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Archives du 23 février 2011

Nouvelle-Zélande : Près de 400 morts ou disparus

CHRISTCHURCH – Les secouristes ont redoublé d’efforts pour tenter de sauver des survivants du séisme qui a fait 75 morts et 300 disparus mardi, encore coincés sous les décombres à Christchurch, en Nouvelle-Zélande, mais l’espoir d’en découvrir s’amenuisait jeudi.

Le Premier ministre, John Key, a décrété l’état d’urgence au niveau national après ce tremblement de terre survenu mardi à la mi-journée, le plus meurtrier depuis 80 ans en Nouvelle-Zélande.

Christchurch, deuxième ville du pays avec 340 000 habitants, et sa région viennent de connaître «la mort et la destruction à une échelle épouvantable», a déclaré le chef du gouvernement.

«Nous espérons pouvoir encore trouver des survivants, mais avec le temps qui passe, l’espoir s’atténue», a expliqué tôt jeudi matin (heure locale) un haut responsable de la police, Russell Gibson, à la chaîne de télévision TV3.

Depuis mercredi après-midi, aucun survivant n’a été découvert dans les décombres et l’envoi de messages de sinistrés par téléphone portable a déjà cessé depuis plus de 24 heures, a-t-il expliqué.

M. Key a de son côté déclaré à TV3 que la raison pour laquelle les sauveteurs pensent dorénavant trouver surtout les corps de victimes décédées est «qu’ils ne reçoivent plus de signaux positifs que des gens sont encore là».

Pour certains bâtiments, la police a abandonné tout espoir. Ainsi, les opérations ont été arrêtées pour l’immeuble CTV, au centre-ville, qui abrite les locaux de la télévision régionale Canterbury Television et une école de langue pour étudiants étrangers.

Entre 50 et 100 personnes sont portées disparues comme victimes éventuelles dans ce bâtiment, mais le chiffre est très incertain, car on ignore combien de gens s’y trouvaient au moment du séisme et si certains d’entre eux ont pu se réfugier ailleurs, a indiqué M. Gibson jeudi.

Dans un autre bâtiment, l’immeuble PGG, il pourrait y avoir 20 personnes ensevelies, selon lui.

Le bilan global provisoire des autorités restait à 75 morts et environ 300 disparus.

Environ 500 secouristes travaillant au milieu des ruines sont parvenus à dégager une trentaine de personnes, avait indiqué M. Gibson mercredi soir.

«C’est un véritable carnage dans toute la ville», a-t-il dit. «Des corps sont piégés dans des voitures, ou sous des décombres».

La ville était toujours privée de courant et plusieurs répliques du séisme ont rendu le travail des secours difficile.

Les sauveteurs ont dû amputer des membres de survivants pour les extraire des décombres. «C’est incroyable. Nous avons sorti des gens qui avaient à peine une égratignure et d’autres qu’il a fallu amputer pour les libérer», a expliqué le commissaire Gibson.

Les Etats-Unis, le Japon, la Grande-Bretagne, la Corée du Sud, Taïwan et l’Australie ont envoyé des spécialistes pour participer aux recherches.

Une première estimation des dégâts, effectuée par la société AIR Worldwide, fait état de coûts pouvant aller jusqu’à 11,5 milliards de dollars néo-zélandais (6,3 milliards d’euros) pour les compagnies d’assurance chargées de rembourser les entreprises et les particuliers pour les dommages subis.

Le tremblement de terre a eu lieu mardi à 12H51 (lundi à 23H51 GMT) à 5 km de Christchurch et à seulement 4 km de profondeur, ce qui le rendait d’autant plus dévastateur. Il survient six mois après un autre séisme, toujours à Christchurch, de magnitude 7, qui n’avait fait ni mort ni blessé.

La Nouvelle-Zélande, située sur la ceinture du feu, à la frontière des plaques tectoniques australienne et du Pacifique, enregistre jusqu’à 15 000 secousses sismiques par an.

 
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Publié par le 23 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Les impôts en France illégaux?

Si je connais en Allemagne des personnes qui ont réussi à faire valoir leurs droits (= qui ne paient plus d’impôts), par contre je n’en connais pas en France.
Pourtant il semblerait que ce holdup étatique ne soit pas légal non plus, exactement comme aux USA, au Canada, en Allemagne.

