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Archives du 31 août 2011

Libye- Les Réfugiés Parlent: L’OTAN source de notre Malheur


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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Un village italien abandonne l’Euro ! :)

Un village italien abandonne l’Euro

Le plan de rigueur annoncé par Silvio Berlusconi au début du mois prévoit la fusion des petites communes de moins de 1 000 habitants. Mais Lucas Sellari, le maire du village de Filettino ne l’entend pas de cette oreille. Refusant catégoriquement d’être réuni avec le village voisin de Trévi, le maire a décidé de faire de sa commune une principauté indépendante.

Pour ce faire, il n’a pas hésité à sortir de l’Euro. Il a en effet doté son village d’une nouvelle monnaie, le »fiorito » , dont la valeur unitaire est estimée à 0,50 centime d’euro. 20 000 coupures de billets ont d’ores été déjà été imprimées et 20 000 autres devraient bientôt suivre. Pour régner sur sa principauté, le maire a même sollicité le prince Emanuele Filiberto de Savoie, mais celui-ci a poliment décliné l’invitation.

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WikiStrike incite tous les maires de France à prendre la même décision : sortir de l’Euro pour faire chier Sarkozy

Manuel Cortez pour Wikistrike

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

11/09:c’est bien un missile Tomahawk qui a atteint le PENTAGONE

http://leveil2011.syl20jonathan.net/

Comment des millions de personnes ont pu croire au crash d’un avion de ligne vu la taille de l’impact,le peu de débris et tout le reste….Navrant!

Le choc émotionnel et la propagande d’état ont pris le dessus sur la réalité des faits,comme souvent…et encore aujourd’hui…!

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Etat palestinien à l’ONU: Israël menace de mesures de rétorsion

JERUSALEM – Le ministre israélien des Finances a estimé mercredi que la demande d’adhésion d’un Etat palestinien à l’ONU prévue en septembre constituait une menace plus grave que celle du Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, et promis qu’elle ne resterait pas sans réponse.

Cette initiative des Palestiniens constitue une menace plus grave que celle du (mouvement islamiste palestinien) Hamas à Gaza, et elle ne restera pas sans réponse d’Israël, a déclaré à la radio publique israélienne Youval Steinitz, du parti Likoud (droite) du Premier ministre Benjamin Netanyahu.

La demande unilatérale des Palestiniens (d’adhésion de leur Etat à l’ONU) constitue une violation des engagements pris par les Palestiniens dans leurs accords signés avec Israël, avait déclaré dimanche M. Netanyahu selon un communiqué de son bureau.

Egalement interrogé mercredi à la radio, le ministre des Infrastructures nationales, Ouzi Landau, a renchéri: dans ce cas de figure, il est clair que nos accords avec les Palestiniens seraient nuls et non avenus.

Nous devrions alors imposer notre souveraineté sur les secteurs des Territoires (palestiniens occupés) à propos desquels il y a un consensus en Israël, c’est-à dire la vallée du Jourdain et les grands blocs d’implantations, voire davantage, a ajouté M. Landau qui est membre de Israël Beiteinou, parti de droite nationaliste du chef de la diplomatie Avigdor Lieberman.

Les négociations de paix avec Israël étant bloquées, les Palestiniens espèrent obtenir, en principe après le 20 septembre, une adhésion à part entière de leur Etat à l’ONU et la reconnaissance de la Palestine sur les lignes du 4 juin 1967, avant la Guerre des Six jours, soit la totalité de la Cisjordanie, de la bande de Gaza et de Jérusalem-Est.

En mai, après un accord de réconciliation entre le mouvement Fatah du président Mahmoud Abbas et le Hamas islamiste, M. Steinitz avait délibérément retardé le transfert de fonds dus à l’Autorité palestinienne.

En vertu des auxiliaires économiques des accords d’Oslo (1993), Israël reverse à l’Autorité palestinienne des taxes qu’il prélève pour le compte de cette dernière sur des marchandises transitant via les ports et aéroports israéliens. Ces fonds, qui atteignent de 3,5 à 5 milliards de shekels (700 millions à un milliard d’euros) par an, représentent les deux tiers du budget annuel de l’Autorité.

