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Archives du 17 août 2011

Les étudiants chiliens descendent dans la rue!

Le Chili est rentré dans le mouvement mondial de la jeunesse qui est en train de transformer le monde petit à petit —le printemps arabe, les sit-in et les manifestations sur les places espagnoles, et la rébellion des jeunes de Londres. Les semaines de manifestations et de grèves des étudiants chiliens ont commencé le 9 août, quand environ 100 000 personnes sont descendues dans les rues de Santiago. Rejointes par des professeurs et des éducateurs elles ont réclamé l’éducation gratuite pour tous, de l’école primaire à l’université.

Dans les confrontations violentes qui ont opposé les groupes de jeunes à la police, des gaz lacrymogènes ont été tirés sur les foules et 273 personnes ont été arrêtées. Le soir, dans Santiago, la capitale du pays qui compte 6 millions d’habitants, l’air frais d’hiver a résonné du bruit assourdissant des pots et des casseroles qu’on frappait en soutien aux étudiants.

Pendant la dictature de 17 ans de Augusto Pinochet, la plus grande partie du système d’éducation du Chili a été privatisé et même après qu’il ait quitté le pouvoir en 1990, l’éducation privée a continué de prévaloir. Aujourd’hui 70% des étudiants universitaires sont dans des institutions privées. L’éducation privée est inscrite dans la constitution rédigée sous le règne de Pinochet et les entrepreneurs éducatifs en ont tiré grand profit.

Camila Vallejo, la présidente élue de la Fédération des étudiants de l’université chilienne et une des principales dirigeantes de la protestation nationale a déclaré : « Nous avons besoin d’une éducation de qualité pour tous. C’est un droit. Les enfants de la société chilienne ne peuvent pas progresser sans cela. »

20 étudiants de secondaire font actuellement la grève de la faim et sont prêts à renoncer à une année d’études académiques et même à mourir pour leur cause.

Alina Gonzales, qui participe à la grève des écoles secondaires qu’on appelle NAM a dit : « Nous ferons le necessaire pour changer ce système et nos vies. »

Les étudiants font partie d’un mouvement plus large qui lutte pour la transformation du Chili. Ces derniers mois, les ouvriers d’une mine de cuivre se sont mis en grève, des mobilisations massives ont eu lieu pour arrêter la construction d’un énorme complexe de digues et de projets énergétiques dans la région Bio Bio du Chili du sud, des militants pour les droits des homosexuels et des femmes ont marché dans les rues et le peuple indigène Mapuche continue à réclamer la restitution de sa terre ancestrale.

Confrontés à l’intransigeance du gouvernement conservateur du multi milliardaire, le président Sebastian Pinera, le mouvement réclame un plébiscite* national. Camila Vallejo, qui est aussi membre de l’organisation des jeunes communistes a dit : « Si le gouvernement n’est pas capable de nous répondre, il nous faudra exiger une solution qui n’est pas prévue par les institutions : l’organisation d’un plébiscite pour que les citoyens puissent décider de l’avenir éducatif de leur pays. »

42 organisations sociales regroupées sous la bannière « Démocratie pour le Chili » se sont ralliées au mouvement étudiant. Leur manifeste proclame : « Le système économique, social et politique vit une crise profonde qui a contraint les communautés à se mobiliser… Un mouvement historique sans précédent des citoyens remet en question les bases de l’ordre économique et politique qui nous ont été imposées en 1980 » par la constitution de Pinochet.

Reprenant l’appel des étudiants pour un référendum*, le manifeste ajoute qu’il devrait être « multi-thématique » et permettre aux électeurs de décider de la convocation d’une assemblée constituante qui aurait le pouvoir de rédiger une nouvelle constitution.

Ces dernières années, on a vu grandir la demande d’en finir avec l’ordre néo-libéral et le système politique correspondant qui concentre les pouvoirs dans les mains d’une élite politique. Comme en Equateur, en Bolivie et au Venezuela, il y a un mouvement pour réorganiser le pays en le dotant d’une constitution qui permette une participation populaire à tous les échelons du gouvernement. Les droits fondamentaux y seraient reconnus, y compris le droit à une éducation gratuite, aux soins médicaux, à la culture et le droit de choisir son orientation sexuelle.

