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Archives du 3 février 2011

L’hémisphère nord presque entièrement recouvert de neige!

© NOAA

La Terre vue de l’espace.

Non, il ne s’agit pas d’une reconstitution de la Terre pendant l’ère glaciaire mais bien d’une photo prise cette semaine par le NOAA (National Oceanic and Atmospheric Association), l’agence américaine responsable de l’étude de l’océan et de l’atmosphère.

Phénomène rarissime, de la côte ouest du Canada à l’extrême-est de la Russie, les pays de l’hémisphère nord sont logés à la même adresse, à l’exception notable de l’Europe occidentale.
Alors que cette image saisissante faisait son apparition en ligne, non loin de là, Al Gore présentait ses nouvelles thèses sur les conséquences du réchauffement climatique. A l’heure où un blizzard d’une violence sans précédent s’abat sur la côte est des Etats-Unis, paralysant plus de 30 Etats américains, l’ex-candidat à l’élection présidentielle a mis en cause dans une déclaration les effets pervers du réchauffement climatique pour justifier les impressionnantes chutes de neige.

Les éléments ne se déchaînent pas de la même façon d’un hémisphère à l’autre. Pendant que les chasse-neiges s’activent à Chicago, à l’autre bout du monde, le cyclone Yasi ravage la côte nord-est de l’Austalie avec des vents dépassant les 300km/h.

A.F.

http://www.7sur7.be/7s7/fr/5596/Copenhague-2009/article/detail/1217284/2011/02/03/L-hemisphere-nord-presque-entierement-recouvert-de-neige.dhtml

Réchauffement climatique oblige,plus il fait chaud,plus on va avoir froid,n’est-ce pas Mr Gore…!!!

De plus,sachant  que la neige crée un effet d’albedo (réflexion des rayons soleil sur la neige),il y a de fortes chances pour que le froid s’accentue de ce côté de l’émisphére.

Pour illustrer:

 
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Publié par le 3 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Après Moody’s et S&P, Fitch abaisse la note de l’Egypte d’un cran

PARIS – L’agence de notation Fitch a annoncé jeudi qu’elle dégradait d’un cran la note souveraine de l’Egypte, dans la foulée des deux autres agences Moody’s et Standard and Poor’s, à la suite de « l’intensification significative » de la vague de protestations dans le pays.

La note de la dette à long terme mais est placée sous surveillance négative, ce qui signifie qu’elle pourrait être de nouveau dégradée dans les trois mois.

Elle passe de BB+ à BB, montrant que l’Egypte reste considérée par Fitch comme un pays qui peut honorer sa dette mais qui « présente des caractéristiques spéculatives ».

« Cette dégradation reflète l’intensification significative de la révolte, au moment où débute ce qui semble être une transition politique volatile vers un nouveau gouvernement et les conséquences négatives croissantes pour l’économie et les finances du pays », affirme un responsable de Fitch, Richard Fox, dans un communiqué.

« La mise sous surveillance négative reflète elle le fossé entre les demandes des manifestants sur les réformes politiques et la position du gouvernement, ce qui risque de dégrader encore la situation politique et économique avant qu’une solution ne soit trouvée », ajoute-t-il.

Standard and Poor’s avait annoncé mardi avoir dégradé d’un cran la note de l’Egypte en la plaçant sous surveillance négative, au lendemain d’une décision similaire de Moody’s.

(©AFP / 03 février 2011 15h22)

 
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Publié par le 3 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

20 000 Yéménites pour « la journée de la colére »

Image: Opposition supporters shout slogans during an anti-government protest in Sanaa

20000 Yéménites remplissent les rues de Sanaa pour « la journée de la colére » éxigeant la démission du président  Saleh en scandant  » non à la corruption,non à la dictature ».

Plus ici:

http://today.msnbc.msn.com/id/41401994/ns/world_news-mideastn_africa/

Le Yémen n’est pas l’Egypte,là-bas, 1/3  du peuple est confronté à la faim et tout le monde ou presque est armée et ce n’est pas moins que de 3 armes par personne qui circuleraient dans le pays!

Le pays étant déjà trés instable,il est difficile de dire comment cela finirait si cela dégénérait!

Aux derniéres nouvelles:

– plus de 800 000 personnes seraient dans les rues.

– Tirs nourris pour disperser la foule dans la ville d’Aden.

Bab Al TV  live Yémen: http://wwitv.com/tv_channels/b5464.htm

 

 
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Publié par le 3 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Le Yémen et la Syrie entrent dans la danse

Exaspérés par le chômage et la pauvreté, les Yéménites réclament désormais le départ du président Saleh. Après une première manifestation jeudi à Sanaa, ils se rassembleront demain pour une «Journée de la colère». Le parti au pouvoir, le CPG, descendra aujourd’hui dans la rue en faveur du gouvernement. Les opposants rejettent une révision constitutionnelle qui doit être examinée par le Parlement le 1er mars et ouvrirait la voie à une élection à vie du Président, au pouvoir depuis 1978.

Vendredi, ce seront les Syriens qui descendront à leur tour dans la rue pour protester contre la «monocratie, la corruption et la tyrannie». L’appel a été lancé sur Facebook par un groupe de jeunes fort de 7 800 membres. Le site Facebook est bloqué par les autorités mais les internautes parviennent à contourner la censure. Samedi, les autorités avaient empêché un rassemblement de soutien aux Egyptiens.

http://www.liberation.fr/monde,10

 
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Publié par le 3 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

La place Tahrir au Caire se transforme en champ de bataille

Après une brève accalmie à la tombée de la nuit mercredi, la tension s’est ranimée vers 04h00 (02h00 GMT) lorsque des supporters de Moubarak ont tiré sur des manifestants qui campaient sur la place, lieu symbolique de leur révolte.