Le journal Haaretz a rapporté mercredi qu’en dépit de pressions américaines, M. Steinitz a refusé en début de semaine d’anticiper le versement mensuel des fonds dus à l’Autorité palestinienne, celle-ci ayant voulu payer les salaires de ses employés avant la fête de l’Aïd el-Fitr, qui marque la fin du mois de jeûne musulman du ramadan.

Un haut responsable palestinien a confirmé à l’AFP, en le déplorant, qu’Israël avait rejeté une demande palestinienne de débourser les sommes requises avant les trois jours de la fête musulmane.

L’Autorité palestinienne traverse une grave crise financière, au moment même où elle aspire à se transformer en Etat, en raison des retards dans les versements des pays donateurs et des restrictions israéliennes.

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Gaz de schiste: Shell va investir près de 800 M USD en Ukraine

KIEV – La compagnie anglo-néerlandaise Shell doit très prochainement signer un accord visant à investir environ 800 millions de dollars (554 millions d’euros) dans l’exploration et la production de gaz de schiste en Ukraine, a annoncé mercredi la présidence ukrainienne.

Il est prévu que 200 millions de dollars (138 millions d’euros) soient investis dans l’exploration et près de 600 millions de dollars (416 millions d’euros) dans la production de gaz de schiste, a précisé aux journalistes le chef de l’administration présidentielle, Sergui Liovotchkine.

L’accord doit être signé jeudi avec Naftogaz, la société publique ukrainienne des hydrocarbures, a-t-il ajouté, précisant que le président Viktor Ianoukovitch allait à l’occasion rencontrer une délégation de Shell venue à Kiev.

Le gouvernement ukrainien avait précédemment annoncé que Shell espérait produire huit à dix milliards de mètres cubes de gaz de schiste annuellement depuis le gisement de Iouzovske situé dans les régions de Donetsk et Kharkiv (est du pays), selon l’agence Interfax.

L’Ukraine estime avoir les plus grosses réserves de gaz de schiste en Europe, mais aucune estimation fiable de leur volume n’a jamais été réalisée.

Très dépendante des importations du gaz russe qu’elle juge trop onéreuses, cette ex-république soviétique essaie d’en réduire sa consommation et de trouver des sources d’énergie alternatives.

Le Premier ministre, Mykola Azarov, a déclaré mardi que le pays devait faire des efforts pour parvenir à diviser par trois dans les années à venir les achats de gaz russe, qui doivent s’élever à 41 milliards de mètres cubes cette année, soit près de 65% de sa consommation annuelle.

Pour le chauffage, les autorités devraient remplacer le gaz par son charbon national, a-t-il notamment indiqué.

Dans ce contexte, la société Naftogaz a officiellement annoncé au géant russe Gazprom qu’elle prévoyait de réduire ses achats de gaz en 2012 à 27 milliards de mètres cubes, a indiqué mercredi une source gouvernementale ukrainienne à Interfax.

En réponse, le patron de Gazprom, Alexeï Miller, a déclaré que le contrat en vigueur empêchait l’Ukraine de payer moins de 33 milliards de mètres cubes de gaz par an.

En 2012, Gazprom peut fournir à l’Ukraine 27 ou 26 ou 29 milliards de mètres cubes de gaz. Ou bien ne pas en livrer du tout si l’Ukraine le souhaite, a-t-il dit, cité par Interfax.

Mais en tout cas, Naftogaz doit payer les livraisons d’au moins 33 milliards de mètres cubes. Telles sont les conditions dans le contrat en vigueur, a-t-il poursuivi.

ROYAL DUTCH SHELL

GAZPROM

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Iran:le nain Sarko évoque une attaque préventive contre les sites nucléaires

PARIS – Le président français Nicolas Sarkozy a averti mercredi l’Iran de la possibilité d’une attaque préventive contre ses sites nucléaires, s’il maintenait ses ambitions dans ce domaine, tout en estimant qu’une telle opération provoquerait une crise majeure.

Ses ambitions militaires, nucléaires et balistiques constituent une menace croissante qui pourrait conduire à une attaque préventive contre les sites iraniens, qui provoquerait une crise majeure dont la France ne veut à aucun prix, a-t-il déclaré au cours de la conférence annuelle des ambassadeurs de France.

Le président français n’a pas cité les pays qui pourraient être tentés par une telle opération militaire visant les sites nucléaires iraniens.