Le président Pinera a refusé d’organiser un plébiscite. Son taux de popularité est maintenant tombé à 26%. Le jour qui a suivi la manifestation de masse il a signé une loi symbolique appelant à une « éducation de qualité ». Il a critique les supporters d’une éducation universelle gratuite en arguant du fait que cela profiterait aux plus privilégiés car « les pauvres devraient payer des taxes qui bénéficieraient aux plus fortunés » qui vont à l’université.

Le Chili est à un carrefour. Pendant les 20 années qui ont suivi la chute de la dictature, beaucoup de Chiliens ont succombé au consumérisme car les centres commerciaux et les cartes de crédit ont proliféré grâce au « miracle économique chilien » qui enregistrait une croissance de 6% par an. Mais beaucoup de Chiliens veulent une société qui a plus de sens. Ils se souviennent de la tradition chilienne du socialisme démocratique à laquelle a mis fin le renversement du président Salvador Allende le 11 septembre 1973.

De nouvelles mobilisations sont prévues pendant la semaine prochaine, dont une journée de grève. On a appelé à des manifestations similaires dans d’autres pays d’Amérique Latine aussi.

Roger Burbach

Roger Burbach est le directeur du Center for the Study of the Americas (CENSA).

Pour consulter l’original : http://www.counterpunch.org/burbach08152011.html

Traduction : Dominique Muselet pour LGS

Note :

*Plébiscite et référendum : Les deux permettent au peuple de s’exprimer sans intermédiaires. Mais, tandis que le premier porte sur un texte, le second traduit la confiance accordée à un homme. Ici il semble que l’auteur les emploie indifféremment.

URL de cet article 14397
http://www.legrandsoir.info/les-etudiants-chiliens-descendent-dans-la-rue-counterpunch.html

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Troubles civils en Suède!

17 Août 2011 police suédoise – STOCKHOLM – De violents troubles ont éclaté pendant la nuit à Göteborg, la deuxième plus grande ville de Suède. Plusieurs officiers ont été attaqués par des jeunes, lançant des pierres et des cocktails Molotov. La police a déclaré que nul n’a été gravement blessé dans les échauffourées, mais au moins deux agents de police ont eu les yeux brûlés après avoir été la cible d’une lumière laser verte.

La police a déclaré avoir arrêté deux personnes pour vandalisme sur un tramway juste avant minuit, dans la nuit de mardi à mercredi, ce qui pourrait être la cause de cette montée de violence.

Deux voitures de police ont également été attaquées et une autre voiture a été complètement calcinéee. Il n’y a cependant eu aucune arrestation, a déclaré ce jour le porte-parole de la police, Lars-Gunnar Gustafsson.

La tension sociale semble désormais s’étendre à l’Europe, et en temps de crise, aucun pays européen ne semble plus à l’abri de débordements.

Ghisham Doyle pour WikiStrike

http://wikistrike.over-blog.com/

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Trader Noé – Flash Alerte en préparation

Ce mercredi 17 août 2011, BNP et Société Générale terminent la séance avec -2.16 % et -2.51 % alors que l’indice CAC 40 progresse de 0.73 %.
Ceci est bien étrange d’autant plus que les ventes à découvert sont interdites pour encore une dizaine de jours.
Nous en profitons pour préciser que si BNP ne repasse pas rapidement au-dessus des 37.5 (ce qui est à souhaiter), la tendance baissière risque de s’amplifier.

Depuis nos 2990 points sur l’indice CAC 40, nous avions parlé d’un rebond autour des 3250 points sur le CAC 40 et 1184-1200 pour le SP 500. Nous y sommes !
En regardant les marchés US, notamment le contrat à terme E-mini S&P 500, nous constatons que celui-ci est nerveux et manque de dynamique haussière.

Quelque chose d’important se déroule devant nous !

La main anonyme a probablement attendu que les gérants cupides achètent les actions bon marché.
Il faut toujours une contre partie et le but de cette main est d’emmener, clients, gérants, sociétés de gestion, banques européennes au tapis !

Si l’indice E-mini SP500 casse les 1178, le CAC 40 cassera a son tour les 3180 points par effet domino.
La main devrait prochainement vous montrer sa puissance !
Un grand ratissage !
Beaucoup seront fauchés et d’autres penseront à se recycler.