Attention! Vérifiez par vous même toute information. Ne croyez rien. Vous n’aurez de succès que si vous êtes absolument sur de vous. Etre dans son droit est un chose, le faire reconnaitre, c’est autre chose.

Témoignages et recommandations ainsi que compléments d’information sont bienvenus.

le texte suivant est de Chritian Cotten, je le reprends comme tel, sans n’avoir rien vérifié. N’attendez pas que quelqu’un le fasse pour vous. C’est votre conviction et détermination qui vous permettra d’avoir du succès lors d’éventuelles démarches, pas celle de quelqu’un d’autre.

Et aussi: Le pauvre fonctionnaire des impôts, il faut l’informer, pas lui tirer dessus.

 

Communication personnelle et d’humeur de Christian Cotten, qui n’engage que son auteur…

Bonjour,

Si vous avez des soucis pour payer vos impôts, je vous suggère vivement de communiquer par écrit le texte ci-joint à vos interlocuteurs au sein de l’administration fiscale, avec cette simple question : auriez-vous l’obligeance, après lecture attentive du document ci-joint, de me confirmer de façon précise et motivée la justification légale et constitutionnelle des impôts que vous me réclamez ?

Quand l’État Français ne réussira plus à faire rentrer l’impôt, les politiques seront obligés de reprendre le pouvoir aux comptables et aux banquiers et de retrouver la souveraineté fondamentale de tout pouvoir politique : la création monétaire et le développement de la masse monétaire pour soutenir croissance et plein emploi.  

Or, nos politiques sénescents actuels sont strictement incapables de créer la prospérité en agissant sur la monnaie, ce qui nous entraîne de plus en plus vite vers une crise socio-économique sans précédent.

Je vous invite donc à mettre en oeuvre, en citoyens responsables et conscients des enjeux politiques de l’heure, un arrêt complet et définitif du paiement de tout impôt quel qu’il soit à l’État Français et aux Collectivités Locales, (impôts sur le revenu, impôts locaux et fonciers, TVA pour les commerçants, artisans, professions libérales etc) en utilisant simplement l’exigence fondamentale du respect de nos droits fondamentaux de citoyen français, tel que cela est parfaitement exposé dans le texte ci-joint dont la diffusion est totalement encouragée.

Nous savons depuis longtemps que 10% des Français qui ne paient plus l’impôt suffira le moment venu à arrêter toute la machine, les agents du fisc n’étant pas assez nombreux pour faire face à une grève générale des impôts.

Et pour vous convaincre que l’État Français n’a absolument pas besoin de nos impôts, lisez le second texte joint : « Pour une Politique Monétaire Active » élaboré par un groupe d’experts reliés à Politique de Vie. Ce texte explique très clairement comment la France et l’Europe toute entière pourraient assumer une véritable politique de création monétaire pour soutenir la prospérité économique. Quand celle-ci sera revenue, il sera toujours temps de voir si cela est vraiment indispensable de nous persécuter mutuellement avec des impôts.
En plus d’être assez fréquemment prédateurs et mafieux, nos grands banquiers, financiers et autres comptables franco-français sont en réalité bien souvent totalement incompétents : comme les ordinateurs, les cerveaux humains deviennent obsolescents, certains plus vite que d’autres.

Nos cerveaux financiers actuellement au pouvoir sont désormais intellectuellement périmés. À tous les citoyens souverains d’en tirer les conséquences qui s’imposent, sans pour autant nous précipiter dans les bras des tribuns primaires : l’action citoyenne, en matière d’impôts comme en matière de consommation, est un moyen d’action bien plus efficace que le vote.

Notre devoir de citoyen et de démocrate est d’aider nos élites politiques à sortir de leurs incompétences et le meilleur moyen est de les y obliger en leur coupant les vivres : quand Bercy ne pourra plus rentrer l’impôt faute de pouvoir démontrer la légalité du Code Général des Impôts, ils réfléchiront et trouveront d’autres solutions pour que l’État puisse continuer à assumer ses fonctions.

Souhaitons leur bon courage et, en attendant, sortez de vos fins de mois difficiles en assumant d’écrire une simple lettre à vos Trésoriers Publics.

Très cordialement,

Christian Cotten

PS. pour tous ceux qui vont penser « il est complètement fou » : je ne suis pas tout seul.  

Et la folie d’aujourd’hui, c’est la créativité de demain et l’ordinaire d’après-demain.

