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Archives du 18 août 2011

Orages en Belgique : au moins 2 morts dans un festival rock!

Tragique accident en Belgique. Selon un bilan provisoire, au moins deux personnes ont trouvé la mort et une quarantaine d’autres ont été blessées à la suite d’un violent orage lors du festival rock en plein air, le Pukkelpop, à Kiewit, près de Hasselt, dans le nord de la Belgique. 11 personnes seraient grièvement blessées. Deux scènes se sont effondrées, dont l’une au moins sur des festivaliers, plusieurs installations métalliques placées à l’entrée ainsi que des écrans géants sont tombés, et plusieurs arbres ont été déracinés, sous la violence des pluies, a indiqué l’agence de presse Belga. Des témoins, cités dans les médias belges, ont décrit « des scènes de fin du monde ». Le festival a été suspendu. Les spectacles de la soirée ont été annulés. Peu après 21 heures, les organisateurs analysaient encore la situation pour déterminer si le programme du week-end pouvait être maintenu ou pas.

Un centre de crise a été installé dans un gymnase de Kiewit afin d’accueillir les blessés légers et les personnes choquées. Le festival, qui avait ouvert ses portes ce jeudi et devait durer jusqu’à samedi, prévoyait d’accueillir 60.000 spectateurs jeudi soir. « Le ciel était devenu complètement noir et nous nous étions abrités en attendant la pluie. Puis tout à coup, le ciel s’est déchaîné. Le vent s’est levé avec une violence rare. La structure qui soutenait la bâche a cédé. La bâche a commencé à tourner dans tous les sens. Tout le monde s’est mis à courir. Nous nous sommes abrités derrière un petit panneau. Il y avait des grêlons de plus d’un centimètre qui tombaient. J’ai des bleus partout. Des arbres tombaient. C’était épouvantable. C’était la fin du monde », a rapporté une festivalière, Catherine Blaise, citée par le journal Le Soir.
http://lci.tf1.fr/

 
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Publié par le 18 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