Bien sûr, ceux qui ne croient pas en l’existence de la main anonyme, peuvent toujours discuter sur le forum des « bisounours ».
Encore mieux, allumez votre télévision, je vous rassure tout va bien !

http://liesidotorg.wordpress.com/

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Washington tente de voler 1,5 milliard de dollars pour payer ses salariés du CNT La main dans le sac !

par Thierry Meyssan

Les États-Unis ont tenté de s’emparer lundi dernier d’1 500 000 000 de dollars appartenant à l’État libyen, mais en ont été empêchés in extremis par l’Afrique du Sud. Les documents produits lors de cet épisode, et que révèle le Réseau Voltaire, attestent que les membres du CNT et leurs fonctionnaires sont directement salariés par un organe US.

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Susan E. Rice, représentante permanente des États-Unis à l’ONU.

©UN Photo/Paulo Filgueiras

Mardi 9 août 2011, Sana Khan, secrétaire du Comité des sanctions mis en place par la résolution 1970 du Conseil de sécurité, a transmis aux membres du Comité un avis émanant de l’ambassadrice Susan Rice, représentante permanente des États-Unis à l’ONU.

Dans cette missive, dont le Réseau Voltaire s’est procuré une copie [document téléchargeable au bas de cette page], Washington informe le Comité de son intention de dégeler 1 500 000 000 de dollars appartenant à la Banque centrale de Libye, à l’Autorité libyenne d’investissement, à la Banque étrangère de Libye, au Portefeuille d’investissement libyen en Afrique et à la Compagnie nationale libyenne du pétrole.

Arguant que ce dégel est légal lorsque les fonds sont destinés à des fins humanitaires ou civiles (article 19 de la Résolution 1970 [1]), Washington indique qu’il affectera unilatéralement cette somme comme suit :

- 500 000 000 de dollars à des organisations humanitaires de son choix « pour répondre aux besoins humanitaires actuels et à ceux que l’on peut anticiper, dans la ligne de l’appel des Nations Unies et de ses mises à jour prévisibles » ;

- 500 000 000 de dollars à « des sociétés d’approvisionnement en fuel et en biens humanitaires nécessaires  » ;

- 500 000 000 de dollars au Temporary Financial Mechanism (TFM) pour « payer les salaires et les dépenses de fonctionnement des fonctionnaires libyens, des dépenses alimentaires, de l’électricité et d’autres achats humanitaires  ». Sur cette somme, 100 000 000 de dollars seront provisionnées afin d’être ultérieurement affectés aux besoins humanitaires des Libyens dans les zones non contrôlées par le Conseil de transition nationale (CNT) lorsque celui-ci aura établi « un mécanisme crédible, transparent et effectif » pour les leur transmettre.

En clair, les États-Unis ont informé le Comité des sanctions de leur intention de s’emparer 1,5 milliard de dollars qu’ils attribueraient pour un tiers à leurs propres services humanitaires (USAID…), pour un second tiers à leurs propres multinationales (Exxon, Halliburton etc.), et pour le restant au TFM, un bureau du LIEM, lequel n’est qu’un organe officieux créé par Washington et avalisé par le Groupe de contact pour administrer la Libye [2].

Washington a fait savoir qu’il considérerait avoir l’accord tacite du Comité des sanctions dans les cinq jours suivant la réception de sa notification.

Malheureusement, la Libye ne pouvait pas s’opposer à ce vol, car elle n’est pas représentée à ce Comité. En effet, son ancien ambassadeur a fait défection, et —en violation de l’Accord de siège— le Département d’État n’a toujours pas délivré de visa à son nouvel ambassadeur.

Washington entendait bien profiter de cette absence forcée pour s’emparer du butin. Au demeurant, la France a déjà ouvert une brèche en volant 128 millions de dollars dans les mêmes conditions.

C’est en définitive le représentant permanent de l’Afrique du Sud, l’ambassadeur Baso Sangqu, qui a fait obstacle à la manœuvre.

Outre la rapacité des États-Unis, cet invraisemblable épisode confirme que l’auto-proclamée « Libye libre » de Benghazi et Misrata n’est pas gouvernée par le Conseil national de transition (CNT). Celui-ci n’est qu’une façade, au demeurant fort lézardée. L’Est de la Libye, contrôlé par l’OTAN, est administré par le Libyan Information Exchange Mechanism (LIEM), un organe informel, sans personnalité juridique, mis en place à Naples par les seuls États-Unis, même si certains de ses employés sont des Italiens.