Je préfère que nous arrêtions de payer l’impôt pour obliger les politiques à réfléchir et retrouver les chemins de la prospérité plutôt que les gendarmes – qui ont le droit de le faire – tirent sur des manifestations de chômeurs, de Sdf et de jeunes banlieusards désespérés, dans un si beau pays en récession économique dirigée par des sous-équipés du cortex adeptes de la pensée zéro et de la langue de bois.

Enfin, si vous ne l’avez pas encore lu, je vous rappelle la sortie en librairie de Mafia ou Démocratie, Prophétie pour une VIème République, qui expose les grandes lignes du programme politique de Politique de Vie pour quelques années… Si votre libraire ne l’a pas en rayon, demander-lui de le commander chez DG Diffusion (Éditions Louise Courteau). Et faites vite, car le premier tirage est presque épuisé et le nouveau est encore dans le bateau… Vous pouvez aussi me le commander directement (voir : http://www.lvo.info/mafiaoudemocratie).

——————-
Christian Cotten

POLITIQUE DE VIE
BP 108
92106 BOULOGNE-BILLANCOURT Cedex   

http://www.politiquedevie.net

http://www.lvo.info/mafiaoudemocratie

chriscotten@wanadoo.fr
politiquedevie@wanadoo.fr
mafia.ou.democratie@free.fr

Le Code général des Impôts n’existe pas

Auteur anonyme, octobre 2003 – Repris par Politique de Vie

 

Beaucoup de justiciables cherchent désespérément un document le plus élémentaire qui soit :

L’acte de ratification par le Parlement de la PARTIE LÉGISLATIVE DU CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS.

 L’examen du CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS montre qu’il est divisé en deux parties :

  • · La partie législative.
  • · La partie réglementaire.

Des le début de ses études, l’étudiant de capacité en droit connaît la différence entre :

  • · Textes législatifs faits par le pouvoir législatif (LOIS).
  • · Textes réglementaires faits par le pouvoir exécutif (DÉCRETS, ARRÊTÉS).

OR, pour le CODE GÉNÉRAL DES IMPOTS, on ne trouve trace

d’aucun texte législatif à l’origine de la partie législative du C.G.I.

 

Le Mégacode Dalloz « CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS » l’expose très clairement dans son « AVERTISSEMENT » :

« Le Code Général des Impôts a été promulgué par un décret du 6 avril 1950 et mis à jour depuis par plusieurs décrets (…)

« Au Code Général des Impôts proprement dit s’ajoutent les textes réglementaires (…) »

La partie législative du CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS n’a pas été faite par le législateur

mais par le gouvernement, par le pouvoir exécutif, pas par le Parlement.

 

Il n’y a donc pas de partie législative du CODE GÉNÉRAL DES IMPOTS

Et pour cause, IL N’Y EN A PAS. ET CE, EN VIOLATION DE LA CONSTITUTION.

Le juge n’a pas à contrôler la CONSTITUTIONNALITÉ d’une loi. ICI, il n‘y a pas de loi.

Pourtant s’il y a une partie législative distincte d’une partie réglementaire dans le CODE GÉNÉRAL DES IMPOTS, c’est bien pour distinguer les textes législatifs et les textes réglementaires, ou alors les mots n’ont plus de sens, et le mot d’impôt non plus.

C’est la Constitution qui définit la différence entre les textes législatifs et les textes réglementaires et celui qui est AUTORISÉ à les faire.

Il suffit de lire le texte de la Constitution du 4 octobre 1946, sous laquelle a été pris le texte du CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS.

Le texte qui a été pris pour faire la partie législative du CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS est un décret, le décret du 6 avril 1950, qui par définition, n’est pas une loi.

« Article 3. – La souveraineté nationale appartient au peuple français.« Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice.« Le peuple l’exerce, en matière constitutionnelle, par le vote de ses représentants et par le référendum.« En toutes autres matières, il l’exerce par ses députés à l’Assemblée nationale, élus au suffrage universel, égal, direct et secret. (…)« Article 13. – L’Assemblée nationale vote seule la loi. Elle ne peut déléguer ce droit.« Article 14. – Le président du Conseil des ministres et les membres du Parlement ont l’initiative des lois. Les projets de loi et les propositions de loi formulés par les membres de l’Assemblée nationale sont déposés sur le bureau de celle-ci. Les propositions de loi formulées par les membres du Conseil de la République sont déposées sur le bureau de celui-ci et transmises sans débat au bureau de l’Assemblée nationale. Elles ne sont pas recevables lorsqu’elles auraient pour conséquence une diminution de recettes ou une création de dépenses.« Article 15. – L’Assemblée nationale étudie les projets et propositions de loi dont elle est saisie, dans des commissions dont elle fixe le nombre, la composition et la compétence.« Article 47. – Le président du Conseil des ministres assure l’exécution des lois. »Aucun droit au pouvoir exécutif à faire une loi A LA PLACE du pouvoir législatif.Dire le contraire amènerait comme conclusion et conséquence tragique qu’il n’y a pas de séparation des pouvoirs dans la République Française,Or, comme l’expose la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, reprise dans le Préambule de la Constitution en vigueur :« Préambule