La chaîne de télévision Al Arabia, citant un médecin sur les lieux, a indiqué que quatre personnes ont été tuées et que 13 autres ont été blessées.

« C’est vraiment un champ de bataille », a raconté Mona, une manifestante interrogée par Al Djazira. « Nous ne partirons pas tant que Moubarak ne partira pas », a-t-elle ajouté.

Après une heure de tirs intenses, les chaînes de télévision ont montré les images de deux cadavres qui étaient évacués en étant traînés par les pieds.

Installés sur un pont surplombant la place, des partisans de Moubarak continuaient de lancer régulièrement des cocktails Molotov en direction des manifestants retranchés derrière des barricades de fortune.

Peu avant le lever du soleil, la télévision a montré des images de véhicules militaires qui se déployaient parmi les manifestants sans dissuader les assaillants.

ATMOSPHÈRE EXPLOSIVE

Tout au long de la journée de mercredi, les deux camps s’étaient affrontés à l’aide de pierres, de cocktails Molotov et de bâtons, maintenant une atmosphère explosive dans le centre du Caire.

Le ministre égyptien de la Santé, cité par Al Arabia, avait fait état de trois morts tandis qu’un médecin a dit à Reuters avoir comptabilisé 1.500 blessés environ dans le poste médical d’urgence installé sur la place.

Au moins 150 personnes auraient été tuées depuis le début de la révolte le 25 janviers mais, selon l’Onu, ce bilan serait plutôt de l’ordre de 300 tués et de 3.000 blessés.

Les opposants, dont 2.000 se trouvaient toujours mercredi soir sur la place Tahrir qu’ils occupent depuis 10 jours, ont affirmé que leurs agresseurs étaient des policiers en civil.

Le ministère de l’Intérieur a réfuté ces accusations tandis que le vice-président Omar Souleimane a appelé les manifestants à rentrer chez eux, mettant l’arrêt des manifestations comme condition préalable à l’ouverture d’un dialogue.

Cet appel destiné tant aux opposants qu’aux partisans du gouvernement n’a pas été entendu.

Moubarak, 82 ans, qui a annoncé mardi qu’il ne briguerait pas un sixième mandat lors de la présidentielle de septembre, n’entend pas connaître le sort de son homologue tunisien Zine ben Ali, contraint à une fuite humiliante.

Le président égyptien a indiqué qu’il ne se retirera qu’à l’automne et qu’il emploiera les prochains mois à organiser une transition politique.

« MAINTENANT, C’EST MAINTENANT »

Cette position de refus complique la tâche des Etats-Unis qui ne cessent d’afficher leur fermeté et se sont prononcés pour un départ immédiat du chef de l’Etat égyptien.

Dans une déclaration à la Maison blanche, Barack Obama, avait demandé mardi soir que la transition politique débute « maintenant » en Egypte. « Et maintenant, cela veut dire maintenant », a insisté Robert Gibbs, porte-parole de la présidence, mercredi.

Après plusieurs jours de calme relatif dans la contestation, la révolte égyptienne a repris un tour violent et cette situation volatile inquiète les Américains.

« Quelqu’un loyal à Moubarak a lâché ces types pour tenter d’intimider les manifestants », a analysé au haut responsable de l’administration Obama.

Pour l’instant, l’armée, institution essentielle dans le jeu politique égyptien, ne prend partie pour aucun des deux camps et se contente de jouer un rôle d’observateur.

« Si cette violence est provoquée par le gouvernement (égyptien), elle doit cesser immédiatement », a ajouté Robert Gibbs traduisant une impatience de la part de la Maison blanche.

Figure de proue de l’opposition, Mohamed ElBaradeï a lui aussi appelé l’armée à intervenir afin de calmer la violence. Les forces armées ont demandé aux manifestants de rentrer chez eux affirmant que leurs revendications avaient été entendues.

Ces derniers refusent toutefois de cesser leur mouvement tant que Moubarak n’aura pas quitter le pouvoir. « Nous ne partirons pas. Tout le monde reste sur place », a déclaré Khalil, un sexagénaire armé d’un bâton.

Bureau du Caire; Pierre Sérisier pour le service français
reuters

 
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Publié par le 3 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 

Yémen: des milliers de manifestants pro et anti-régime à Sanaa

Des dizaines de milliers de partisans de l’opposition yéménite manifestaient jeudi matin à Sanaa. Ils réclamaient des réformes démocratiques, à quelques centaines de mètres d’un rassemblement similaire de partisans du pouvoir, a constaté un correspondant de l’AFP.

Les deux manifestations se déroulaient dans le calme, chaque camp mobilisant ses partisans dans des lieux différents: le Congrès populaire général (CPG), pour le parti au pouvoir, sur la place Al-Tahrir (de la Libération) et l’opposition près de l’Université de Sanaa, dans l’ouest de la capitale.

Les partisans du CPG s’étaient rassemblés tôt sur la place Al-Tahrir où l’opposition avait prévu de manifester, forçant les protestataires à changer le lieu de leur rassemblement.

« Le peuple réclame un changement » de régime, clamaient les opposants à la politique gouvernementale, alors que les partisans du président Ali Abdallah Saleh brandissaient des banderoles proclamant: « Non aux destructions, non à la sédition ».

(ats / 03 février 2011 08:51)

 
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Publié par le 3 février 2011 dans BILLET D'HUMEUR

 
 
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