Nicolas Sarkozy s’est également prononcé pour un nouveau renforcement des sanctions contre Téhéran.

L’Iran refuse de négocier sérieusement. L’Iran se livre à de nouvelles provocations. Face à ce défi, la communauté internationale doit apporter une réponse crédible. Elle le peut si elle fait preuve d’unité, de fermeté et que les sanctions sont plus sévères encore. Nous aurions tort d’en sous-estimer les effets qui sont chaque jour plus perceptibles, a-t-il souligné.

L’Iran a développé un ambitieux programme nucléaire qui, selon les Occidentaux, a des visées militaires. Téhéran réplique qu’il s’agit d’un programme dont l’objectif est exclusivement civil.

AFP

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Quelles sont les causes de la famine ?

Esther VIVAS
Nous vivons dans un monde d’abondance. Selon les chiffres de l’Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO), on produit aujourd’hui de la nourriture pour 12 milliards de personnes, alors que la planète compte 7 milliards d’êtres humains. De la nourriture, il y en a. Alors pourquoi dans ce cas une personne sur sept dans le monde souffre de la faim ?

La menace alimentaire qui touche plus de 10 millions de personnes dans la Corne de l’Afrique remet en lumière la fatalité d’une catastrophe qui n’a pourtant rien de naturelle. Sécheresses, inondations, conflits armés… tout cela contribue à aggraver une situation d’extrême vulnérabilité alimentaire, mais ce ne ce sont pas les seuls facteurs explicatifs.

La situation de famine dans la Corne de l’Afrique n’est pas une nouveauté. La Somalie vit une situation d’insécurité alimentaire depuis 20 ans. Et, périodiquement, les médias nous remuent de nos confortables divans en nous rappelant l’impact dramatique de la faim dans le monde. En 1984, près d’un million de morts en Ethiopie ; en 1992, 300.000 somaliens ont perdu la vie à cause de la faim ; en 2005, près de cinq millions de personnes au bord de la mort au Malawi, pour ne citer que quelques cas.

La faim n’est pas une fatalité inévitable qui affecterait seulement certains pays. Les causes de la faim sont politiques. Qui contrôle les ressources naturelles (terres, eau, semences) qui permettent la production de nourriture ? A qui profitent les politiques agricoles et alimentaires ? Aujourd’hui, les aliments sont devenus une marchandise et leur fonction principale, nous nourrir, est mise à l’arrière plan.

On pointe du doigt la sécheresse, avec les pertes de récoltes et de bétail consécutives, comme l’une des principales explications de la famine dans la Corne de l’Afrique. Mais alors comment expliquer que des pays tels que les Etats-Unis ou l’Australie, qui subissent régulièrement de graves sécheresses, ne souffrent pas de famines extrêmes ? Evidement, les phénomènes météorologiques peuvent aggraver les problèmes alimentaires, mais ils ne suffisent pas à expliquer les causes de la faim. En ce qui concerne la production d’aliments, le contrôle des ressources naturelles est la clé pour comprendre pour qui et pourquoi on les produits.

Dans plusieurs pays de la Corne de l’Afrique, l’accès à la terre et un bien rare. L’achat massif de sols fertiles de la part d’investisseurs étrangers (agro-industrie, gouvernements, fonds spéculatifs…) a provoqué l’expulsion de milliers de paysans de leurs terres, diminuant ainsi leur capacité à satisfaire leurs propres besoins alimentaires de manière autonome. Ainsi, tandis que le Programme Mondial Alimentaire tente de nourrir des milliers de réfugiés au Soudan, des gouvernements étrangers (Koweït, Emirats arabes unis, Corée…) y achètent des terres pour produire et exporter des aliments pour leurs propres populations.

Il faut également rappeler que la Somalie, malgré les sécheresses récurrentes, était un pays autosuffisant dans la production d’aliments jusqu’à la fin des années 1970. Sa souveraineté alimentaire a été mise en pièce au cours des trois décennies suivantes. A partir des années 1980, les politiques imposées par le Fonds Monétaire International et la Banque Mondiale pour que le pays puisse rembourser sa dette au Club de Paris se sont traduites par l’imposition d’un ensemble de mesures d’ajustement. En ce qui concerne l’agriculture, ces dernières impliquaient une politique de libéralisation commerciale et d’ouverture des marchés, permettant ainsi l’entrée massive de produits subsidiés – comme le riz et le blé – des multinationales agro-industrielles nord-américaines et européennes, qui ont commencé à vendre leurs produits en dessous de leur prix de production, faisant ainsi une concurrence déloyale aux produits autochtones.