 

« Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946. »

 « Article 16 – Toute société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée, n’a point de Constitution. AINSI ACCEPTER D’APPLIQUER LA PARTIE LEGISLATIVE DU C.G.Ifaite de façon incontestée par un décret, le décret du 6 avril 1950,ce serait priver la République de ConstitutionEt donc saper toute autorité dans tout le pays. En ce qui concerne les textes législatifs et réglementaires, il en est de même sous l’empire de la constitution en vigueur, celle de la Vème République :La Constitution du 4 octobre 1958 est le texte fondateur de la Ve République. Adoptée par référendum le 28 septembre 1958, elle organise les pouvoirs publics, en définit leur rôle et leurs relations.Elle est le quinzième texte fondamental (ou le vingt-deuxième si l’on compte les textes qui n’ont pas été appliqués) de la France depuis la Révolution Française.Norme suprême du système juridique français, elle a été modifiée à dix-sept reprises depuis sa publication par le pouvoir constituant, soit par le Parlement réuni en Congrès, soit directement par le peuple à travers l’expression du référendum.A la révision du 22 février 1996, la Constitution était subdivisée en quinze titres, soit un total quatre-vingt-six articles et un Préambule.La révision du 28 juin 1999 ajoute un alinéa et un article, soit désormais seize titres, quatre-vingt-neuf articles et un Préambule.Ce dernier renvoie directement et explicitement à deux autres textes fondamentaux : la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789 et le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 (la Constitution de la IVe République).Les juges n’hésitant pas à les appliquer directement, le législateur étant toujours soucieux de les respecter, sous le contrôle vigilant du juge constitutionnel, ces énumérations de principes essentiels ont leur place dans le bloc de constitutionnalité.Sa dernière modification est la Loi constitutionnelle no 2003-276 du 28 mars 2003 relative à l’organisation décentralisée de la République.OR :On ne peut que constater que la Constitution de la Vème république prévoit de façon explicite que la loi n’est votée que par le Parlement« Art. 34. – La loi est votée par le Parlement. La loi fixe les règles concernant :

  • · les droits civiques et les garanties fondamentales accordées aux citoyens pour l’exercice des libertés publiques ;
  • · les sujétions imposées par la Défense Nationale aux citoyens en leur personne et en leurs biens ;
  • · la nationalité, l’état et la capacité des personnes, les régimes matrimoniaux, les successions et libéralités ;
  • · la détermination des crimes et délits ainsi que les peines qui leur sont applicables ; la procédure pénale ;
  • · l’amnistie ;
  • · la création de nouveaux ordres de juridiction et le statut des magistrats ;
  • · l’assiette, le taux et les modalités de recouvrement des impositions de toutes natures ;
  • · le régime d’émission de la monnaie.
  • · La loi fixe également les règles concernant : le régime électoral des assemblées parlementaires et des assemblées locales la création de catégories d’établissements publics ; les garanties fondamentales accordées aux fonctionnaires civils et militaires de l’Etat ; les nationalisations d’entreprises et les transferts de propriété d’entreprises du secteur public au secteur privé.
  • · La loi détermine les principes fondamentaux : de l’organisation générale de la Défense Nationale ; de la libre administration des collectivités territoriales, de leurs compétences et de leurs ressources ; de l’enseignement ; du régime de la propriété, des droits réels et des obligations civiles et commerciales ; du droit du travail, du droit syndical et de la sécurité sociale.
  • · Les lois de finances déterminent les ressources et les charges de l’Etat dans les conditions et sous les réserves prévues par une loi organique.
  • · Les lois de financement de la sécurité sociale déterminent les conditions générales de son équilibre financier et, compte tenu de leurs prévisions de recettes, fixent ses objectifs de dépenses, dans les conditions et sous les réserves prévues par une loi organique.
  • · Des lois de programmes déterminent les objectifs de l’action économique et sociale de l’Etat. Les dispositions du présent article pourront être précisées et complétées par une loi organique.