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Les fonds que l’on présente comme attribués au CNT sont en réalités remis au LIEM qui les utilise pour salarier les membres du CNT et leurs fonctionnaires. La différence est de taille : le Conseil national de transition n’a pas de politique propre, il se contente d’exécuter la politique des États-Unis. Et c’est bien normal lorsque l’on sait que le CNT n’a pas été formé lors des événements de Benghazi, mais plusieurs années avant à Londres comme un gouvernement provisoire en exil.

Par conséquent, l’action militaire des États-Unis et de leurs alliés de l’OTAN ou du Conseil de coopération du Golfe n’a pas pour objectif de mettre en œuvre la protection des civils prévue par la résolution 1973, et encore moins la « libération des Libyens », mais bien la colonisation du pays.

Mondialisation.ca

http://leveil2011.syl20jonathan.net/

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Lettre ouverte aux « inconnus actionnaires » de la FED, de la BCE, des banques et de tout autres organismes financiers parasites

Chers inconnus,
Votre système financier mis en place, non sans arrière pensées manichéennes, s’écroule.
Oh, je sais que cela ne vous effraie pas car c’est le but occulte que certains de vous, visez depuis fort longtemps, pour arriver à une domination et une soumission totale des êtres humains de la planète.
En créant d’abord le chaos par les guerres et les divisons et en venant ensuite, par le truchement de nos hommes politiques, proposer vos solutions d’un nouvel ordre mondial régit par on ne saurait qui, c’est-à-dire vous chers inconnus, vous cherchez à rassurer les peuples de tous les états du monde pour mieux les manipuler.

Ce que je n’ai pas encore complètement saisi, et je ne dois pas être le seul, c’est la finalité de cet objectif, mais j’ai bien peur qu’il ne soit joli, joli !
Le maintien des peuples dans l’oisiveté, l’ignorance et l’inculture vous ont permis depuis des lustres de faire croire aux gens que la finance et la gestion des démocraties étaient des sciences si compliquées qu’il fallait vous les laisser.
Vous avez même réussi, avec la complicité d’homme politique à vos bottes, à ôter aux états leurs indépendances financières et aujourd’hui, tel des dieux, vous seuls, chers inconnus, avez le pouvoir de créer l’argent !
Mais qu’est ce que l’argent ? Est ce que l’argent fait pousser les légumes ? Est ce que l’argent construit des logements pour tous, des routes ? Est ce que l’argent met à la disposition de tous de l’eau, de l’électricité ? Est ce que l’argent peut nous élever
spirituellement et nous faire comprendre le monde et l’univers qui nous entourent. NON, Je dis non, tout ce que nous faisons tout ce que nous créons, tout ce que nous apprenons nous vient de cette terre qui est la mienne, la notre, autant que la votre chers inconnus.

Nous avons seulement besoin de bras humains, de volonté et d’intelligence pour le faire. Pour satisfaire chaque être humain, il nous faut simplement trouver le mécanisme qui fera que chacun selon ses compétences participera à l’effort commun.
Travailler toute une vie n’est pas une fin en soi. Participer un temps donné à l’effort commun est un devoir.
Trimer toute une vie pour vous, chers inconnus, qui nous faites croire que nous accéderons par le travail au nirvana d’avoir de l’argent et, exclusivement grâce a cela, une vie plus décente, est un leurre.
Il y a fort longtemps les humains et plus récemment nos parents, que vous exploitiez déjà, vivaient aussi dans des maisons construites sur des terrains de cette planète. Ils
plantaient, ils cultivaient, ils fabriquaient de tout et de rien, eux aussi. Et pourtant ils n’ont pas eu besoin de cette masse d’argent qu’aujourd’hui, plus encore qu’hier, vous voulez nous faire vénérer en pensant que nous ne pourrions vivre voir survivre sans.