BOURSES/Marchés européens: en chute libre – craintes pour l’économie américaine

Paris (awp/afp) – Les Bourses européennes ont plongé jeudi à la clôture, plombées par les valeurs bancaires et affolées par la perspective d’un ralentissement de l’économie américaine après la publication d’indicateurs inquiétants outre-atlantique.
A New York, Wall Street accusait également le coup: le Dow Jones perdait 3,13% et le Nasdaq 3,98% vers 16H15 GMT (18H15 HEC).
« En ce moment, il y a beaucoup de fronts ouverts », a estimé Daniel Alvarez, analyste chez XTB, citant la crise de la dette dans l’Union européenne et les chiffres publiés aux Etats-Unis qui n’ont pas rassuré sur les perspectives économiques.
En effet, les ventes de logements anciens ont rechuté lourdement en juillet et l’activité manufacturière de la région de Philadelphie (Nord-est des Etats-Unis) s’est effondrée au mois d’août. Sur le front de l’emploi, les nouvelles inscriptions aux chômage sont reparties à la hausse au cours de la deuxième semaine d’août.
Ces mauvaises nouvelles se sont ajoutées à la note des analystes de la banque Morgan Stanley qui ne tablent plus que sur une croissance de 3,9% dans le monde en 2011 (+4,2% auparavant) et 3,8% en 2012 (+4,5% auparavant).
L’Eurostoxx 50 a reculé de 5,34%.
A la Bourse de Paris, le CAC 40 a lâché 5,48% à 3076,04 points.
Le secteur financier, qui représente 20% de l’indice, a dégringolé, Société Générale dévissant de 12,34% à 21,60 euros, Crédit Agricole de 7,29% à 6,23 euros, et BNP Paribas de 6,76% à 34,21 euros.
Les valeurs cycliques, particulièrement sensibles à la conjoncture, ont également souffert: Peugeot a abandonné 9,06% à 19,18 euros, Renault 7,95% à 26,68 euros, Alcatel-Lucent 8,81% à 2,39 euros et STMicroelectronics 9,14% à 4,28 euros.
A Londres, le Footsie-100 a perdu 4,49%, à 5092,23 points, avec toutes les valeurs dans le rouge.
Les banques ont payé le plus lourd tribut: Barclays a dégringolé de 11,47% à 154 pence, Royal Bank of Scotland de 11,31% à 21,95 pence, Lloyds Banking Group de 9,26% 29,80 pence et HSBC de 5,98% à 509,6 pence.
Les compagnies minières, très sensibles au ralentissement de l’activité mondiale, synonyme d’une chute de la demande de matières premières, ont également bu la tasse : Glencore a lâché 10,01% à 355,45 pence, Xstrata 10,17% à 972 pence, Kazakhmys 8,24% à 958 pence et Vedanta 7,63% à 1.295 pence.
La Bourse de Francfort a abandonné 5,82% à 5602,80 points.
Il s’agit de la plus forte chute journalière depuis 2008 pour l’indice.
Des ventes massives de contrats à terme dont les causes restent incertaines ainsi que des craintes sur la conjoncture mondiale ont marqué la séance.
Les valeurs bancaires ont été particulièrement chamboulées: Commerzbank a perdu 10,42% à 1,90 euro et Deutsche Bank 7,02% à 27,96 euros.
La Bourse de Madrid a terminé en baisse de 4,70% à 8317,7 points.
La première banque espagnole, Santander, a perdu 4,08% à 6,282 euros. BBVA, le numéro deux, a abandonné 5,76% à 6,102 euros et Caixabank 2,30% à 3,53 euros.
La pire chute était enregistrée par le groupe de BTP Abengoa, en baisse de 8,02% à 16,85 euros.
Gamesa, l’un des leaders mondiaux de la fabrication d’éoliennes, qui a déjà souffert ces derniers jours, abandonnait 7,12% à 3,898 euros.
A la Bourse de Milan, le FTSE Mib a plongé de 6,15% en passant sous la barre des 15’000 points à 14’970 points.
Fiat Industrial a dévissé (-13,18% à 6,09 euros), tout comme Fiat (-11,88% à 4,33 euros) et la holding de la famille Agnelli Exor (-9,08% à 15,32 euros).
Les valeurs financières étaient elles aussi à la peine, Banca Intesa enregistrant les plus importantes pertes du secteur (-9,26% à 1,19 euro) suivie par Banco Popolare (-7,69% à 1,2 euro) et Unicredit (-7,41% à 0,65).
La Bourse de Lisbonne a clôturé en baisse de 4,12% à 6030,57 points.
Avec l’ensemble de ses titres dans le rouge, l’indice PSI-20 a été pénalisé surtout par les plongeons du groupe pétrolier et gazier Galp Energia (-6,26%) et de l’électricien EDP (-4,84%).
La BCP, première banque privée portugaise, a dévissé de 4,17%. La BPI a perdu 3,09% et la BES a cédé 2,69%.
La Bourse suisse a perdu 4,15%, avec un indice SMI à 5196 points.
Les valeurs bancaires ont trinqué, avec -8,46% pour Credit Suisse, -8,35% pour UBS et -6,27% pour Julius Baer.
Holcim a aussi dévissé de -8,04%, en raison de résultats semestriels décevants, plombés par la cherté du franc suisse.
ABB a reculé de -6,73%, et Adecco (travail temporaire) de -6,46%.
Nestlé a plutôt bien résisté, avec seulement -3,05%, ainsi que Novartis (-2,79%) et Roche (-2,17%).
L’indice Bel-20 de la Bourse de Bruxelles a chuté de 4,56% à 2151,96 points.
Les financières ont été sévèrement touchées: Dexia a plongé de 13,96% à 1,56 euro, enregistrant la plus forte baisse de l’indice, et Ageas (ex-Fortis) de 8,04% à 1,14 euro.
Les valeurs liées aux matières premières ont également souffert: GDF Suez a perdu 6,30% à 19,40 euros et le groupe de métallurgie Umicore 7,82% à 30,29 euros.
A la Bourse d’Amsterdam, l’indice AEX a perdu 4,47% à 279,58 points, avec toutes les valeurs dans le rouge.
La baisse la plus importante a été enregistrée par le groupe de dragage Boskalis, spécialisé dans l’aménagement portuaire, qui a dévissé de 13,38% à 22,96 euros.
Le bancassureur ING a quant à lui perdu 8,45% à 5,63 euros et l’assureur Aegon 8,48% à 2,91 euros.
La Bourse d’Athènes a fini en chute de 3,38%, l’indice Athex s’établissant à 976,62 points.
Les valeurs bancaires étaient les plus touchées, avec un recul de 4,69%.
La Bourse de Stockholm a lâché 6,73%, celle d’Helsinki 6,45%, celle d’Oslo 5,97% et celle de Copenhague 4,69%.
Les banques Swedbank, SEB et Nordea ont cédé respectivement 8,99%, 8,49% et 7,37%.

 
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Publié par le 18 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Trader Noé – Vers une confirmation de notre ALERTE FLASH

Comme nous l’avions annoncé hier soir avec notre « Alerte Flash » le contrant Future E-mini S&p 500 a présenté une faiblesse en venant sur son point de bascule des 1178 !

Soyez extrêmement prudents, désormais sous ce niveau tout peut s’accélérer. Dans ce cas, déroulez le tapis rouge, la main anonyme peut arriver n’importe quand !

A l’ouverture BNP perdait déjà plus de 2.5 % et les prochains supports sont à 34-28-22 euros.