Les dévaluations périodiques de la monnaie somalienne ont également provoqué une hausse des prix des intrants agricoles tandis que la politique en faveur des monocultures pour l’exportation a progressivement forcé les paysans à abandonner les campagnes. La même chose s’est produite dans d’autres pays, non seulement en Afrique, mais aussi en Amérique latine et en Asie.

La montée des prix des céréales de base est un autre des éléments désignés comme détonateurs des famines dans la Corne de l’Afrique. En Somalie, les prix du maïs et du sorgho rouge ont respectivement augmenté de 106 et 180% par rapport à l’année dernière. En Ethiopie, le coût du blé a augmenté de 85% par rapport à 2010. Et au Kenya, la valeur du maïs a augmenté de 55% en un an. Des hausses qui ont rendus ces aliments inaccessibles.

Mais quelles sont les raisons de cette escalade des prix ? Plusieurs indices pointent la spéculation financière sur les matières premières alimentaires. Les prix des aliments sont déterminés dans les Bourses de valeurs, dont la plus importante, à l’échelle mondiale, est celle de Chicago, tandis qu’en Europe les aliments sont commercialisés dans les marchés à terme de Londres, Paris, Amsterdam et Francfort. Mais, aujourd’hui, la majeure partie de l’achat et de la vente de ces marchandises ne correspond pas à des échanges commerciaux réels.

On estime, d’après Mike Masters, responsable du fonds de pension Masters Capital Management, que 75% des investissements financiers dans le secteur agricole sont de caractère spéculatif. On achète et on vend des matières premières dans le but de spéculer avec elles en faisant un profit qui se répercute finalement dans l’augmentation du prix de la nourriture pour le consommateur final. Les mêmes banques, fonds à hauts risques, compagnies d’assurances, qui ont provoqué la crise des “subprimes” sont celles qui spéculent aujourd’hui avec la nourriture, profitant de marchés globaux profondément dérégulés et hautement rentables.

La crise alimentaire à l’échelle globale et la famine dans la Corne de l’Afrique en particulier sont les fruits de la globalisation alimentaire au service des intérêts privés. La chaîne de production, de distribution et de consommation des aliments est entre les mains d’une poignée de multinationales qui placent leurs intérêts particuliers au dessus des nécessités collectives. Tout au long de ces dernières décennies, elles ont miné, avec le soutien des institutions financières internationales, la capacité des Etats du sud à décider sur leurs politiques agricoles et alimentaires.

Revenons au début. Pourquoi la faim existe-t-elle dans un monde d’abondance ? La production d’aliments a été multipliée par trois depuis les années 1970, tandis que la population mondiale n’a fait que doubler depuis lors. Nous ne sommes donc pas face à un problème de production de nourriture, mais bien devant un problème d’accès à la nourriture. Comme le soulignait le rapporteurs de l’ONU pour le droit à l’alimentation, Olivier de Schutter, dans une interview au journal “El Pais” : “La faim est un problème politique. C’est une question de justice sociale et de politiques de redistribution”.

Si nous voulons en finir avec la faim dans le monde, il est urgent d’opter pour d’autres politiques agricoles et alimentaires qui mettent au centre de leur préoccupation les personnes et leurs besoins, ceux qui travaillent la terre et l’écosystème. Il s’agit de parvenir à ce que le mouvement international Via Campesina appelle la “souveraineté alimentaire”, et de récupérer la capacité de décider sur ce que nous mangeons. En reprenant un des slogans les plus connus du Mouvement du 15-M : “une démocratie réelle, maintenant” dans l’agriculture et l’alimentation est nécessaire.

Esther Vivas

*Esther Vivas participe au Centre d’études sur les mouvements sociaux (CEMS) de l’Universitat Pompeu Fabra (UPF) en Catalogne.