« Art. 37. – Les matières autres que celles qui sont du domaine de la loi ont un caractère réglementaire. Les textes de forme législative intervenus en ces matières peuvent être modifiés par décrets pris après avis du Conseil d’Etat. Ceux de ces textes qui interviendraient après l’entrée en vigueur de la présente Constitution ne pourront être modifiés par décret que si le Conseil Constitutionnel a déclaré qu’ils ont un caractère réglementaire en vertu de l’alinéa précédent.« Art. 38. – Le Gouvernement peut, pour l’exécution de son programme, demander au Parlement l’autorisation de prendre par ordonnances, pendant un délai limité, des mesures qui sont normalement du domaine de la loi. « Les ordonnances sont prises en Conseil des Ministres après avis du Conseil d’Etat. Elles entrent en vigueur dès leur publication mais deviennent caduques si le projet de loi de ratification n’est pas déposé devant le Parlement avant la date fixée par la loi d’habilitation. A l’expiration du délai mentionné au premier alinéa du présent article, les ordonnances ne peuvent plus être modifiées que par la loi dans les matières qui sont du domaine législatif. »A moins de vouloir faire de la République Française une nation SANS CONSTITUTION, on ne voit pas l’intérêt à violer ainsi les principes les plus fondamentaux.
Un autre aspect non moins tragique est le fait que maintenir une demande d’une somme due par les fonctionnaires de l’administration fiscale, ainsi que toute personne qui en serait leur complice, sur le fondement du CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS actuel tombe sous le coup de l’article 432-10 du Code Pénal en vigueur : CODE PÉNAL article 432-10, réprimant l’infraction de concussion et tentative : « Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, de recevoir, exiger ou ordonner de percevoir à titre de droits ou contributions, impôts ou taxes publics, une somme qu’elle sait ne pas être due, ou excéder ce qui est dû, est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 500.000 F d’amende. « Est puni des mêmes peines le fait, par les mêmes personnes, d’accorder sous une forme quelconque et pour quelque motif que ce soit une exonération ou franchise des droits, contributions, impôts ou taxes publics en violation des textes légaux ou réglementaires.« La tentative des délits prévus au présent article est punie des mêmes peines. » La Circulaire du Garde des Sceaux relative au nouveau code pénal applicable au 1er mars 1994 exposait à ce sujet : « Section 3. – Cette section reprend les infractions traditionnelles que sont la concussion, la corruption, le trafic d’influence, la prise illégale d’intérêt et la soustraction ou le détournement de biens publics. « Paragraphe 1. – De la concussion : « Les dispositions de l’article 432-10 réprimant la concussion reprennent en les simplifiant les dispositions de l’actuel article 174. Les éléments constitutifs de cette infraction ne sont pas modifiés. Il n’est plus précisé que les bénéficiaires de la concussion sont punis comme complices, ainsi que l’indique aujourd’hui l’avant dernier alinéa de l’article 174, les règles de droit commun de la complicité ou les dispositions réprimant le recel permettant de les sanctionner dès lors qu’ils connaissent le caractère frauduleux des exonérations dont ils ont fait l’objet. La peine d’emprisonnement encourue est inchangée (cinq ans). L’amende est portée de 40.000 à 500.000 F. »Au niveau de la connaissance de l’infraction, on imagine mal vu le niveau de recrutement et de formation des personnes de l’administration fiscale que les fonctionnaires triés sur le volet ne sachent pas la différence entre décret et loi, texte réglementaire et législatif, et ignorent ce qu’on doit leur apprendre dés le début de leur formation : le CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS a été promulgué par décret, le décret du 6 avril 1950, comme le rappelle, pour ceux qui n’auraient pas appris cela dans leurs cours, le Code Dalloz « CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS » lui même.En tout état de cause, les fonctionnaires ou huissiers, fonctionnaires de police ou serruriers accompagnant les dits huissiers, ou banquiers, tous destinataires du présent avertissement citoyen, ne pourront plus prétendre ignorer l’impossibilité de demander une somme quelconque au nom de la partie législative du CODE GÉNÉRAL DES IMPÔTS.