Vallourec, tant que le titre évolue sous les 66 euros, il faut être prudent car la tendance baissière peut se poursuivre et les prochains supports sont à 59 – 51 et 36 euros.

Cap Gemini, sous les 29.5 euros, la tendance de fond reste également baissière et les prochains supports sont à 28 – 26 – 24 – 22 euros.

Il leur faudrait maintenant imprimer massivement pour contre-carrer notre analyse.

http://liesidotorg.wordpress.com/

 
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Publié par le 18 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Tempêtes solaires et chaos mondial!

 

Voici un texte publié il y a un an, qui expose les effets potentiels des éjections de masse coronale en direction de terre lors du maximum solaire.  La perte du réseau électrique est appréhendée et ce seul fait pourrait causer un chaos mondial incommensurable, tel que décrit dans le texte.  Certains analystes croient que les rayonnements en provenance de puissantes explosions de plus en plus fréquentes risquent de causer un nombre grandissant de cancers chez les êtres vivants…

Plus horrible que le fléau de la peste noire en Europe, plus coûteux en vies humaines que la Seconde Guerre Mondiale. La question n’est pas de savoir si, mais quand…
C’est le message d’alarme émis par John G. Kappenman, consultant et expert sur les dangers et dommages causés par les impulsions électromagnétiques sur la société moderne.
La question du danger des impulsions électromagnétiques sur la Terre, à partir d’une éjection de masse coronale, qui est une éruption de la puissance du soleil, ou à partir d’une onde nucléaire déclenchée par impulsions électromagnétiques, aurait pour résultat de détruire la société . C’est en tout cas le résultat de plusieurs rapports qui ont été déposés ces derniers mois.
Lorsque le Sénat Américain a rejeté les plans d’urgence en vue de se préparer à une telle catastrophe, un membre de la Chambre leur a reproché de ne pas se préparer à la menace liée aux impulsions électromagnétiques sur notre monde. Il semble que le Sénat a pourtant amendé un projet de loi, le HR 5026, approuvé à l’unanimité par la Chambre, qui prévoit la protection spécifique du réseau électrique en cas d’impulsions électromagnétiques ou toutes autres menaces du genre.
Kappenman, interrogé récemment sur la radio « OffTheGridNews », a expliqué que jamais auparavant la civilisation avait eu à faire face à ce type de menace puisque les tempêtes solaires historiques ont frappé avant que les gens ne soient dépendants de l’électricité.
Kappenman est l’un des principaux enquêteurs de la « Commission IEM » pour évaluer la menace des impulsions électromagnétiques aux États-Unis. Il a également témoigné devant le Comité scientifique de la Chambre des États-Unis sur l’importance de la prévision des tempêtes géomagnétiques pour l’industrie électrique. Il possède une série de qualifications qui pourraient remplir un bottin téléphonique!
Il a évoqué qu’en mars 1989, il y a eu une tempête solaire qui a provoqué une panne d’électricité partout au Québec. À ce moment, la tempête a été classée parmi les plus puissantes jamais enregistrées, avec des niveaux maximum de 500 nanoteslas par minute.
Toujours selon Kappenman, la gravité de la tempête pourrait produire des dégâts massifs au réseau électrique. Ça pourrait prendre entre 4 et 10 ans pour réparer les dommages et peut-être même, une incapacité à rétablir le réseau électrique.
Il dit qu’en quelques heures, notre plus grande préoccupation en zone urbaine serait l’alimentation en eau potable puisque cesserait la capacité de traiter les eaux usées. Dans les jours qui suivent, c’est la conservation des denrées périssables qui deviendrait préoccupante. Puis, à l’intérieur de 3 jours, nous perdrions toutes capacités de communication.
L’agitation sociale, la rareté des aliments, le manque d’eau potable pourraient créer un effet domino qui capable de causer des millions de morts…
Nous pourrions envisager un scénario ici qui dépasse de loin le nombre de victimes de toute guerre, de toute catastrophe naturelle que l’humanité ait jamais connue. Et cela ne serait pas limité qu’à l’Amérique du Nord…
Une explosion nucléaire qui serait lançée dans l’atmosphère, de 25 à 250 miles au-dessus des États-Unis, pourrait elle aussi détruire le réseau électrique du pays. Une impulsion électromagnétique est une impulsion d’énergie qui peut être produite à partir de sources non nucléaires, telles que les bombes électromagnétiques. Certains experts affirment qu’une onde de choc électromagnétique pourrait être produite par un appareil assez petit pour tenir dans une mallette. Le plus menaçant et le plus terrifiant d’une attaque électromagnétique pourrait venir à la suite d’une explosion d’une arme nucléaire au-dessus de la surface de la Terre. Comme la foudre, l’impulsion électromagnétique peut immédiatement perturber et nuire à tous les systèmes électroniques et les infrastructures électriques de l’Amérique.
Une détonation dans le milieu de la zone continentale des États-Unis a la capacité de produire des dommages importants aux infrastructures qui soutiennent le tissu de la société américaine et la capacité des États-Unis, et des pays occidentaux, à exercer une influence et une puissance militaire, a déclaré un spécialiste américain qui en a témoigné devant le Congrès.
Plusieurs adversaires potentiels ont la capacité d’attaquer les États-Unis avec des armes à impulsion électromagnétique et il semble que d’autres travaillent en ce sens en ce moment même…
Résumé de l’article trouvé sur:
 
