaient prévues dans tout le pays et en particulier à Lisbonne.

http://www.lemonde.fr/

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

La grippe H5N1 comme arme de guerre ?

Un pas de plus dans l’horreur invisible et imprévisible, sauf pour le cerveau malade de ces détenteurs d’armes biologiques… Que les scientifiques acceptent de rendre encore plus virulent un organisme, à des fins guerrières démontre la « haute moralité » de ces chercheurs, pour qui la destruction de la vie est devenue une priorité! 

Un article encore bien effrayant sur les méfaits des scientifiques. Traduction par Chantalouette.

 

Des scientifiques transforment la grippe aviaire mortelle en arme, et songent à divulguer les résultats nécessaires à la création d’une arme biologique. Anthony Gucciardi 21 novembre 2011 On dirait quelque chose sorti d’une étrange bande dessinée de science fiction, mais les scientifiques ont bel et bien transformé le virus de la grippe aviaire H5N1 en arme, et songent à divulguer leurs recherches. Les expériences, qui ont nécessité 5 mutations du virus, ont rendu la souche hautement contagieuse entre des furets—-modèle animal utilisé pour étudier l’infection grippale humaine.

Bien sûr, de nombreux scientifiques avertissent maintenant que si une telle recherche était rendue publique, elle pourrait conduire à la fabrication d’armes biologiques mortelles. Rendre le virus hautement contagieux pourrait conduire à une épidémie très étendue. Le virus H5N1 a infecté des oiseaux et d’autres animaux ces dernières années et également 500 personnes. La raison pour laquelle ce n’est pas devenu une épidémie est dû au fait que les humains atteints ne sont généralement pas très contagieux. Ainsi, en le modifiant pour qu’il devienne hautement contagieux est probablement le coup le plus tordu qui puisse être fait. On dirait que ces scientifiques cherchent à ce que le nouveau virus militarisé de la grippe aviaire infecte le public. Les craintes d‘un  »bioterrorisme » surgissent alors que les scientifiques poussent à la divulgation des recherches sur la grippe aviaire comme arme de guerre Le Dr Thomas Inglesby, expert en bioterrorisme et directeur du centre de biosécurité du Centre Médical de l’Université de Pittsburgh, souligne que c’est tout simplement une mauvaise idée de la part des scientifiques de  »militariser » la grippe aviaire, c’est encore pire de vouloir publier les résultats :

“C’est une très mauvaise idée de la part des scientifiques de transformer un virus mortel en un virus mortel et très contagieux. Et c’est une deuxième mauvaise idée de leur part de vouloir publier leurs méthodes pour que d’autres puissent ainsi les copier », dit Inglesby

Pour l’instant aucun journal scientifique n’a publié les découvertes, et Inglesby espère qu’aucun ne le fera. Le virologiste Ron Fouchier du Centre Médical Erasmus en Hollande est responsable de la militarisation du virus et présente les découvertes lors d’une conférence sur la grippe tenue à Malte. Il a récemment été attaqué par une organisation connue comme le Comité de Conseil National Scientifique de Biosécurité, un comité d’experts indépendants sur la recherche biologique. Ron Fouchier dit que l’idée de faire muter le virus pour qu’il devienne très contagieux est assez choquant, mais le fait que certains scientifiques poussent maintenant à communiquer les résultats est plus que bizarre. Il est évident que ces scientifiques n’ont aucune considération pour la santé publique.

SOURCE

Merci à Hélios de Bistro Bar Blog partagé avec Jo^^ de l’ Eveil2011

LIRE AUSSI:

La grippe espagnole de 1918 est due aux vaccins

http://lesmoutonsenrages.fr/

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Barack Obama interrompu en plein discours par des Indignés de Wall Street

 

Hier soir, dans une école du New Hampshire aux USA Barack Obama prononçait un    discours sur la réforme des impôts quand il a été pris à partie par des membres du Mouvement Occupy Wall Street.

Ces Indignés qui ont campé durant plus de deux mois tout près de Wall Street à New York pour dénoncer les excès du monde de la finance  n’ont pas hésité à interrompre le Président américain pour se faire entendre.

Dans un trac distribué aux journalistes quelques minutes après cet incident, ces manifestants ont rappelé que 4000 personnes  pacifistes ont été arrêtées à New York lorsdu démantèlement de leur camp à New York la semaine  dernière, « alors que les banquiers continuent à détruire l’économie ».

En s’adressant plus particulièrement à Barack Obama, il lui ont reproché son silence au sujet de l’expulsion dont ils s’estiment avoir  été les victimes, silence qui selon eux  « envoie le massage que la brutalité policière est acceptable ».

Source: Le Post

Lire aussi:

La marche d’Occupy Wall Street arrive à Washington

http://www.wikistrike.com/

 
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Publié par le 24 novembre 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
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