Date de création : 18/03/2008 – 03:23
Dernière modification : 31/03/2008 – 17:45Source: mahamudras.blogspot.com

 
 

Kadhafi a ordonné l’attentat de Lockerbie, selon un ex-ministre

STOCKHOLM – Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a lui-même ordonné l’attentat de Lockerbie en 1988, a affirmé mercredi l’ex-ministre libyen de la Justice, Moustapha Abdel Jalil, au journal suédois Expressen.

« J’ai la preuve que Kadhafi a donné l’ordre pour Lockerbie », déclare le ministre, qui a démissionné lundi.

L’attentat contre un avion de la Pan Am au-dessus de Lockerbie, en Ecosse, pour lequel le Libyen Abdelbaset al-Megrahi a été condamné en 2001, avait fait 270 morts le 21 décembre 1988.

(©AFP / 23 février 2011 16h42)

 
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Publié par le 23 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Libye: au moins 640 morts depuis le début du soulèvement

PARIS – Les violences liées au soulèvement contre le régime libyen de Mouammar Kadhafi ont fait au moins 640 morts, dont 275 à Tripoli et 230 à Benghazi, soit plus du double du bilan officiel de 300 morts, a annoncé mercredi la Fédération internationale des ligues de droits de l’homme (FIDH).

(©AFP / 23 février 2011 16h48)

 
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Publié par le 23 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Manisfestations en Inde!

NEW DELHI – Au moins 100.000 syndicalistes ont défilé dans la capitale indienne mercredi,une protestation contre les prix élevés des denrées alimentaires et le chômage, l’empilement de pression sur une administration sous le feu des scandales de corruption.
Suite ici:
http://www.msnbc.msn.com/id/41730894/ns/world_news-south_and_central_asia/

 
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Publié par le 23 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Grèce: affrontements jeunes-police en marge d’un défilé de grève générale

ATHENES – Des affrontements ont éclaté mercredi dans le centre d’Athènes entre des dizaines de jeunes et les forces anti-émeute, scindant en deux un cortège de manifestants protestant contre l’austérité dans le cadre d’une grève générale de 24H, a constaté une journaliste de l’AFP.

Les forces de l’ordre, déployées en cordon devant le ministère des Finances, en bas de la place centrale de Syntagma ont tiré des gaz irritants et lacrymogènes pour repousser les jeunes, qui les visaient de divers projectiles.

La police s’est ensuite déployée pour repousser au delà de la place la masse des manifestants, scindée en deux par les incidents et dont beaucoup toussaient et suffoquaient. Mais les échaufourrées se sont poursuivies en contrebas du parlement avec des tirs de coktails molotov de la part des jeunes fauteurs de trouble.

Selon la police, les divers cortèges syndicaux à Athènes et au Pirée ont rassemblé quelque 20.000 personnes, et plus de 60.000 selon des estimations syndicales, soit une forte mobilisation. A Salonique, la police a chiffré les manifestants à quelque 16.000.

Quelque 5.000 policiers ont été déployés dans le centre d’Athènes face au risque de tels débordements, quasi-sytématiques ces dernières années lors des manifestations et qui avaient notamment émaillé la dernière manifestation syndicale accompagnant une grève générale le 14 décembre.

Le ministre de la Protection du citoyen, Christos Papoutsis, a appelé mardi au calme et à la « responsabilité », pour sauvegarder l’image du pays face à la « communauté internationale ».

Les manifestations étaient organisées par les deux grandes centrales du pays, la GSEE pour le privé et l’Adedy pour le public, ainsi que par le front syndical communiste Pame, dans le cadre d’une journée d’action de 24H contre la cure d’austérité prescrite au pays par l’Union duropéenne et le Fonds monétaire international en échange de son sauvetage financier.

CamLive:
http://www.livestream.com/stopcarteltvgr

http://www.zougla.gr/page.ashx?pid=85&type=&mid=110

 
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Publié par le 23 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Interdiction de fumer dans New York!!!

LE maire de New York Michael Bloomberg a signé une loi interdisant de fumer dans les parcs de la ville, plages, places publiques et les trottoirs.

L’interdiction entrera en vigueur 90 jours après la signature mardi. l’administration Bloomberg a interdit de fumer dans les restaurants, bars et autres espaces publics en 2002!!!
http://newsok.com/in-brief/article/3543150

 
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Publié par le 23 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
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