 

Monique Pinçon-Charlot: «Les riches sentent les dangers de la situation actuelle»

Ont ils vraiment peur les riches de France, qu’ils seraient prêts à payer « provisoirement » de vrais impôts?

Monique Pinçon-Charlot. MPC

Certains riches veulent être plus taxés pour éponger les déficits publics. Une vaste hypocrisie, dénonce la sociologue Monique Pinçon-Charlot, spécialiste de la bourgeoisie…

Le patron de Publicis, Maurice Lévy estime que les Français les plus riches doivent participer à la réduction du déficit sous la forme d’une contribution fiscale exceptionnelle. Pierre Bergé y est également favorable. Mais pour Monique Pinçon-Charlot, co-auteur du Président des riches*, ce n’est rien d’autre que de la poudre aux yeux. Elle décrypte les vraies motivations des riches.

Comment analysez-vous l’appel de Maurice Lévy au paiement par les plus riches d’une contribution exceptionnelle pour éponger les déficits?

Cette idée est dans l’air du temps. Elle circule dans les cercles privés et les résidences huppées. Avec les révolutions arabes, les émeutes en Angleterre, la classe dominante sent les dangers explosifs de la situation actuelle.

A la suite de la sortie de notre livre Le Président des riches, nous avons passé 8 mois à sillonner la France.  Nous avons pu mesurer à quel point il y a un sentiment de révolte dans le pays de Nicolas Sarkozy parmi les classes moyennes et populaires.

Compte tenu des affaires Servier, Tapie, Bettencourt et Wildenstein qui touchent de près le président de la République, ses amis se devaient de faire un geste pour apaiser la tension. C’est dans ce contexte qu’il faut comprendre la tribune de Maurice Lévy.

L’idée que les riches paient une contribution exceptionnelle est quand même une bonne nouvelle?

Payer une contribution exceptionnelle est le moyen pour les riches de se légitimer. Surtout qu’elle ne serait pas très contraignante. Maurice Lévy parle bien d’une taxe exceptionnelle. Cela sous-entend qu’elle sera provisoire.

Pour réellement bien faire, les riches devraient payer enfin leurs impôts en mettant fin à l’optimisation fiscale. Il faudrait une réelle réforme fiscale progressive où tous les revenus du travail et du capital seraient prélevés à la source pour éviter les niches et l’évasion.

La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 ne dit-elle pas que l’impôt «doit être également réparti entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés?»

Mais quand bien même, une contribution exceptionnelle serait appliquée, le montant resterait très symbolique au regard de leur richesse.

Pensez-vous qu’avec cette crise, en France, les riches vont devenir plus solidaires?

Rien ne va changer. Souvenez-vous en 2008, l’Etat français a volé au secours des banques à coup de milliards. Tout est rentré dans l’ordre très vite pour ces institutions. La preuve, elles se sont remises à verser des bonus à leurs dirigeants et à leurs traders. Regardez cette année, le plan de sauvetage de la Grèce. Il va alourdir l’endettement de la France de 15 milliards d’euros. Mais c’est un cadeau inouï aux grandes fortunes grecques qui sont les principales créancières du pays. Conclusion: on fait toujours des cadeaux aux plus riches.

A partir de quand est-on considéré comme très riche en France?

La grande richesse est multidimensionnelle. Bernard Arnault est l’homme le plus riche de France avec 21 milliards d’euros. Jean-Paul Gaultier, qui est la 500e fortune hexagonale selon Challenges est à la tête de 60 millions d’euros.  L’écart entre les deux est très important.

Mais la richesse est de plusieurs ordres. Au-delà de la richesse matérielle, il y a la richesse culturelle (tableaux et autres œuvres d’art…), sociale (cercles, réseaux…) et la richesse symbolique. Le riche est plutôt mince et redressé alors que le pauvre a tendance à souffrir d’obésité. Jamais les individus n’ont autant porté l’origine de leur classe sur leur corps.

La grande richesse, c’est comme un iceberg. Quand on en voit une partie, il faut se dire qu’il y en a 100 fois plus en-dessous.

*Une nouvelle version enrichie du Président des riches sortira en librairie le 15 septembre aux éditions La Découverte.

Propos recueillis par Mathieu Bruckmüller
 
 
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