**Cet article a été publié comme opinion dans le journal “El País”, 30/07/2011.

***Traduction française par Ataulfo Riera pour le site http://www.lcr-lagauche.be

+info : http://esthervivas.wordpress.com/francais

http://www.legrandsoir.info/

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Un sénateur américain compare la situation actuelle avec celle qui précéda la Seconde Guerre mondiale

Perry Clark, élu démocrate américain, est sénateur de l’Etat du Kentucky, USA. Le 8 août 2011, quelques jours après la ratification de l’accord sur le relèvement du plafond de la dette américaine par Barack Obama, Perry Clark publiait une lettre d’une page, adressée à ses concitoyens et exposant ce que tout le monde sait, mais cherche à cacher. Surprenant, il n’a pas été exclu de son parti.

« Mes chers citoyens, après mûres réflexions sur l’adoption d’une loi de replafonnement de la dette et d’austérité budgétaire la semaine dernière à Washington, j’ai décidé que c’en est assez. Cette législation est effrontément inconstitutionnelle, c’est pourquoi je lance un appel par la présente à la mise en œuvre d’une série d’actions d’urgence pour réparer les dommages causés, en commençant par la démission du Président Barack Obama.

Notre nation et le monde sont au seuil du chaos économique et social. Le système financier est en phase de désintégration et la plupart de nos états et de nos villes subissent des coupes budgétaires sans précédent qui ont pour conséquences l’accroissement du taux de mortalité. Cette situation rappelle la crise de 1933. Cette même année, l’Allemagne, sous les ordres de Wall Street et de la City de Londres, mettait Hitler au pouvoir. Dans le même temps, les Etats-Unis empruntaient la voie patriotique avec l’élection de Franklin Roosevelt et la mise au pas de Wall Street.

Le 2 août 2011, sous l’énorme pression des mêmes banquiers de Wall Street et de Londres qui ont mis Hitler au pouvoir, le Congrès des Etats-Unis a adopté une législation en violation flagrante de la Constitution des Etats-Unis, Article 1 Section 8. Le Congrès entérine ainsi un programme d’austérité vicieux et inutile et crée un « super-Congrès » de douze membres pour appliquer ce programme. La totalité du projet, dont le super-Congrès, l’interdiction des débats et amendements, et le mécanisme de déclenchement automatique, est effrontément inconstitutionnelle. Cela fait directement écho à la loi allemande de 1933 abandonnant le pouvoir législatif aux mains du gouvernement criminel d’Adolf Hitler. Il fallut attendre les procès de la Seconde Guerre Mondiale pour que le monde se remette de cette folie.

Le Président Obama a été un acteur central de cette législation, et à partir du moment où il a apposé son nom sur ce texte, il a franchi la limite. De nombreux membres du Congrès ont dénoncé ce texte, et des leaders nationaux l’ont déclaré inconstitutionnel. Il est aujourd’hui nécessaire d’aller plus loin. Je me joins à l’homme d’état américain Lyndon LaRouche et demande la démission immédiate du Président, sans quoi il devra faire face à une procédure de destitution.
Tous les élus, dont je fait parti, ont juré solennellement de « protéger, défendre et promouvoir » la Constitution des Etats-Unis. J’appelle donc ici le Congrès a renouveler son serment et à annuler la législation du 2 août.
Une fois fait, j’appelle le Congrès à rétablir sans délai la seule solution viable à la crise économique et à restaurer le Système américain d’économie. Nous devons commencer par rétablir la loi Glass-Steagall et ainsi mettre Wall Street en échec une bonne fois pour toute. Il faut pour cela une adoption rapide du projet de loi H.R. 1489 à la Chambre des représentants et au Sénat, pour restaurer la loi Glass-Steagall de 1933. Pendant les 66 années où la loi Glass-Steagall était en vigueur, les banques de Wall Street étaient sous contrôle, et nous avons évité l’effondrement financier. Le rétablissement de Glass-Steagall est la première étape indispensable à la reconstruction de notre nation. Et alors que nous nous engagerons sur cette voie, nous deviendrons un modèle et une source d’inspiration pour les nations qui souhaitent nous suivre.

Je presse le Congrès à faire son devoir. Ce n’est pas une période pour les « soldats à mi-temps » ou les « patriotes de la dernière heure ». Le peuple américain a trop souffert et ne mérite rien de moins ».

http://liesidotorg.wordpress.com/

 
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Publié par le 31 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
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