Les évolutions techniques et pratiques dont nous profitons aujourd’hui sont dues a l’avancée et aux développements des connaissances et de l’intelligence humaine pas a la multiplication de vos billets.
D’ailleurs les scientifiques, les chercheurs et tous les travailleurs hommes et femmes qui, de tout temps, ont fait avancer l’humanité n’ont jamais été les plus riches et les mieux payés. Non, les plus nantis sont les improductifs : financiers, sportifs, artistes, traders,
etc. Preuve s’il en est que ce ne sont pas vos billets qui font évoluer le monde mais la sueur et l’abnégation de millions d’anonymes. Votre système monétaire n’est la que pour avilir les populations.

CELA DOIT CESSER.

Aujourd’hui, ou nous continuons de croire que seuls vous, chers inconnus, êtes capables, avec nos hommes politiques à vos ordres, de régler l’insoluble problème des dettes mondiales que vous avez sciemment engendrées et nous restons les pantins de votre théâtre apocalyptique.
Ou, NOUS peuples de tous les pays de notre planète commune, décidons que la manipulation par votre système esclavagiste n’a que trop durée et qu’il y a assez d’hommes sains, compétents et altruistes sur cette planète pour réfléchir et changer notre futur et le futur de nos enfants avec ou sans vous.

La conscience humaine évolue. Personne à ce jour ne peut accepter de continuer à être géré par une poignée d’aigrefins qui avance à visage couvert.
Chers inconnus, actionnaires de la FED de la BCE et autres qui voulez régenter le monde, et qui vous cachez derrière des marionnettes politiques, nous voulons voir vos visages et entendre vos paroles. Montrer vous et venez expliquer aux peuples du monde pourquoi vous seriez les dirigeants inamovibles du présent et du futur de la planète.
L’avenir est sombre mais rien n’est figé dans le marbre, l’espoir demeure.
De tous temps, Il y a eu des hommes pour contrer vos desseins morbides, aujourd’hui des millions d’hommes à travers internet veillent et veulent savoir.
©Dominique Melay
Un homme en colère de plus.

http://lesmoutonsenrages.fr/

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Egypte : un  »agent du Mossad » accusé de vouloir attenter à la fertilité des Egyptiens

Selon le journal égyptien Al Ahram,  »l’agent du Mossad israélien Ofir Harari », accusé d’espionnage au profit d’Israël,  »voulait attenter à la fertilité des Egyptiens ». L’agent israélien présumé aurait ainsi recommandé à son collègue jordanien, Bachar Abou Zayid de  »monter une société en Egypte qui importerait en exclusivité un produit capillaire israélien, destiné aux hommes et aux femmes, provoquant la stérilité ».
http://www.guysen.com/

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Au Japon redémarrage du premier réacteur nucléaire depuis Fukushima

 

Le réacteur numéro 3 de la centrale Tomari, construite sur l’île de Hokkaido (Nord), « a été remis en exploitation commerciale à 16 heures [9 heures en France] après avoir obtenu le feu vert des autorités », a annoncé son opérateur, Hokkaido Electric Power (Hepco). La gouverneure de la préfecture de Hokkaido, Harumi Takahashi, avait de son côté déclaré qu’elle avait discuté avec les quatre municipalités concernées par la centrale et qu’il n’y avait « aucune objection » au redémarrage du réacteur.

Près des trois-quarts des cinquante-quatre réacteurs nippons sont actuellement à l’arrêt pour maintenance ou par mesure de sécurité, alors que de plus en plus de Japonais se déclarent opposés à leur redémarrage, en raison des risques de séisme ou de tsunami.

VERS UN RECOURS AUX ÉNERGIES RENOUVELABLES

Le premier ministre, Naoto Kan, s’est lui-même prononcé en faveur d’un abandon progressif de l’électricité d’origine nucléaire et d’un recours aux énergies renouvelables. Mais le puissant ministère de l’économie et de l’industrie (METI) est, lui, favorable à la remise en exploitation commerciale des réacteurs ayant satisfait aux tests de sûreté imposés par le gouvernement.

Hepco maintenait le réacteur 3 en activité depuis le 7 mars, mais n’avait pas officiellement relancé les opérations commerciales en raison de la catastrophe de Fukushima. L’agence de sûreté industrielle et nucléaire, qui dépend du METI, a indiqué que les derniers tests avaient été achevés la semaine dernière.

http://www.lemonde.fr/japon/article/2011/08/17/au-japon-redemarrage-du-premier-reacteur-nucleaire-depuis-fukushima_1560348_1492975.html

 
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Publié par le 17 août 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
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